jeudi 15 mai 2014

Désorienté...Faites cette prière...


Pensées


La pensée est comment un gouvernail. Un minimum d'inclinaison est suffisant pour vous faire dévier de votre cours.
Lorsque, nous assujettissons le raisonnement à la pensée de quelqu'un, nous dirigeons le gouvernail de notre bateau de la vie en accord avec la vie de cette personne. Si cette personne marche à l’aveuglette dans ce monde, nous allons aussi suivre le même destin.
Lorsque nous soumettons le raisonnement aux pensées du Créateur - de la foi biblique – nous établissons une voie sûre vers un destin heureux. S'il n'y a pas de déviation vers la droite ou vers la gauche, Sa Parole garantit d’atteindre la Terre Promise. Qui le veut, en fasse le test.
Il n’est pas question de suivre une religion, une philosophie ou quoi que ce soit, mais l'utilisation de l'intelligence. La Bible comprend une partie de la sagesse du Créateur et, qui utilise cette sagesse, même si elle est minime, va en extraire la plénitude de la vie.
Quand je pense et pratique les pensées de l'Eternel, je méprise les idées, les conseils et les pensées futiles et vides de ce monde; j’élimine les doutes et les craintes des échecs. Il y a la sécurité, il y a une certitude du chemin à suivre (navire), avec ou sans tribulations (tempêtes), parce que cela ne dépend pas de ce que je sens ou non, mais de ce qui est écrit. Les promesses du Tout-Puissant m'assurent d’arriver à bon port.
La foi intelligente nous amène toujours de l’avant.
Au reste, frères, que tout ce qui est vrai, tout ce qui est honorable, tout ce qui est juste, tout ce qui est pur, tout ce qui est aimable, tout ce qui mérite l'approbation, ce qui est vertueux et digne de louange, soit l'objet de vos pensées. Philippiens 4:8
En d’autres termes:
Au reste, amis, que tout ce qui est faux, tout ce qui n’est pas honorable, tout ce qui est injuste, tout ce qui est impur, tout ce qui n’est pas aimable, tout ce qui ne mérite pas l'approbation, ce qui n’est pas vertueux et indigne de louange, soit expulsé de vos pensées.

Les 4 coupe de vin


La Pâque s’approche et la plupart des gens n'ont aucune idée de ce que représente cette fête. Comme toujours, une célébration spirituelle a pris une connotation commerciale, avec des ventes d'oeufs en chocolat, qui n'a rien à voir avec son sens réel. En Hébreu, Pâque se dit Pessa'h, ce qui signifie le passage, afin que le peuple se souvienne lorsque Dieu a passé par-dessus les maisons des enfants d'Israël en Egypte, les délivrant de la mort.
Et lorsque vos enfants vous diront: Que signifie pour vous cet usage? vous répondrez: C'est le sacrifice de Pâque en l'honneur de l'Éternel, qui a passé par-dessus les maisons des enfants d'Israël en Égypte, lorsqu'il frappa l'Égypte et qu'il sauva nos maisons. Le peuple s'inclina et se prosterna. Et les enfants d'Israël s'en allèrent, et firent ce que l'Éternel avait ordonné à Moïse et à Aaron; ils firent ainsi.(Exode 12:26-27)
La célébration de la Pâque faite par les Juifs consiste en une fête, qui dure toute la nuit, où les familles restent en train de manger, de parler, se rappelant de leur histoire, en chantant, en se réjouissant et, toutes les deux ou trois heures, ils boivent une coupe de vin. Ce sont quatre coupes que boivent les Juifs, chacune ayant une signification spirituelle.
La première est appelée coupe de l'esclavage, pour nous rappeler que le peuple était esclave en Égypte. La seconde est appelée coupe de la promesse, commémorant la délivrance du peuple de l'Égypte. La troisième est appelée coupe de la promesse. La quatrième est appelée coupe de la souffrance.
La nuit où Jésus a été arrêté, avant d’aller au Mont des Oliviers, Il était en train de célébrer la Pâque, Il a pris les 3 premières coupes et Il est sorti avant la fin de la fête. C'est pourquoi Il a dit:
…Mon Père, s'il est possible, que cette coupe s'éloigne de Moi! Toutefois, non pas ce que Je veux, mais ce que Tu veux. (Matthieu 26:39)
Cette coupe est la quatrième, la souffrance. Il savait qu'il devait souffrir pour nous sauver. Donc, il n'était pas possible d’éloigner la coupe. Si grand est Son amour pour nous!
Dieu vous bénisse!
Avec la collaboration de l’Evêque Marcio Carotti

