vendredi 21 juin 2013

Chaque chose à sa place


Dans le livre d’Ecclésiaste vous trouvez écrit la chose suivante : « Il y a un temps pour tout, un temps pour toute chose sous les cieux… » (Chap. 3 :1)
Au-delà d’exister un temps pour chaque chose, il existe également un endroit pour chaque chose. Prenons l’exemple de votre maison : il existe une pièce, un endroit pour chaque chose.
  • ·      La chambre pour vous reposer.
  • ·      Le garage pour rentrer la voiture,
  • ·      Le salon pour vous détendre et regarder la TV,
  • ·      La salle à manger pour recevoir vos invités,
  • ·      La cuisine pour préparer le repas,
  • ·      Les toilettes pour vous soulager,
  • ·      La salle de bain pour prendre soin de votre hygiène…

Pouvez-vous vous brosser les dents dans la cuisine ? Non ? Bien sûr que oui ! Mais ce n’est pas l’endroit adéquat… Le bon endroit est la salle de bain !
Pouvez-vous dormir dans le salon ? Oui, mais ce n’est pas l’endroit adéquat, le bon endroit est votre chambre !
Et ainsi de suite…
Beaucoup de personnes disent qu’il n’est pas nécessaire d’aller à l’église, Dieu est partout, elle peut prier chez elle, dans la rue, sur son lieu de travail…
C’est vrai ! Dieu est partout, mais cela ne signifie pas que tout endroit est adéquat pour le chercher !
« Tu te réjouiras devant l’Eternel, ton Dieu, dans le lieu que l’Eternel, ton Dieu, choisira pour y faire résider son Nom… » (Deutéronome 16 :11)
Et le lieu que Dieu a choisi pour que Son Nom réside n’est pas votre maison, ma maison, mon travail ou n’importe quel endroit.
Que la personne le veuille ou non, cet endroit est l’église, la Maison de Dieu, où la personne peut écouter Sa Parole, trouver le repos de son âme, se laver de ses souillures, reprendre des forces, partager la Cène, présenter ses offrandes et ses dîmes…
L’église est le lieu adéquat pour chercher Dieu…

Vous pouvez essayer de le faire ailleurs, mais le résultat ne sera pas le même !

mercredi 19 juin 2013

Pourquoi l'argent est important dans le sacrifice ?





L’autre sens du mot SACRIFICE est renoncement à quelque chose de précieux.
Il est très fréquent d'entendre les gens parler à l'intérieur de l'église qu’ils se rendent de corps, âme et esprit à l'Autel, cependant, dans la plupart des cas, nous ne voyons pas la réponse de Dieu se matérialiser dans leur vie. Pourquoi? C’est simple. Nous avons deux jambes pour nous faire arriver où nous voulons. Quand nous marchons, nous mettons la force du corps entier sur la jambe gauche, tandis que la droite se déplace. Puis nous mettons la force de tout le corps sur la jambe droite, tandis que la gauche avance, n’est-ce pas? Le sacrifice est aussi ainsi: il y a une jambe spirituelle et la jambe du matériel. Beaucoup placent toute leur force spirituelle à peine sur le spirituel - Il prient, se détournent du péché, mais ont peur d'agir la foi, renonçant sur l'autel à ce qui appartient au corps, à l'âme et à l'esprit, c'est-à-dire le sacrifice matériel.
"Ainsi donc, quiconque d'entre vous ne renonce pas à tout ce qu'il possède ne peut être mon disciple." (Luc 14:33).
Cette renonciation à l'autel signifie avoir la conscience que tout ce que nous avons: maison, voiture, argent, enfants, mari, épouse, etc., ne nous appartiennent pas – c’est avec nous seulement comme un prêt que Dieu peut nous demander, à tout moment, lorsqu’Il le souhaite et nous serons prêts à le remettre à l'Autel, même si cela coûte un sacrifice.
"ÉTERNEL, notre Dieu, c'est de Ta main que viennent toutes ces richesses que nous avons préparées pour Te bâtir une maison, à Toi, à Ton saint nom, et c'est à Toi que tout appartient." (1 Chroniques 29:16)
Vous pourriez me demander: pourquoi l'argent est important dans le sacrifice?
Nous avons vu plusieurs fois des nouvelles de mères, donnant leurs enfants à des tiers pour les adopter avec l’excuse qu’elles sont incapables de les élever, mais avez-vous déjà vu une mère donner une boîte avec des millions de dollars à quelqu'un, prétendant qu’elle ne peut pas s'occuper de ces «pauvres» billets verts? Et oui. Il est possible de vivre sans enfants, sans mari, sans famille, mais pas sans argent, parce que l’être humain en a besoin pour survivre. Ce qui nous appartenait, nous appartient et nous appartiendra, une fois rendu à l'Autel, entre les mains de Dieu, symbolise ce que nous étions, ce que nous sommes et ce que nous serons sur l'Autel.
Si vous ne souhaitez pas dépendre de personne comme d'une béquille, mais seulement de vous-mêmes et de Dieu pour atteindre vos conquêtes, quel que soit le domaine, ils agissent alors la foi sur l'Autel avec les deux jambes du sacrifice, la spirituelle et la matérielle. Ainsi vous ne marcherez plus seuls, mais vous courrez à la recherche de vos succès respectifs.
Pensez-y!
Que Dieu vous bénisse.
Publié par Evêque Edir Macedo

