samedi 7 décembre 2013

Vous serez haïs



«Le frère livrera son frère à la mort, et le père son enfant; les enfants se soulèveront contre leurs parents, et les feront mourir.»
 (Marc 13:12)
L'aversion pour le Seigneur Jésus sera si grande que les gens Lui tourneront le dos et préféreront le diable. Pour ne pas croire à l'enfer, le Royaume de Dieu, pour ces gens, n'existe pas n’ont plus. Ils seront trompés en pensant que notre existence se résume à cette vie. Pour eux, le Seigneur Jésus est erroné et le diable a raison. Quelle infamie! Comme si croire au Seigneur Jésus était un crime odieux, passible de mort. Imaginez un frère donnant son autre frère à la mort; le père, qui a tout fait pour empêcher la mort de son fils, maintenant avec une idéologie est contraire à la foi chrétienne, tue l'enfant et les enfants tuent leurs parents.

Vous serez haïs de tous, à cause de mon nom, mais celui qui persévérera jusqu'à la fin sera sauvé.
 (Marc 13:13)
En général, la haine surgit par suite à des dommages subis, même si rien ne justifie qu’une personne déteste l'autre. Mais dans ces jours, juste pour le fait que les gens assument la foi dans le Sauveur, ils sont mortellement détestés, sans avoir causé aucun mal à personne.
Aux jours d’aujourd’hui, nous voyons cet esprit de haine. Beaucoup de gens qui, au nom de la foi, sont persécutés à la maison, au travail ou parmi leurs amis. Il y a des gens, qui sont haïs par ceux qui ne les connaissent même pas. Il y a des cas de personnes, qui se sont rendues à l'église avec l'intention de nuire ou même de prendre la vie du pasteur et la seule chose que le pasteur a fait, fut d’arracher les gens du vice, de la mauvaise qualité de vie. D’ailleurs, est-ce un mal?
Mais celui qui persévérera jusqu'à la fin, sera sauvé. Le salut de l'âme, peu importe ce que la personne voit, écoute ou passe, le Seigneur Jésus est toujours à la première place.
Avec la collaboration de l’Evêque Romualdo Panceiro

Dieu veut vous rendre grand




L'Éternel dit à Josué: Aujourd'hui, je commencerai à t'élever aux yeux de tout Israël, afin qu'ils sachent que je serai avec toi comme j'ai été avec Moïse.
 (Josué 3:7)
La mort de Moïse a causé un impact négatif très fort parmi les Hébreux, ils ont perdu un leader, qui parlait face à face avec l’Eternel, qui a réalisé des merveilles par le biais de sa foi et de sa communion. Il fallait que Dieu élève Josué d’une telle façon, pour que tout Israël respecte sa foi et sache que l’Eternel était avec lui.
Nous vivons aujourd'hui dans une situation où il n'est pas suffisant de dire que nous sommes chrétiens, parce que les incrédules, y compris les parents, voisins et amis, ont besoin de voir quelque chose d'extraordinaire dans la vie de ceux qui prétendent croire en Dieu. Il veut vous rendre grand dans la famille, au travail, dans la vie financière, la santé, etc.. Sous les yeux de tous ceux qui vous entourent. Afin qu'ils puissent alors respecter votre foi, en reconnaissant que, Dieu comme était avec Moïse et Josué, Il est avec vous aujourd’hui. Pour ce faire, il faut obéir comme ils obéirent, être fort comme ils ont été forts et courageux, car ils devaient sacrifier comme ils sacrifiaient, alors là oui, les eaux de votre Jourdain s’ouvriront et les murailles de Jéricho de votre vie tomberont.
Nous allons imiter ces hommes dans la foi, dans l'obéissance à suivre la Voix de la Prophétie, dans le courage de sacrifier et dans la détermination de conquérir une vie de qualité dans tous les sens.
Dieu est le même hier, aujourd'hui et le sera à jamais dans la vie des croyants. Il veut vous rendre grand aujourd'hui, le temps est maintenant. Vous devez donner une chance à Dieu de vous bénir, mettant votre vie sur l'autel dans cette Campagne d'Israël.
Que Dieu vous bénisse, nous allons avancer.
Avec la collaboration de l’Evêque Sérgio Correia