Comment a surgi l'Universelle?


Lorsque Salomon eut achevé de prier, le feu descendit du ciel et consuma l'holocauste et les sacrifices, et la gloire de l'Éternel remplit la maison. (2 Chroniques 7:1)
Lorsque nous méditons sur le fait de ce qu’ont été les holocaustes et les sacrifices, qui ont provoqué la descente du feu et la gloire du Seigneur, comme nous l’apprenons au cours de ces jours, nous comprenons pourquoi l’Universelle fait la différence dans tout le monde: parce qu'elle est un seul feu, un seul Esprit, une seule foi.
Ce n'est pas la somptuosité des cathédrales, ce ne sont pas le réseau de communication, ce n’est pas la capacité à rassembler les foules, mais le simple fait que l'homme connaisse le Seigneur Jésus et abandonne sa vie sur l'autel comme «sacrifice vivant, saint, agréable à Dieu». Cela a provoqué la descente du feu sur le kiosque, au salon funéraire, à l'Abolition, à Duque de Caxias, à Padre Miguel, au Brésil et dans le monde.
Aujourd'hui, ce même homme ne doit pas nécessairement être présent physiquement à l’un de ces endroits au monde, pour que survienne la descente du feu. Les concentrations sont faites par d'autres pasteurs et évêques, mais sur la base du "sacrifice vivant" resté sur l'autel, le feu descend et la gloire de Dieu est visible.
Ainsi nous devons être, parce que si nous sommes le «sacrifice vivant», peu importe les conditions matérielles de nos églises, là descendra le feu du Seigneur et nous verrons tous Sa gloire à travers le salut, de la nouvelle naissance, des guérisons et des miracles dans la vie du peuple. Pas en raison de notre charisme et de notre capacité, mais au nom de nos vies sacrifiées sur l'autel. Considérant que cela ne sert à rien d'être dans une cathédrale, dans un état ou dans un pays avec toutes les conditions, si nous ne sommes pas ce sacrifice «vivant». Là, il y n'aura aucun feu et bien moins la gloire de Dieu sera vue dans cet endroit et qui va être lésé? Le peuple.
Je vous exhorte donc, frères, par les compassions de Dieu, à offrir vos corps comme un sacrifice vivant, saint, agréable à Dieu, ce qui sera de votre part un culte. (Romains 12:1)
Nous suivons tous ces exemples, si nous sommes ce «sacrifice vivant», nous verrons la gloire de Dieu dans notre ministère, là où nous mettrons la plante des pieds. Si nous ne sommes pas le «sacrifice vivant», nous n'allons pas voir la gloire de l'Éternel dans notre ministère, ni dans aucun autre domaine de notre vie.
Que Dieu vous bénisse!
Avec la collaboration de l'Evêque Sergio Correia

Cela semblait impossible de changer...