Photo de l'âme





L'histoire de Caïn et Abel se répète tous les jours dans les églises chrétiennes. Tous les jours, les chrétiens – bons ou mauvais – présentent leurs offrandes. La plupart déposent le fruit de leur travail devant l'Autel, tandis que la minorité dépose les prémices – les premiers fruits avec la graisse sur l'Autel.
L'offrande de Caïn, avait apparemment de la valeur parce qu’elle était volontaire. Dieu n'a rien demandé. Au bout de quelque temps, Caïn fit à l'ÉTERNEL une offrande des fruits de la terre;
Il est probable qu'il est attribué le miracle de la multiplication au Seigneur et voulait Le remercier.
Offrande méprisable, offrande avec dédain, avec malice, qui porte en elle une plainte, immonde, offrandes agréables et toutes les autres offrandes reflètent à peine ce qu’il y a dans le cœur de l'offrant.
L'offrande est la photo en couleur du cœur de l'offrant devant Dieu.
Si c'est une offrande immonde (blessée), Jésus enseigne: Si donc tu présentes ton offrande à l'autel, et que là tu te souviennes que ton frère a quelque chose contre toi, laisse là ton offrande devant l'autel, et va d'abord te réconcilier avec ton frère; puis, viens présenter ton offrande. (Matthieu 5:23-24)
Dieu n’a pas détaillé le type de fruit, ni sa qualité, comme fut l'offrande d'Abel. Il l’a simplement rejeté à cause du cœur de celui qui offre. Elle est restée devant l'autel et a pourri là, de la même manière, qu’a été toute la vie de Caïn.
Tout cela parce qu’il avait en lui, quelque chose de mal:
Certainement, si tu agis bien, tu relèveras ton visage. S’il aurait bien agi, il aurait été accepté.
Contrairement à Caïn, Abel, comme pasteur, de son côté, en fit une des premiers-nés de son troupeau et de leur graisse.
Rien d’aléatoire ou de n’importe quelle façon. Il a cherché et a choisi parmi son énorme troupeau quelque chose qui exprime la foi, l’amour, la gratitude et la crainte. Quelque chose qui reflétait une attitude personnelle de se livrer à Dieu. Il voulait vraiment faire plaisir au Seigneur...
Ce ne fut pas, par hasard, que c’est par son offrande, qu'il fut déclaré juste.
C'est par la foi qu'Abel offrit à Dieu un sacrifice plus excellent que celui de Caïn; c'est par elle qu'il fut déclaré juste, Dieu approuvant ses offrandes; et c'est par elle qu'il parle encore, quoique mort. (Hébreux 11:4)
Publié par Evêque Edir Macedo