Hector

Je m’appelle Hector Luan, j’ai 25 ans. Je suis né dans une maison problématique, mes parents étaient viciés dans l’alcool et la cigarette et quand j'avais 7 ans, une personne a évangélisé ma mère à l'Universelle au Pará (Brésil). Elle a commencé à y aller, puis nous y sommes aussi allés. Après un an, ma soeur de 19 ans s'est suicidé et après 4 mois, ma mère est décédée, avec des diabètes, selon le diagnostic.
Mon père nous battait tous les jours, il avait des maîtresses, il restait des jours loin de la maison, nous avions un foyer totalement détruit. Une voix me parlait sans cesse afin que j'utilise des choses de ma sœur (vêtements, accessoires, maquillage, etc.), après sa mort. Après un mois, mon père a amené l’une de ses maîtresses pour vivre avec nous, ils faisaient des fêtes et amenaient ses proches à l'intérieur de la maison. Un matin, l’un de ses frères a essayé d'abuser de moi, comme mon voisin l’a essayé plusieurs fois, jusqu’à mes 10 ans.
À l'âge de 14 ans, j'ai emménagé avec mes parrains et j’ai pris une forme féminine, car ils m'ont accepté de la manière dont je voulais être. Je suis devenue Sabrina et j’exigeais la reconnaissance des personnes. Mon père ne m’a pas accepté et voulait me frapper au milieu de la rue. Etant encore au Pará (Brésil), j'ai commencé à me vendre, j’avais déjà le corps d’une femme.
Je suis venu à Sao Paulo à l'âge de 17 ans, avec l'intention de gagner de l'argent en vendant mon corps. Totale déception, j’ai même gagné beaucoup d'argent de 17 à 20 ans, mais à l'intérieur de moi, il y avait un vide que ni l’alcool, ni les hommes, ni les femmes ou tout l'argent que j'avais gagné me satisfaisaient, tant et si bien que lorsque venait la nuit, je m’enfermais dans ma chambre, pour me droguer et boire, en pleurant seul, sans amis, parents ou n'importe quel genre d'affection. Le jour suivant, je me réveillais sans argent et encore vide et cette vie continuait tous les jours. A plusieurs reprises, quand je ne pouvais plus boire, je consommais de l'essence.
Dans la ville de Campinas (Brésil), j’ai connu le crack, ce fut mon fonds de puits, j'ai perdu ma «beauté» (que j’utilisais pour faire du streap-tease) et ma santé, j’en suis arrivé à peser 59 Kgs, je n'étais plus tellement demandé comme avant et j’ai tenté de me suicider à plusieurs reprises. J’ai trop bu dans une rave partie et j’ai été hospitalisé, en coma éthylique. J'ai essayé de me suicider en sautant d'un viaduc, c’est alors que deux sans-abris ont essayé de me rattraper, pensant que j'étais une femme et m’ont empêché de me tuer, puis nous sommes allés fumer du crack ensemble. J'ai vécu sous un pont, où j’y ai trouvé un petit ami, un sans abri également.
Une nuit, après tant m’être drogué, j'ai vu une ombre qui me troublait, cela faisait déjà 15 jours que je ne dormais pas, ni mangeais, j’ai presque eu un accident au 3ème d'un bâtiment abandonné. A ce moment-là, j'ai jeté la drogue et j’ai levé les yeux vers le ciel, dans cette nuit étoilée je me suis souvenu de Dieu et j’ai prié: «Si vous changez ma vie, Seigneur, je vais tout laisser tomber et chercher le meilleur».
Après une semaine, un homme est apparu dans ce bâtiment, j'étais ivre et drogué avec mon ex petit ami et l’un de ses amis. Cet homme m'a vu et a dit que j'étais «la seule qui était sincère» et m'a demandé si je voulais changer de vie,
j'ai dit: «je ne sais pas comment, mais je le veux et si j'ai cette chance, je vais m’y accrocher bec et ongles.»
Samedi, il nous a amenés à Diadema, j’ai aperçu l’Universelle du quartier du 7 septembre et j'ai dit: «Je ne vais pas entrer là-dedans!!». Dimanche, à 15H00, j'y étais, habillé en Sabrina, à la première rangée. J’y suis retourné lundi et mardi, je me suis délivré de tout, tout le monde dans l'église est resté effrayé d'apprendre mercredi, quand je suis rentré comme Hector, que Sabrina, qui est arrivée le dimanche, était en réalité Hector. Après ce jour-là, je ne suis plus jamais retourné à la mauvaise vie. J'ai arrêté les drogues, je me suis délivrée de l'homosexualité, de la prostitution, de la dépression, le désir de mourir et le vide que je ressentais, a été comblé par le Saint-Esprit, qui m'a complètement transformé et m’a fait devenir un homme nouveau, 100 % heureux.
Hector Luan
Avec la collaboration de l’évêque Marcello Brayner

Créé pour administrer

Qui est dans la position d'un administrateur, s’il touche à ce qui ne lui appartiennent pas, cesse d'être fiable, nous avons l'exemple du jardin d'Eden et de l'arbre du fruit défendu.
Pourquoi aujourd'hui, pour que l'homme prenne possession des promesses de Dieu, est exigé le sacrifice? Parce que pour que l'homme soit administrateur, il doit se battre pour conquérir, il doit montrer son courage et sa capacité, il doit «négocier», voilà le pourquoi du sacrifice.
L'autorité est donnée à l'homme à travers ses conquêtes par le biais du sacrifice, qui est le «prix» à payer. Pour chaque conquête, un sacrifice.
Pourquoi Dieu soutient, vêtit, protège et enseigne les oiseaux et tous les animaux dans leur état sauvage? Car ils n'ont pas été créés pour administrer et, bien qu’ils ne soient pas dans le jardin d'Eden, comme ils n’ont pas péché, ils n’ont pas perdu certains droits, parce que Dieu est Juste.
L'homme doit manger à la sueur de son front, du sacrifice. Ce n’est qu’ainsi qu’il peut conquérir l’autorité perdue.
Ce n'est pas par hasard que les grands hommes et les femmes de la Bible qui ont grandi, ont vaincu et sont devenus célèbres jusqu'à aujourd'hui, ils ont dû sacrifier plusieurs fois, mais à chaque sacrifice, ils ont conquis une victoire.
Nous ne pouvons pas attendre que Dieu prépare la table, nous vêtisse, nous donne une maison, un travail, des richesses, etc.. Nous devons, oui, être fidèles et par la prière, demander la direction et des idées et, là oui, Il va nous montrer comment nous devons faire et ce que nous allons devoir sacrifier. Voilà le pourquoi de la Campagne d’Israël. Elle est une réponse à nos prières et supplications. A travers elle, Dieu envoie la prophétie et montre quel est le sacrifice que nous devons présenter.
Dieu ne nous a pas créés pour être inutiles comme les parasites, mais plutôt être conquérants. Ce n’est qu’ainsi que nous détruirons les murailles et glorifierons notre Seigneur.
Avec la collaboration de l’Evêque Vitor Fontes

Les trois souhaits d'Alexandre

Quand j'étais sur le point de mourir, Alexandre «Le Grand», convoqua ses généraux et a évoqué ses trois derniers souhaits:
1. Que son cercueil soit transporté par les mains des plus éminents médecins de l'époque;
2. Que ses trésors conquis soient dispersés sur le chemin jusqu’à sa tombe (argent, or, pierres précieuses, etc.); et
3. Que ses deux mains soient laissées en dehors du cercueil, balançant au vent, hors du cercueil, aux yeux de tous.
L’un de ses généraux, surpris par ces désirs inhabituels, a demandé à Alexandre, quelles étaient les raisons.
Alexandre a expliqué:
1. Je souhaite que les plus éminents médecins portent mon cercueil pour montrer qu'ils N'ont pas le pouvoir de guérir face à la mort;
2. Je veux que le sol soit couvert par mes trésors afin que les gens puissent voir que les biens matériels ici conquis, restent ici;
3. Je veux que mes mains balancent au vent afin que les gens puissent voir que nous sommes venus les mains vides
Avec la collaboration de l'Evêque Marcio Carotti