À 10 ans, j'ai commencé à sentir le désir d'être un homme et j’ai commencé à m'habiller ainsi, je voulais me sentir sûre et protégée, peu à peu, j’en ai fait un «style de vie». J'ai commencé à être mêlée à de mauvaises personnes et j’ai même été menacée de mort par le pire trafiquant du quartier où je vivais. En outre, j’étais très nerveuse et j’agressais physiquement ma mère. J’étais très attachée à ma nièce, je la traitais comme ma sœur cadette, jusqu'au jour où elle a commencé à fréquenter en cachette quelqu’un et tout l'amour que j'avais pour elle, s'est transformé en haine.
Dans mes moments de colère, je buvais du vin, représentant le sang de ma nièce et de son petit ami, j’entendais une voix qui me disait de la tuer alors qu'elle dormait. Sur le moment, je n’y arrivais pas, mais la voix insistait, alors pour ne pas commettre de bêtises, j'ai décidé de changer de ville. J'ai laissé tomber l'université et je suis partie, mais cette haine grandissait de plus en plus. Je pleurais tous les soirs, je ne mangeais pas, je n'avais aucune paix.
Après un certain temps et beaucoup de souffrance, je suis retournée dans ma ville natale et j’ai demandé de l'aide à ma mère, qui a décidé de m’interner dans un hôpital pour un traitement psychiatrique, parce que j'étais schizophrène et dangereuse. À l'intérieur de moi, il y avait un grand combat, je ne voulais pas agir ainsi, mais c'était comme s’il y avait une autre personne en moi. J'ai beaucoup pleuré et j'ai accepté d'être admise comme une folle, parce que dans les moments de lucidité, j'étais une jeune fille normale, mais lorsque j’étais dominée par la haine, je me transformais.
Alors j'ai dit à ma mère que je voulais aller à l’Universelle. Là, j'ai commencé à assister aux réunions, quoique, avec le coeur un peu fermé, j’y suis restée et peu à peu, avec l’attention des ouvrières, j’ai ouvert mon coeur, jusqu'à me réveiller et me donner entièrement à Dieu. J'ai été totalement délivrée de la haine, de la rancune, de l’envie de tuer, des tristesses, des angoisses, des vices.
En tout cas, quand j'ai eu une rencontre avec Dieu, j'ai eu ma vie totalement transformée. Le Saint-Esprit m'a transformé à l'intérieur et à l'extérieur et aujourd'hui, je peux dire que je suis heureuse. Je vais à l’université, je suis en paix avec ma famille et j’ai la joie de vivre.
Juliana Aires - RS/Pelotas - Brésil

Rien à Perdre au Pérou

Le Shopping Center Jockey Plaza, centre commercial le plus connu dans la capitale Lima, au Pérou, est resté trop petit pour recevoir plus de 5 000 lecteurs lors du lancement du livre Rien à Perdre, de l'évêque bispo Edir Macedo.
En quelques heures, 7 034 exemplaires du premier volume de l'oeuvre littéraire, dans la version espagnole, ont été acquis, d'énormes files d'attente ont été formées devant la Librairie Crisol. La vente a été un record jamais enregistré sur le marché de l'édition péruvienne. Les images de la foule au centre commercial a attiré l'attention de la presse locale, voyez comment l'événement s'est déroulé:


Rien à Perdre au Uruguay

À Montevideo, en Uruguay, la célèbre librairie Mosca est restée petite face à la foule désireuse d'acquérir un exemplaire de Rien à Perdre.
Le jour de l'événement, la file d'attente des lecteurs dans l’Avenue du 18 juillet, la principale capitale uruguayenne où se trouve le siège de la librairie, s’est étendue sur plusieurs pâtés de maisons.
En moins de trois heures, plus de 4 000 lecteurs ont acquis 6 472 exemplaires de l’oeuvre.
Voyez le lancement en images:


Foi, dîme et offrandes


Foi, dîmes et offrandes n’existaient pas avant le péché.
C’étaient des choses inutiles parce que la relation créature-Créateur ressemblait à celle des anges. En d'autres termes, il y n'y avait pas la figure de la Porte d’entrée en présence du Très-Haut.
Adam et Eve n’avaient aucune restriction pour entrer dans la présence du Tout-Puissant.
Ce fut à partir du péché que l’Eternel a établi des règles pour que l'être humain entre en Sa présence. Car, comment le profane pourrait entrer devant le Saint des Saints?
La première attitude divine, après le péché, était de sacrifier un animal, forçant la mort à être incluse dans la création, avec la mort a été instituée l'offrande sacrificielle pour l'expiation du péché, l'offrande sacrificielle a institué la foi.
L'animal sacrifié par l’Eternel Dieu a prophétisé le sacrifice de Son Fils Jésus;
Comme le cuir de l’animal a couvert la nudité d'Adam et Eve, le sang de Jésus élimine les péchés de ceux qui L’élisent comme Seigneur et Sauveur.
Jésus Christ est Seigneur de ceux qui, dans la pratique, Le servent.
Les dîmes ou les prémices de la moisson furent une coutume instituée par Dieu devant la Loi et les commandements de Moïse pour prouver la fidélité des serviteurs.
Abraham a payé les dîmes à Melchisédek Genèse 14:20.
Les dîmes symbolisent les fidèles sur l’Autel de Dieu comme Jésus a symbolisé la Dîme de Dieu pour l'humanité.
Jésus était le Fils Unique de Dieu (unique). Plus tard, Il devint le Premier Fils de Dieu (Premier-né) parce qu'à travers Lui, beaucoup d'autres enfants ont été générés par Son Esprit.
Le peuple d'Israël, par exemple, était les prémices de Dieu, en d’autres termes, symbolisait la dîme de Dieu dans le monde.
Israël était consacré à l’ETERNEL, Il était les prémices de Son revenu… Jérémie 2:3
Le péché originel a engendré la mort, qui exige la foi pour le salut, qui exige l’offrande sacrificielle pour le péché (...sans effusion de sang il n'y a pas de pardon Hébreux 9:22), qui exige sacrifice quotidien selon les paroles de Jésus en Luc 9:23:
Si quelqu'un veut venir après Moi, qu'il se renonce soi-même, et qu'il prenne sa croix chaque jour, et Me suive.
Par conséquent, celui qui est prêt à sauver son âme, doit vivre par la foi, qui exige le sacrifice, sacrifice et sacrifice.

Rien à Perdre en Bolivie

Trois événements bondés ont marqué l'arrivée de Rien à Perdre en Bolivie. Le célèbre réseau de librairies Ateneo a abrité les lancements dans les villes de Santa Cruz, Cochabamba et la capitale La Paz, où le président Evo Morales a reçu un exemplaire de la première édition de l’ouvrage. Au total, 3 907 livres ont été vendus à un auditoire d'environ 2 500 personnes.

Voyez les photos:


Rien à Perdre en Amérique Centrale

En République dominicaine, Guatemala et Costa Rica, des événements super bondés ont été réalisés dans la tournée de «Rien à Perdre» à travers l'Amérique Centrale. A Saint-Domingue, en République dominicaine, plus de 500 participants ont assisté au lancement à la librairie Cuesta. Dans la ville de Guatemala, plus de 450 personnes étaient réunies et dans la ville du Costa Rica à San Jose, plus de 400 lecteurs ont bondé la Librairie Internationale, la plus célèbre du pays. Au total, les trois pays ont acquis plus de 2 000 exemplaires de la version espagnole de l'ouvrage biographique de l'évêque Edir Macedo.
Voyez les photos:

Rien à Perdre Argentine

La semaine dernière, l'Argentine a tenu le plus grand de tous les lancements du livre «Rien à perdre 2» partout dans le monde. Les chiffres record du marché littéraire argentin impressionnent! 21 événements ont été propagés dans les librairies et les centres culturels, partout dans le pays, avec un total de 120 100 exemplaires acquis de la version espagnole de l'ouvrage. Dans chacune des villes, des files d'attente avec des milliers de lecteurs se sont répandues dans les rues et les couloirs des centres commerciaux. Le premier volume de la biographie de l'évêque Edir Macedo a été un succès, avec la vente de 56 300 exemplaires, mais cette fois-ci, les nouveaux chiffres de vente ont été encore plus surprenants. L'événement principal qui s'est déroulé dans la célèbre et magnifique librairie «El Ateneo», considérée comme le symbole culturel du pays, a compté avec la participation de l'évêque Djalma Bezerra, le responsable de l’Universelle en Argentine. La presse locale a mis en évidence la forte répercussion de l'arrivée de «Rien à perdre 2.».
Suivez le lancement en images:


Cela semblait impossible de changer...