Soupe de vers de terre





Ainsi comme il est impossible de maintenir un mariage sans sacrifice du couple, il est également impossible de maintenir un pacte avec Dieu sans un sacrifice personnel.
Le sacrifice du renoncement à soi-même, sacrifice du poids de la croix et le sacrifice de suivre les pas de Jésus, jour après jour, jusqu'à la mort.
Pacte, alliance, entente ou mariage exige de se livrer, exige du dévouement et de la fidélité.
En d’autres termes, foi et amour.
Au-delà du Calvaire, le Seigneur Jésus continue à sacrifier, en tolérant nos failles et faiblesses tous les jours.
Pour notre part, il doit y avoir abnégation de notre propre volonté, il faut supporter la croix du rejet des enfants du monde et suivre Ses pas, jour après jour.
Est-ce facile?
Non, ce n'est pas facile.
Mais qui a promis la facilité dans la conquête du Royaume des Cieux?
Jésus a averti que la porte, resserré le chemin et il y en a peu qui les trouvent. (Matthieu 7:14)
Il a également dit que depuis le temps de Jean Baptiste jusqu'à présent, le royaume des cieux est forcé, et ce sont les violents qui s'en emparent. (Matthieu 11.12)
Ainsi, qui trouve que Jésus a déjà sacrifié et qui n'a pas besoin de sacrifier va aussi en enfer, même en croyant Jésus.
Le Royaume des Cieux n'est pas pour les indolents, les paresseux ou pour ceux qui aiment les facilités.
Celui qui veut la facilité, qu'il prenne une soupe de vers de terre.
Publié par Evêque Edir Macedo

Maintenant la foi pure



« Je descendis dans la maison du potier, et voici, il travaillait sur un tour. Le vase qu'il faisait ne réussit pas, comme il arrive à l'argile dans la main du potier; il en refit un autre vase, tel qu'il trouva bon de le faire. Et la parole de l'Éternel me fut adressée, en ces mots: Ne puis-je pas agir envers vous comme ce potier, maison d'Israël? Dit l'Éternel. Voici, comme l'argile est dans la main du potier, ainsi vous êtes dans ma main, maison d'Israël!» (Jérémie 18:3-6)
Méditant sur le fait que le vase n’a pas réussit dans les “mains” du Potier (Dieu), je comprends que la seule chose qui limite Son pouvoir est notre libre arbitre.
L’un des plus grands empêchements pour l'accomplissement du propos de Dieu dans les dernières générations, est l'idée, de plus en plus globale, que “nous avons le droit de faire ce qu’il nous plaît et cela n'a rien à voir avec personne”. Celui qui a cette attitude envers les personnes, aura inévitablement, la même attitude, envers Dieu.
En effet, ne Le traitons-nous pas de cette façon parfois?
Lorsque nous sommes jeunes et la foi est “pure”, nous pensons que nous avons une idée bien claire de ce que Dieu veut de nous et par notre biais. Maintenant que nous sommes plus âgés, nous comprenons combien nous sommes bien loin de cela et c’est de notre faute.
Dieu n'a pas été capable de faire de nous et pour nous, ce qu'Il “voulait et avait planifié”, parce que nous résistons à Son pouvoir et nous permettons que les autres influences nous modèlent en quelque chose de moins utile et précieux. Pour cela, l'autel est le lieu où nous devons maintenir le “libre arbitre”, en d’autres termes, ce dernier doit être SACRIFIÉ.
Mais il y a encore de l’espérance pour celui qui “veut” être modelé par Dieu, indépendamment, de combien de temps nous Lui résistons. Saul de Tarse était un vase gâté tant qu'il résistait au pouvoir de la Parole de Dieu et “donnait des coups de pied contre l'aiguillon*”, mais lorsqu'il a demandé, en tremblant “Que ferai-je Seigneur?”. Dieu l'a transformé en un vase d'honneur.
Peu importe combien peut être gâté notre propre vie, ou depuis combien de temps nous sommes dans cette malformation, si “nous voulons” ce changement de TOUT notre être et force, Dieu la réalisera dans notre vie.
Que Dieu vous bénisse.
*L'aiguillon est une longue tige de métal avec une pointe aiguë, en vue d’incommoder et de causer de la douleur dans l'animal, le faisant obéir à son propriétaire. Cela n'était utilisé que sur les animaux têtus et obstinés.
Publié par Evêque Edir Macedo