Pied sur le cou

"…Approchez-vous, mettez vos pieds sur les cous de ces rois. Ils s'approchèrent, et ils mirent les pieds sur leurs cous (des cinq rois). Josué leur dit: Ne craignez point et ne vous effrayez point, fortifiez-vous et ayez du courage, car c'est ainsi que l'Éternel traitera tous vos ennemis contre lesquels vous combattez." (Josué 10.24-25)
Mais la réalité de beaucoup de gens qui prétendent être Dieu est toute autre, parce qu'au lieu de mettre les pieds sur leurs ennemis (murailles), ils finissent par être suffoqués par eux-mêmes. Mais, pourquoi?
Parce que la prophétie va s’accomplir à une condition. Dans ce cas, la condition est que la personne soit forte et courageuse, pour que le pied qui est sur son cou sorte et piétine cet ennemi (muraille) et obtienne ce qu’elle désire.
Malheureusement, il y a beaucoup de gens qui ne sont pas avec la «corde autour du cou», comme on le dit habituellement, mais avec les pieds des démons sur leur cou: avec la tristesse, la peur, la maladie, la solitude, les vices, la dépression, la séparation familiale, la misère, etc..
Voyez qu’après que Josué ait tué ces cinq rois, il a dit à tous ses soldats et Peuple: "Fortifiez-vous (pour croire ne la Prophétie) et ayez du courage (pour sacrifier en faveur de Sa réalisation)."
Comme si cela ne suffisait pas, il les fit mourir et les pendit à cinq arbres et ils restèrent ainsi jusqu'au coucher du soleil, comme symbole de victoire, justice, force et courage, pour le Peuple de Dieu.
Le peuple de Dieu ne peut pas rester avec la corde aux pieds ou sur le cou. Ce sont les enfants de l'incrédulité qui restent ainsi! Mais nous, qui croyons, non. Nous ne pouvons pas l'accepter!
Le peuple de Dieu doit vaincre, vaincre, vaincre, pour rester comme témoin de l'accomplissement de ce qui a été promis par le Dieu vivant.
Quelle est la corde qui est autour de votre cou? Ou pire, quel est le pied, qui est sur votre cou?
N'acceptez pas cela!!!
Allez contre la situation, vous le pouvez! Nous sommes avec vous jusqu'à la fin.
Juste pour vous familiariser avec le texte:
"Lorsqu'ils eurent amené ces rois devant Josué, Josué appela tous les hommes d'Israël, et dit aux chefs des gens de guerre qui avaient marché avec lui: Approchez-vous, mettez vos pieds sur les cous de ces rois. Ils s'approchèrent, et ils mirent les pieds sur leurs cous. Josué leur dit: Ne craignez point et ne vous effrayez point, fortifiez-vous et ayez du courage, car c'est ainsi que l'ÉTERNEL traitera tous vos ennemis contre lesquels vous combattez. Après cela, Josué les frappa et les fit mourir ; il les pendit à cinq arbres, et ils restèrent pendus aux arbres jusqu'au soir. Vers le coucher du soleil, Josué ordonna qu'on les descendît des arbres, on les jeta dans la caverne où ils s'étaient cachés, et l'on mit à l'entrée de la caverne de grosses pierres, qui y sont demeurées jusqu'à ce jour." (Josué 10:24-27)
Avec la collaboration de Viviane Freitas

C'est la guerre!



...au temps où les rois se mettaient en campagne... (2 Samuel 11:1) pour aller à la guerre.
C'était l'époque de la guerre et David a décidé de se reposer, il a conclu qu'il n'était pas nécessaire d'aller à la guerre, mais comment faire pour rester en dehors de la guerre, si c'était une époque de guerre?
Comment Josué laisserait un témoignage pour nous, si ce n'était pas pour la guerre? Si je veux demain témoigner, il n'y a aucun autre choix. Josué avait, devant ses yeux, une grande et forte muraille, mais en lui, il y avait une PROPHETIE, qui était plus grande et plus forte que la muraille.
Josué a dû faire ce que nous devons faire tous les jours: Choisir ce qu'il faut garder: La muraille qui est face à vos yeux ou la PROPHETIE qu’il avait reçu.
Le fait que Josué ait risqué sa propre vie, était la preuve qu'il a placétoutes ses forces dans la PROPHETIE. Notre force est toujours placée dans ce que nous gardons. La PROPHETIE était pour lui plus SOLIDE ET REELLE que cette muraille.
La Campagne d’Israël est pour ceux qui sont de guerre!
Avec la collaboration de l’Evêque Djalma Bezerra

dimanche 1 décembre 2013

Quelqu'un a cru en moi - Andressa


Andressa Caio est née dans un foyer brisé et sans la présence active de son père, pour cette raison, elle fut une enfant et, par conséquent, une adolescente problématique. À l'âge de 15 ans, elle est entrée dans le monde des vices, de la cigarette, de la marijuana; elle consommait de la cocaïne, elle buvait beaucoup tous les jours, devenant ainsi une personne dépendante de la drogue.
Elle a été admise à l'hôpital à quatre reprises avec des signes de folie, sans conscience et avec un début d’overdose. Après une courte période, elle est entrée dans le monde de l'homosexualité, parce que, selon Andressa, leurs relations avec les hommes n’avaient aucun succès, alors elle a choisi de rencontrer des femmes. A partir de là, les problèmes n’ont fait qu’augmenter. Elle a commencé à souffrir de la dépression, de l’anxiété, elle a vécu sans paix intérieure, elle voyait des ombres et avait des pensées suicidaires. Dans cette même période de sa vie, elle a été chassée de la maison et rejetée par toute la famille. Elle a commencé à ressentir beaucoup de haine envers les gens et a planifié mettre fin à la vie de l'une des femmes avec qui elle avait une relation.
Mais ce fut à cette époque, au plus bas, qu’elle a connu le travail de l’Universelle. Elle a reçu l'aide des ouvriers, des pasteurs et de la Force Jeune Universelle, qui a cru en elle et l'ont toujours aidée. Aujourd'hui, après avoir reçu le Saint-Esprit dans sa vie, Andressa est complètement transformée. Elle n'a plus aucun vice, elle est délivrée de l'angoisse, de la tristesse, de l’envie du suicide et de l'homosexualité. C’est une fille présente à la maison, elle vit en paix avec elle-même et avec les gens autour d’elle, c’est une nouvelle femme dans tous les aspects de sa vie.
Avec la collaboration de l’Evêque Marcello Brayner

La foi est et n'est pas!