Je m’appelle Leticia Del Rio, j'ai 26 ans. Je viens d'une famille évangélique et j’ai été élevée dans une église. J'ai toujours eu un grand désir de connaître Dieu, mais je ne l'avais jamais connu réellement.
Lorsque j'étais enfant, je voyais des ombres, je me sentais mal, j'avais très peur. Dès petite, je demandais à ma mère, pourquoi je n'étais pas née garçon.
À l'âge de 14 ans, j'ai été baptisée dans la dénomination, où j’allais. Tout le monde pensait que j'étais un exemple, parce que j’étais une petite fille tranquille, calme et je voulais vraiment connaître Dieu, mais je n'avais aucune direction - en moi-même, il y avait un vide énorme.
Cependant, je me suis laissée emporter par de nouvelles amitiés et, en peu de temps, je suis devenue une jeune rebelle. J’ai commencé à boire et à fumer, puis à fréquenter un garçon très jaloux, qui m’a même agressée physiquement. Ce fut un point final pour moi, c'était ce qui manquait pour qu’une graine fleurisse: j’allais à des fêtes alternatives, où je fréquentais des femmes et je plongeais encore plus dans l’alcool et les drogues.
Ma vie est devenue une folie, je faisais ce qui bon me semblait, sans en mesurer les conséquences, sans penser à rien et ni à personne. J’avais une aventure derrière l’autre, je restais avec beaucoup de filles et, parfois, même avec des garçons «drag queens». Je pensais que j’étais la meilleure, mais ma vie était un vrai chaos. Je travaillais beaucoup, mais tout ce que je gagnais, je le dépensais dans les fêtes, les femmes, l’alcool et les drogues.
J'ai pensé qu’en changeant de ville, je pourrais transformer ma vie, alors une amie et moi, sommes allées à Florianópolis (Brésil) afin de tout recommencer. La ville a changé, l'état a changé, mais les problèmes étaient toujours les mêmes. Plus de drogues, plus d’alcool, plus de mensonge, plus de folie.
Je suis retournée à Sorocaba (São Paulo), là j’ai eu deux débuts d’overdose. J’étais alcoolique et je buvais presque tous les jours, je n'avais plus de contrôle. J’ai arrêté de consommer de la cocaïne, par peur de mourir, mais j'ai commencé fumer de la marijuana pour dormir, car ce n’était qu’ainsi que je n'avais plus de terribles cauchemars. Cependant, je n'étais pas seulement dépendante de l'alcool ou des drogues, mais aussi des personnes.
En tout cas, j’ai touché le fond en me lançant dans le sadomasochisme.
J'ai emménagé avec une fille et nous avons vécu un enfer. Un jour, elle même m'a dit que cela ne pouvait pas durer. Dans un premier temps, j'ai dit que, finalement, j’allais arrêter avec tout, mais jamais je ne cesserais d’aimer les femmes, parce que je pensais que j’étais née ainsi.
J'ai assisté à plusieurs parades gays, je défendais, bec et ongles, l'homosexualité, je suis même allée à une manifestation à Brasilia, pour revendiquer des droits. Mais, j’ai finalement, cédé.
Ce fut ainsi, dans cette situation, qu’un dimanche, à 7H00, au mois de février 2012, je suis venue à l'Universelle. Je ne croyais plus en moi-même. J'ai parlé avec le pasteur, j’ai pleuré et il a dit qu’à partir de là, il allait lutter pour moi, j'ai alors décidé de m'abandonner, avec toutes mes forces, à Dieu. C'est tout ce que j'avais toujours rêvé: une nouvelle chance.
Ce que je pensais être impossible, Dieu l’a rendu possible. Je suis passé par un processus de délivrance et les ouvriers et les pasteurs ont pris soin de moi, jusqu'à obtenir ma rencontre avec Dieu.
En plus d'être aidée et d’être très bien accueillie, ce fut dans la Force Jeune, que j’ai eu la possibilité de transmettre ce que Dieu a fait dans ma vie et d’être en mesure d'aider d’autres jeunes, qui se trouvent perdus et ne croient plus en eux-mêmes.
Je suis heureuse, je suis née de nouveau et suis une femme de Dieu, parce que quelqu'un a cru en moi.