La foi est la certitude absolue;
La raison;
L'intelligence;
C’est la conviction que Dieu accomplira ce qu'Il a promis;
La foi ne surgit pas du rien;
Elle ne vient pas du hasard, elle ne tombe pas du ciel comme la pluie;
Elle vient par l'action de l'Esprit de Dieu,
Pour ceux qui écoutent Sa Parole,
Et la pratique;
La foi ne console pas la veuve, l'orphelin ou les personnes en deuil;
Mais elle supprime votre douleur et vos tristesses;
Elle ne rassasie pas la faim de l’affamé
Elle ne donne pas un abri au sans-abri;
«De la poussière il retire le pauvre, Du fumier il relève l'indigent, Pour les faire asseoir avec les grands. Et il leur donne en partage un trône de gloire (...)» (1 Samuel 2:8)
De la manière comme vient la foi,
Vient aussi le courage de l'exécuter;
La foi et le courage vont ensemble, parce qu'ils proviennent du Saint-Esprit.
La foi n'est pas une émotion;
Ce n'est pas un sentiment;
Elle n'est pas un sentiment de bien-être.

LA FOI EST LA VIE!
«…parce qu'en lui est révélée la justice de Dieu par la foi et pour la foi, selon qu'il est écrit: Le juste vivra par la foi.» (Romains 1:17)

Je veux parce que je veux!


Je veux le baptême du Saint-Esprit, mais je veux aussi profiter des «plaisirs de la chair»: c’est impossible;
Je veux une nouvelle vie, mais je ne veux pas laisser tomber les sorties et la vie nocturne: c’est impossible;
Je veux l'accomplissement de la prophétie: la vie avec abondance, mais je veux aussi continuer à être «libre» de faire ce qui me plaît: c’est impossible;
Je veux prendre possession de ma Terre Promise, mais je ne veux pas traverser le fleuve Jourdain, ni affronter les murailles de Jéricho et bien moins les autres intrus qui s’y trouvent: c’est impossible;
Je tiens à obtenir un diplôme, mais je ne veux pas étudier: c’est impossible;
Je veux gagner de l'argent et avoir une vie tranquille, mais je ne veux pas travailler trop: c’est impossible;
Je veux me marier et être heureux, mais je ne veux pas suivre les conseils de Dieu et obéir à Sa Parole: c’est impossible;
Je veux vivre par la foi, mais je ne veux pas sacrifier: c’est impossible;
Je veux tout avoir, mais je ne veux pas payer le prix: c’est impossible;
Je veux récolter beaucoup, mais je ne veux pas semer: c’est impossible.
Je veux faire une omelette, mais je ne veux pas casser les oeufs: c’est impossible.
«Ne vous y trompez pas: on ne se moque pas de Dieu. Ce qu'un homme aura semé, il le moissonnera aussi.
Celui qui sème pour sa chair moissonnera de la chair la corruption; mais celui qui sème pour l'Esprit moissonnera de l'Esprit la vie éternelle.»

(Galates 6:7-8)

Une rencontre inoubliable

L’évêque Edir Macedo a déjeuné le lundi 25 Novembre avec des cadres du journalisme de la TV Rede Record à son siège à Sao Paulo.
La réunion visait à célébrer la croissance de l'audience du secteur journalistique et le renforcement de l'image de la station émettrice lors des dernières années.
Parmi les plus grands réseaux du pays, la TV Record est celle qui affiche plus le contenu journalistique. A travers le journalisme, la Record atteint l’audimat, au moins 1 200 minutes tous les mois. En outre, le vice-président du secteur Journalistique, Douglas Tavolaro, étaient présents les principaux chefs de la Rédaction de la chaîne.
Ont également participé à la rencontre, l'évêque Renato Cardoso, l'exécutif Moyses Macedo, le Vice Président Marcus Vinicius et le vice-président de la programmation, Marcelo Silva.
L’un des moments les plus marquants de la rare visite de l'évêque au siège de la Record, a été la rencontre avec la journaliste Maria Paula Bexiga, la reporter de l’émettrice, au moment où il était en prison.
- J'ai interviewé l’évêque en prison. Il était abattu, mais confiant qu’il allait s’en sortir – se rappelle Maria Paula, fonctionnaire de la Record depuis 1990.
- Notre réseau a été en faillite, pleine de dettes, dans la boue et n’est venu à sortir de cette situation, grâce au courage et à la détermination de l’évêque Edir. Aujourd'hui, presque 25 ans plus tard, la TV Record est une puissance avec un long parcours de croissance devant elle. Et le plus important: Elle a changé l'histoire du Brésil avec la fin du monopole de l'information – a finalisé le journaliste.
Source: R7

Doutez du doute


J’ai lu le post «Doutes sur la Campagne d’Israël» et je pense qu'il y a quelque chose qui doit être expliqué, afin que les gens saisissent l'esprit de la campagne. Beaucoup de gens n’ont jamais compris que le mot «sacrifice» a plusieurs sens. Le plus utilisé par le monde est «souffrance». Nous pensons à «sacrifice» et les gens pensent, tout de suite, à souffrance extrême, presque comme une pénitence. Mais le mot «sacrifice» à l’Universelle est utilisé dans le sens le plus oublié du dictionnaire: renoncement.
Dans le dictionnaire de Michaelis, ce sens apparaît ainsi: «renoncement volontaire d’un bien ou d’un droit». C’est notre sacrifice. Ce n'est pas le fait de donner quelque chose pour souffrir, se torturant, dans l'espoir de parvenir à quelque chose, mais renoncer volontairement à quelque chose que Dieu a demandé, sachant que cette renonciation apportera le résultat qu'Il a promis. Le renoncement est quelque chose de pensé, c'est une attitude de l'esprit. Tandis que la souffrance, est de l'âme, du cœur et, parfois, du corps.
Je comprends la confusion. La culture catholique glorifie la souffrance. Tant est si bien que le catholicisme donne une très grande attention à la douleur physique de Jésus sur la croix, comme si c'est en soi, le sacrifice. Sachant que sa plus grande douleur était de renoncer volontairement à Sa connexion avec le Père (principalement), à Sa paix d'esprit et de pureté (puisqu’Il a porté nos péchés) et Son droit de vivre, afin que nous ayons la vie. Son sacrifice fut spirituel, de renoncement. Le sacrifice physique, de la mort, symbolise seulement le sacrifice spirituel, qui nous a délivrés de la mort éternelle.
La culture catholique pense que, qui souffre est saint. Mais le saint, c'est celui qui renonce. Celui qui abandonne ses volontés, qui renonce à son droit d'exercer des représailles, de répondre, qui renonce au désordre, qui renonce à son droit animal de vivre selon ses instincts et pulsions, qui renonce à son droit d'appartenir à lui-même, celui qui renonce à l’indiscipline, qui renonce à sa propre vie, celui qui abandonne un bien auquel il est attaché, qui renonce au droit d'avoir en l'argent, sa sécurité... Celui qui donne, renonce.
C'est le sacrifice que l’on fait dans le monde, sans le savoir. L'étudiant qui renonce à son droit de dormir pour étudier, celui qui renonce aux sorties pour avoir des fiançailles stables, celui qui renonce aux gourmandises pour maintenir une bonne santé, qui renonce à la sédentarité pour faire de l'exercice, qui renonce à son droit de dépenser pour investir dans quelque chose, celui qui renonce à la paresse pour lire un livre...
Et lorsque le pasteur dit que le sacrifice doit faire mal, c'est vrai, mais cette douleur n'est pas catholique, elle n'est pas physique. Car le renoncement blesse plus que la douleur physique ou une simple souffrance. C’est la douleur de l'âme, qui est disciplinée par l'esprit. C'est la douleur qui nous rend plus forts, parce qu'elle nous rend dépendants de Dieu. Et je comprends que c'est le critère qu'Il utilise pour nous demander le sacrifice. Et là (voir le sacrifice comme un renoncement et pas comme une souffrance) nous commençons à comprendre lorsque le pasteur dit que Dieu nous demande de nous donner plus. Il demande ce qui embarrassait (et, parfois, nous ne le remarquions même pas) et, en y renonçant, nous nous voyons libres pour de plus grandes choses, parce que nous avons quitté la zone de confort, qui nous accommodait. Nous rompons nos limites, nous faisons ce que nous n’aurions jamais fait pour nous-mêmes, parfois sans même comprendre pourquoi Dieu a demandé cela, mais nous confions qu'Il sait ce qu'Il fait et dans cette confiance, nous faisons notre sacrifice. Nous croyons pour cela nous remettons.
Voici l’esprit de la Campagne d’Israël.
Avec la collaboration de Vanessa Lampert

Rosely Guido


Lorsque j'ai connu l'Universelle, je souffrais d’une passion aiguë pour un garçon qui ne me donnait aucune importance, il me traitait comme un rien.
Mon obsession était telle que j'étais totalement aveugle, je faisais tout dans l'église à ma façon et j’étais toujours en quête de quelqu'un à qui parler, parce que je voulais écouter ce qui me convenait et rien d'autre.
J’attendais que les ouvriers et les pasteurs prononcent des mots pour me faire plaisir, mais je sortais de là, frustrée. Ils ne disaient rien pour me plaire, il parlait ce que Dieu voulait vraiment parler. Je ne l'acceptais pas, parce que je voulais une réponse immédiate et concrète à mon obsession, mais j'ai continué ferme à l’Universelle faisant tout ce qui était erroné. Aujourd'hui, je sais que Dieu l’a permis, parce que tout dépendait de moi, jusqu'à ce qu'un jour, j'ai entendu le témoignage d'une personne, sur l'autel. Il semblait que je parlais de ma vie. Depuis ce jour, j'ai commencé à voir, à entendre et comprendre ce que Dieu voulait me dire. Il n'a pas fallu longtemps, j’ai questionné Dieu: «Pourquoi tout le monde dit que leur vie a changé et la mienne ne change pas?»
Et Dieu a répondu que c’était moi qui devais décider et que cela ne dépendait que de moi et de personne d'autre (libre arbitre).
Rien qu’en y pensant, brûlait en moi une douleur, une douleur immense à l'intérieur de moi. Mais tout a été très glorieux, parce que quand j'ai pris la décision de me donner à Dieu de corps, âme et esprit, j'ai remis ma vie à la disposition de Dieu et dès lors, ce ne serait plus ma volonté, mais celle de Dieu et tout est arrivé, j'étais libre de tous tourments. C'était comme si toutes les chaînes qui me liaient, se brisaient à ce moment-là.
Evêque, ce fut incroyable! Il semblait que j’oubliais quelque chose, mais non. Je n’arrivais à me souvenir de rien et bien moins de ce garçon; je n’arrivais même pas à me souvenir de son visage. DIEU EST PARFAIT!!!
Avec des larmes aux yeux et avec la joie, j’affirme: ce jour-là, j'étais certaine de ma rencontre avec Dieu. J’ai le privilège de faire partie de cette famille et j'ai un amour inconditionnel pour cette Oeuvre et je suis fière de dire: JE SUIS L’UNIVERSELLE! Merci beaucoup, mon Dieu! Je vous remercie, évêque!
Rosely Guido

Doutes sur la Campagne d'Israel


Lorsque j’ai écrit le post “Doutes sur la dîme“, j’ai aussi reçu beaucoup de questions sur la Campagne d’Israël. Comme nous sommes en vue de débuter la campagne, j’ai résolu en parler un peu. Les doutes, que j’ai reçus sont nombreux, tels que:
- Est-ce erroné d’avoir un compte d'épargne? Je n'en ai pas ouvert un, parce que la campagne d’Israël arrive et je dois le clôturer pour tout donner… je voulais acheter une voiture, mais la campagne d’Israël arrive et je vais devoir la vendre, pour tout donner, alors pourquoi en acheter une? - Comment acheter ma maison si je ne peux pas réunir la somme pour donner une partie de cette valeur? Je réunis une somme d'argent, mais ensuite vient la Campagne d’Israël et je dois tout donner…
C’est mon impression ou vous aussi, vous vous rendez compte que ces gens voient la Campagne d’Israël, comme un poids et non comme une opportunité d’atteindre leurs rêves? De toute façon, je crois que tout se résume dans la question la plus fréquente:

“Si je donne tout, comme le pasteur le dit, comment pourrai-je avoir quelque chose un jour?”
Ma conclusion personnelle est la suivante: celui qui donne tout ce qu’il a, à chaque campagne, réellement, n’arrivera jamais à rien avoir. Je peux presque l’entendre demander: “Mais alors, le pasteur a tort de tout demander?” Voici une autre conclusion personnelle: non, le pasteur ne commet pas une erreur, mais qui pense devoir tout donner tous les six mois, voit la Campagne de façon erronée. La grande question ici est de savoir qu’est-ce que ce tout.
Le tout auquel la campagne fait référence n’est pas tout ce que vous avez dans la vie: votre salaire, votre compte d'épargne, votre voiture, votre maison, vos vêtements et en plus toutes les choses de valeur que vous pouvez avoir.
Ce que vous devez donner c’est TOUT CE QUE DIEU DEMANDE et pas tout ce que vous avez (pas tout ce que vous pensez devoir donner).
Je crois que vous avez entendu, dans toutes les éditions de la campagne, votre pasteur dire à l'église d’«écouter la voix de Dieu et de voir ce qu'Il attend de chacun». C'est le point crucial de la question et que, malheureusement, beaucoup de gens ne comprennent pas. Raisonnez avec moi: si le pasteur vous dit de savoir ce que Dieu veut de vous, alors cela signifie que Dieu va demander, pas le pasteur. En écoutant la voix de Dieu et en sachant ce qu'Il veut, alors là oui, vous devez donner 100 % de ce qu'Il demande.
Alors, dans cette nouvelle version de la Campagne d’Israël, efforcez-vous d’écouter la voix de Dieu et ne vous laissez pas aller par qui que ce soit. La semaine prochaine, je vais parler sur comment savoir, si vous êtes ou non en train d’écouter la voix de Dieu.
Avec la collaboration de Patricia Lages

Les Bras de la Foi


Lorsque Moïse a levé la verge, le vent a commencé à souffler et a divisé les eaux de la Mer Rouge. Israël a traversé la Mer à pied sec; Mais, lorsqu’il a baissé la verge, les eaux sont revenues à leur place et ont noyé l'armée égyptienne - Exode 14:26-28.
Cela a défini la délivrance d’Israël de l’esclavage égyptien.
Lors de la traversée du Jourdain, ce ne furent pas les bras de la foi de Josué, qui ont opéré le miracle, mais ses pieds obéissants, avec ceux d’Israël. Dans cette traversée, Israël a pris possession de la Terre Promise.
Cela signifie que, cela ne suffit pas que le chrétien soit libre de l'esclavage du péché;
Il faut quitter le désert de la misère et avancer en possession de la Terre Promise.
Il faut faire des pas de foi dans toute conquête.
La Terre Promise traite de toutes les promesses faites par l’ETERNEL dans Sa Parole;
Surtout la possession de la Vie Eternelle.
Les pas de la foi exigent des sacrifices;
Sacrifices d'obéissance à la Parole de Dieu;
Les pas de la foi exigent que l’on se mouille les pieds pour avancer.
Les pas de la foi exigent des sacrifices.
L'accomplissement des Prophéties dépend du courage dans l'obéissance à la Parole de Dieu.

Joana d'Arc


Bonjour, évêque!
Exactement 30 jours avant la Campagne de Manassé, j’ai fait un propos avec Dieu de 30 jours de jeûne et de prière afin qu'il me montre ce qu’il manquait pour cesser d’être moi-même, parce que j'étais comme Jacob: je réussissais, ma vie a même changé durant ces quatre années où je pensais avoir remis ma vie à Dieu.
Mais dans l'une des réunions que vous avez faite un dimanche, j’ai assisté à l’une d’elle par la TV Universelle lorsque Dieu m'a réveillé de tromperie dans laquelle je vivais. Le Seigneur a dit que si la personne est injuste, Dieu n'accepte rien de ce qu'elle fait. Et je mettais tout sur l'autel, financièrement parlant!
Je suis toujours sortie de l'autel totalement dans la dépendance de Dieu et je ne comprenais pas pourquoi je n’obtenais pas les promesses.
C'est alors que Dieu m'a fait voir qu'Il n'était pas en train d’accepter mes offrandes et mes sacrifices - que je pensais être parfaits, parce que j'avais, ici, mon nom registré au CPS et Serasa, j’avais d’autres dettes, j’étais encore méchante envers mon prochain, parce que je pensais de mauvaises choses au sujet des personnes. En d’autres termes, je vivais dans l'erreur, dans la pratique de l'injustice!
Je me suis tout de suite repentie et j'ai dit à Dieu que s'Il me pardonnait, je changerai ma vérité et j’allais me concerter. Il m’a béni d'une manière qu’il ne l'avait jamais fait auparavant et je me suis lancée pleinement dans la Campagne de Manassé. J'ai mis réellement mon tout devant Lui.
Je ne pense plus de mauvaises choses envers mon prochain, je m’en suis délivrée et je paie mes dettes, parce que Dieu me bénit et je suis dans la foi de Jacob de CORPS, AME et ESPRIT et je suis sûre que cette fois j’ai obtenu les promesses de Dieu. Et surtout: j’ai reconquis mon Salut, qui était perdu.
Merci pour être cet homme qui n'a pas peur de dire la vérité – quoi qu’il en coûte; merci pour l’Universelle, cette mère qui a les portes ouvertes pour aider ceux qui veulent; et pour tous les hommes et femmes de Dieu qui m'ont aidé jusqu’ici!
Je souhaite que Dieu fasse avec tous les ouvriers ce qu’Il a fait avec moi: me réveillant du sommeil de la mort éternelle, afin que cette Oeuvre grandisse encore plus et soit selon la volonté de Dieu.
Joana d’Arc