Rien à Perdre 2 au Luxembourg

Au Luxembourg, l'un des plus petits pays d'Europe, plus d'un millier de personnes ont acquis 2.021 exemplaires de l’ouvrage, en seulement quelques heures, lors du lancement du livre Rien à Perdre.
L'événement a eu lieu au Centre Culturel Tramsschapp, l'un des plus prestigieux lieux culturels de la capitale du Luxembourg.
Voyez le lancement en images:


Rien à Perdre 2 à Porto

Dans la ville de Porto, au Portugal, une foule a reçu le second volume de Rien à Perdre. L’un des plus élégants espaces culturels de cette région du pays a été envahi par des centaines de lecteurs. L’évêque Julio Freitas, responsable de l’Universelle en Europe, a signé des livres pendant plus de deux heures. En Allemagne, le célèbre portail des actualités Deutshe Welle, a mis en évidence le succès des Mémoires de l'évêque Edir Macedo dans un reportage sur le marché littéraire brésilien.
Voyez le lancement en images:


Vivre éternellement


Parmi tous les arbres du jardin d'Eden, deux étaient en évidence: celui de la connaissance du bien et du mal et l'Arbre de Vie. L’un apportait la mort à ceux qui en mangeraient le fruit et l'autre la vie éternelle. Comme nous le savons, la première était présente pour que l'homme serve et adore Dieu par amour et avec liberté et non par obligation. C'était un test pour que l'homme manifeste le libre arbitre offert par le Très-Haut. L'Arbre de Vie montrait le désir du Créateur pour que l'homme, fait à Son image et ressemblance, ne soit pas assujetti à la mort, qui a vu le jour par le péché.
Lorsque l’homme a péché, Dieu l’a expulsé du jardin et a mis les chérubins pour garder le chemin de l’arbre de vie, afin d’empêcher l’homme d’en manger et de vivre éternellement (Genèse 3:22-24).
La plus grande crainte de l’être humain est de savoir qu'un jour, il va mourir, pour cela Satan dit à Dieu de toucher à tout ce qui lui appartient et il était sûr qu'il allait Le maudire en face, car l’homme donnerait tout pour sa vie. Les scientifiques qui travaillent à la recherche d'un traitement, qui puisse augmenter la longévité. Depuis l'antiquité, les hommes ont toujours cherché l'immortalité. Tout le monde rêve et a le désir de vivre éternellement.
Alors que la science se démène pour trouver le secret de l'immortalité, le Seigneur Jésus a révélé la formule pour ceux qui veulent vivre éternellement !
Il a dit: C'est ici le Pain qui est descendu du ciel. Il n'en est pas comme de vos pères qui ont mangé la manne et qui sont morts: celui qui mange ce Pain vivra éternellement. Jean 6:58
En d’autres termes, le Seigneur Jésus, a offert Sa Chair et Son Sang, Il nous a donné l’aliment qui garantit la vie éternelle. C'est la seule façon que l'être humain vive éternellement. C'est très glorieux, parce que l'homme a perdu l'accès à l'Arbre de Vie qui était dans le jardin, toutefois, notre Seigneur concède à tout celui qui s’alimente de lui et a le droit à l'éternité.
Avec la collaboration de l'Evêque Domingos Siqueira