24 Heures à vivre


Grace Fidele Ngomooh Ndjock a vécu toute sa vie au Cameroun, son pays natal, jusqu'au jour où il lui a été diagnostiqué un cancer de l'oesophage. Ce type de tumeur maligne surgit plus fréquemment chez les personnes de plus de 50 ans. Selon l'Institut National de Cancer (INCA), quand il surgit, il entraîne avec lui la difficulté à avaler, la perte de poids – résultant d'une alimentation insuffisante – douleur à la poitrine qui n’est pas liée à l'acte de manger - parmi d'autres complications.
C'est ce qui s'est passé avec Grace. Même avec le soutien de la famille, qui s’est mobilisée pour parvenir à la solution du problème, sa situation ne faisait qu'empirer.
En 2012, elle s'est installée à Lugano (Suisse), pour faire un traitement. Pendant 3 mois, cette dame camerounaise a été dans le coma, pesant seulement 32 Kilos, son corps était couvert de plaies. Les médecins ont appelé la famille et lui ont dit de se préparer au pire, puisqu'ils avaient déjà fait tout leur possible. Selon eux, il lui restait peu de temps à vivre – environ 24 heures. Cependant, voyez ce que la foi, lorsqu'elle est mise en pratique, sur la bonne Personne, le Seigneur Jésus, peut provoquer dans la vie de ceux qui croient.
«Mon cadre clinique empirait à chaque jour, donc en octobre 2012, il fut décidé par l'équipe médical que je devais être hospitalisée, ce qui s'est passé immédiatement, parce que je ne pouvais plus rien manger ou respirer naturellement. À l'hôpital, j'ai commencé à faire des séances de chimiothérapie et, après la deuxième dose, j’ai sombré dans le coma. Tout le monde attendait ma mort, mais l’une de mes filles, qui fréquentait l'Universelle, a profité de la campagne qui se passait à l'Eglise: la Campagne d'Israël. Elle est montée sur l’autel, déterminée à changer la situation et a donné tout ce qu'elle possédait.
Après quelques heures, après le sacrifice de ma fille sur l'autel, je suis sortie du coma. Quand elle est revenue à l'hôpital, j'étais déjà réveillée et j'ai commencé, à la surprise de tout le monde, à récupérer. J'ai été hospitalisée pendant plus d’un mois pour me fortifier. A chaque jour qui passait, j’allais mieux. Le cancer, qui se propageait déjà à travers tout mon corps, avait disparu et aujourd'hui, je suis guérie.
J'ai quitté l'hôpital et suis venue à l’Universelle, remercier Dieu pour le miracle qu'il a fait dans ma vie et maintenant, j'ai donné ma vie à Jésus. Depuis près de 2 mois, je vais chaque semaine à l’Universelle de Lugano, en Suisse.
Je vous remercie, mon Dieu, pour le miracle, que le Seigneur a fait dans ma vie!"
Grace Fidele Ngomooh Ndjock

Dayane


Quand j'ai eu environ 12 ans, j'ai commencé à m'habiller, à me sentir comme un garçon. Peu à peu, j'ai commencé à sortir avec des garçons, j'agissais comme un garçon et je restais avec des filles, jusqu'à ce qu'entre 13,14 ans j’ai assumé devant mes parents que j'étais lesbienne.
Ma mère ne m’a plus accepté à la maison. Alors, je suis allée vivre avec mon père qui m'a aussi mis dehors. J'ai cherché mon frère, qui lui aussi ne m’a pas acceptée.
J’étais prête à vivre dans la rue, c’est ainsi que je suis allée travailler dans un Cyber Café dans une colline. Je recevais 3,90 euros par jour et j’étais humiliée.
J'ai été invitée à vivre dans la maison d'un ami. Là-bas, personne ne savait que j'étais une fille, juste cet ami. Pour tout le monde, j'étais Danilo.
Mais les choses n’ont fait qu'empirer. J'ai perdu le contrôle de tout. Il y avait de plus en plus de fêtes, je restais avec les filles que je voulais. J'ai dû changer d'école et convaincre le directeur de mettre le nom que j'utilisais lors de l'appel, ni même les enseignants savaient la vérité.
En revanche, je souffrais beaucoup. Même si je restais avec n'importe quelle fille et vivais entourée d’«amis», parce que j'allais dans des sorties, j’étais triste, je me sentais vide, j’avais des attaques de panique et de dépression. Je ne supportais pas d'être dans le noir, j’étais terrifiée. J’avais quelques amis qui manifestaient avec esprits et m'ont menacée de mort. Cela a aggravé la situation.
Je consommais des drogues, je fumais, je buvais. Aux yeux du monde, j’avais la vie de rêve de n'importe quel garçon. Tout le monde voulait passer du temps avec moi, mais personne ne connaissait le revers de la médaille. J'ai passé des nuits en pleurant et j’ai alors pensé que si je me tuais, je pouvais mettre fin à mes problèmes.
J'avais envie de voir et parler avec ma mère, mais mon beau-père ne me laissait pas m’approcher d'elle. Mon père ne voulait rien savoir à mon sujet. Je plongeais de plus en plus dans les problèmes.
Un jour, j'étais sur le toit de la maison où je vivais, qui était en construction et n'avait aucun mur de protection, j’ai pensé me jeter de là, parce que j'ai vu que, d'une part, j’avais tout, mais de l’autre, je n’avais rien. Les personnes s’approchaient de moi seulement par intérêt, j'ai senti que quelque chose me poussait et je suis tombée. Mais je suis juste tombée dans le niveau du bas et j’ai commencé à pleurer.
C'est alors que la mère de cet ami, qui est membre de l'Universelle, m'a vu tomber et m'a invité à aller à une réunion, elle a cru en moi. Au début j’ai trouvé cela ennuyeux, mais elle m'a encouragé à y aller et je me sentais mieux, chaque fois plus que j’allais à l'Universelle.
J’allais aux réunions, remplie d'angoisse, détruite et j’en sortais légère. La délivrance a mis du temps, car alors que je voulais Jésus, je voulais également consommer des drogues, sortir, rester avec les filles dans des orgies. Pour cela, je me sentais encore incomplète. Jusqu'à ce que je sois fatiguée de cette situation, j'ai fait une prière avant d'aller à l'église, demandant à Dieu, une direction, sinon je n’y retournerais jamais plus.
Presque vers la fin de la réunion, le pasteur a parlé sur la décision. Ou je choisissais Dieu ou les volontés du monde. J'ai vu que Dieu avait répondu à ma prière. À la fin de la réunion, je suis allée parler au pasteur.
Quand je suis rentrée, la première chose que j'ai faite, fut d'appeler ma mère, demandant pardon pour tout et je lui ai dit que je voulais vraiment changer ma vie.
Elle ne m'a pas cru, elle pensait que je n’allais pas changer. Peu à peu, j'ai eu un rapprochement avec ma mère. Le Saint-Esprit m’a transformée peu à peu et le désir de consommer de la drogue, sortir avec des filles, est parti.
Peu de temps après, je suis retournée vivre chez ma mère et j’ai continué à aller à Universelle près de chez elle.
Tout a changé. Plus je me remettais à Dieu, plus je changeais, jusqu’à être complètement transformée, à l'intérieur et à l'extérieur. J'ai commencé à laisser mes cheveux pousser, à être une femme dans l'attitude et l'apparence.
Un jour, je suis allée rendre visite à l’ami qui m'a accueillie, là-bas beaucoup pensaient que j'étais un garçon. Ce moment a été le véritable tournant, parce qu'avant j'étais en train de vivre par la foi, mais j’avais encore honte d’affronter le passé.
Le changement total s’est produit lorsque j'ai demandé pardon aux filles avec lesquelles j’étais restée et aux gens que j’avais trompée pour m'avoir fait passé pour un homme. Je subissais du chantage, pour part de certains, qui voulaient révéler ma véritable identité, mais quand j'ai décidé de dire la vérité, ils n'avaient plus rien à dire.
Avant, personne voulait être près de moi, j’étais considérée comme un mauvais exemple. Aujourd'hui, c'est différent. Ma mère, qui n'avait plus envie d'être près de moi, aujourd'hui se vante de m'avoir pour fille et voit Jésus en moi. Les gens me regardent et me considèrent comme un exemple. Je me suis délivrée de l'homosexualité, de la drogue et de la dépression.
En tout cas, aujourd'hui, je suis une nouvelle personne, complètement transformée et totalement heureuse et tout ce changement a été possible dès l'instant où j'ai eu une rencontre avec Dieu.
Dayane
Avec la collaboration de l’Evêque Marcello Brayner

Luiz, un ex-traverti


Ma mère m'a donné la vie, mais ne s’est pas occupé de moi. Elle m'a laissé et je suis allé vivre dans un orphelinat à Araucária (Brésil). J’y suis resté jusqu'à mes 16 ans. Puis, je suis sorti de là et je suis allé vivre seul. Pour survivre, j'ai fini par devenir travesti et me prostituer.
Dans la rue, où je restais, je me battais et je volais les clients; j’étais armé. J'étais mauvais, nerveux, je frappais n'importe qui, pour n’importe quoi.
Au fil du temps, je suis devenu «la chef» des prostituées du coin, avec deux autres travestis. Puis j'ai commencé à trafiquer pour les travestis. Je les incitais à m’acheter des drogues et à s’endetter.
J’ai commencé à gagner beaucoup d'argent. J'ai eu trois appartements et je louais des postes vacants pour les travestis. J’ai mis du silicone industriel dans tout mon corps. J'ai eu plusieurs plaintes contre moi: pour agression, extorsion, trafic de drogues, etc..
Mon fond de puits est venu lorsque, un jour, dans une sortie, j'ai essayé de me tuer en prenant 18 pastilles d'ecstasy; j'ai aussi pris de la cocaïne et j’ai trop bu, alors j'ai eu une overdose et deux arrêts cardiaques. J'ai vu mon âme sortir de mon corps et, à la dernière minute, je me suis souvenu de la prière du Notre Père. Et j’'ai survécu.
J'ai commencé à souffrir de dépression, de problèmes cardiaques et j’ai été interné dans un hôpital psychiatrique pendant un certain temps. Là ils me dopaient avec des médicaments contrôlés.
Jusqu'au jour, où j'ai quitté l'hôpital où je faisais un traitement psychiatrique, je suis passé devant l'Universel de Sítio Cercado (Brésil). C'était un mardi. J’ai assisté à la prière de délivrance et à partir de là ma vie a commencé à changer.
J'ai connu la Force Jeune Universelle et j'ai trouvé des gens qui ont cru en moi et m'ont amené au Seigneur Jésus.
Aujourd'hui, je suis complètement transformé.
Je me suis délivré de l'homosexualité, des drogues, du trafic, de la prostitution, ses tristesses, de l'angoisse, du vide, enfin, tout ce qui me rendait malheureux.
Je suis un homme nouveau, 100 % changé, rempli de la présence de Dieu et heureux.
Luiz
Avec la collaboration de l’Evêque Marcello Brayner

Thabatta


Thabatta Roberta montrait depuis l'enfance, qu’elle n'aimait pas les garçons, dans son adolescence, elle avait honte d'être une femme. À l'âge de 12 ans, elle a commencé à se rendre compte qu’elle n’était pas attirée par les garçons, mais elle l’a toujours caché de sa famille et de ses amis. Elle a traversé beaucoup de problèmes, elle était toujours nerveuse, se disputait avec ses parents, il n'y avait aucun respect à la maison, elle ne voulait rien savoir de tout ce que ses parents lui disaient.
À l'âge de 18 ans, elle a assumé le lesbianisme, elle s’est mariée trois fois avec des femmes différentes. Elle avait une vie troublée, elle était viciée dans la cigarette, elle fumait près de deux paquets par jour, en plus de boire tous les jours. Thabatta investissait tout son salaire dans les soirées et pour subvenir aux besoins des femmes avec qui elle vivait. Cette souffrance s'est prolongée pendant 8 ans de sa vie, elle pensait que Dieu était le coupable de cette situation. Pendant cette période, elle a souffert d'un accident de moto dans lequel le véhicule a eu une perte totale, mais elle n'a pas subi de dommages.
Thabatta pensait qu'il était impossible de se délivrer des vices et de l'homosexualité, jusqu'au jour, grâce à une invitation pour assister à une réunion de l’Universelle, elle a vu qu'il était possible que le changement s’opère et qu'elle pouvait être heureuse.
Aujourd'hui, elle est totalement délivrée des vices, de la dépression, de l'homosexualité et de toute tristesse. C’est une personne remplie du Saint-Esprit, elle a trouvé une raison de vivre et est pleinement heureuse.
Avec la collaboration de l’Evêque Marcello Brayner