mardi 18 mars 2014

Exemple de foi: Paraplégique…



L'incroyant parle et va loin. Le chrétien, bien des fois, se tait. Ceci étant, Thiago Helton, paraplégique, n'est pas influencé par les difficultés pour parler de la foi qui le soutient. Sur cette photo, lors de l’évangélisation à la Place de la Febem à Belo Horizonte (Brésil), Thiago nous dit: «Je partage la gloire du Dieu tout-puissant qui me soutient»

"Rien à perdre 2" au Mozambique

Le lancement du "Rien à Perdre 2" au Mozambique a rassemblé une foule dans le Centre de conférence le plus renommé de la capitale Maputo. Des files interminables, les autorités de l'Etat et plus de cinq heures de signatures avec une vente totale de 31 517 exemplaires, dépassant ainsi les chiffres du premier volume. Voyez le lancement, en images:



Le Seigneur ou Barrabas?




Le gouverneur prenant la parole, leur dit: Lequel des deux voulez-vous que je vous relâche? Ils répondirent: Barabbas. Pilate leur dit: Que ferai-je donc de Jésus, qu'on appelle Christ? Tous répondirent: Qu'il soit crucifié! Matthieu 27:21-22
Cette décision que le peuple a prise dans le passé, continue à être prise aujourd'hui, à tout moment, par chacun d'entre nous. Mes décisions donnent toujours la liberté à l’un et la prison à l'autre. La question est de savoir qui est qui. Le Seigneur Jésus est la vérité et la justice. Barrabas représente le vol, la tromperie et le mensonge.
Lorsque ma décision est en accord à la volonté de Dieu, je donne la liberté au Seigneur Jésus d’agir dans ma vie et, en même temps, je maintiens le diable enfermé, attaché.
Lorsque l’on prend une décision contraire à la volonté de Dieu, immédiatement, on donne la liberté au diable de faire ce qu’il veut, à l’heure où il veut, dans la vie de celui qui lui a donné la liberté, par le biais de la décision prise. En même temps, le Seigneur Jésus reste dans l’impossibilité d'agir dans cette vie, même s’Il le veut.
Ma décision détermine qui aura la liberté ou non dans ma vie dans ma vie. Dans votre vie, c'est votre décision.

Insatiable ou comblé?





C'est l'histoire de ma vie, de la vôtre et de tant de millions de personnes qui vivent dans ce monde. Lorsque nous avons ce que nous voulions tellement, cela ne nous suffit plus. Cependant, ma recherche a seulement cessé quand j'ai voulu avoir ce qui SUFFIT!
“Et il m’a dit: Ma grâce te suffit, car ma puissance s’accomplit dans la faiblesse.” (2 Corinthiens 12:9)
Combien ont la santé, la renommée, la famille, les bijoux, les diplômes, l’influence politique, l’argent, vont aux fêtes, font des voyages, mais rien ne leur semble suffisant? Des millions, des milliards... Il semble que leur vie est une constante recherche de ce qui suffit, il semble que rien de ce qu’ils possèdent, soit suffisant pour apaiser ce désir insatiable.
Mais, si il n'y a rien qui vous suffise, qui soit suffisant dans votre vie, c'est parce qu'il manque ce qui SUFFIT et vient de Dieu. Et ce qui vous SUFFIT va au-delà des solutions aux problèmes, de l’obtention des objectifs et des réalisations de rêves. Savez-vous qu’est-ce qui Lui SUFFIT? Non? Alors, vous allez le savoir maintenant: c’est le Saint-Esprit!!! 
Mais, pourquoi cela vous arrive? Parce que seule la GRACE de Dieu nous SUFFIT.
Et quelle est la Grâce de Dieu? La Grâce Dieu est le Saint-Esprit, Qui S’accomplit dans nos faiblesses, dans l’objectif de nous rendre forts, pour que nous puissions rester fermes et vaincre.
Maintenant nous pouvons comprendre la raison pour laquelle, même en ayant la santé, une maison, de l’argent, la famille ou même le monde à nos pieds, cela ne suffit pas. Nous comprenons pourquoi il y a tant de gens qui semblent avoir «tout», mais ce «tout» n'est jamais suffisant, ou cela leur suffit et pourquoi? Parce qu'ils n'ont pas ce qui SUFFIT et vient de Dieu, qui est le Saint-Esprit.
Ce qui SUFFIT de Dieu est tout ce que nous avons besoin et nous devons être vraiment heureux et complets. C’est le point de départ pour tout dans la vie, parce que, si vous avez ce qui SUFFIT, tout le reste arrivera et sera un complément et non l’objectif principal, car cela vous l’avez déjà, c’est ce qui SUFFIT! Tout au long de ces 36 ans, nous avons vu des millions de personnes arriver à l’Universelle sans rien et aujourd'hui, parce qu'elles ont été Baptisées du Saint-Esprit, ont tout, ont tout surpassé et ont tout conquis.
Alors qui a le ce qui SUFFIT de Dieu, n'est pas attiré par quoi que ce soit, parce qu'il a déjà tout. Il ne craint rien parce qu’il a déjà vaincu ses pires ennemis, son propre ego, la peur de la mort et les démons. Le «monde» peut même attirer son attention, mais il n’a aucun attrait, parce qu'il (elle) a ce qui SUFFIT de Dieu.
Et pour tous ceux qui veulent un «cela suffit» définitif dans leur anxiété, dans leur indéfinition, dans leur situation honteuse en amour, dans la famille, le domaine professionnel, etc., il n’y a qu'une seule façon, et c’est ce qui SUFFIT de Dieu, le Saint-Esprit, qui nous rend forts, comme IL EST FORT.
JE N’AI PAS DE RENOMMÉE, je n’ai pas d’argent, d’expérience, des qualités, mais parce que j'ai ce qui SUFFIT de Dieu - QUI EST SON ESPRIT - je suis à 100 % COMBLÉ!!! Et vous?
Je vous vous à l’EURD, ou dans les Nuages!
Avec la collaboration de l'Evêque Júlio Freitas

Une personne, deux réalités





Nous avons tous deux réalités, la nôtre et celle de Dieu. Le nôtre est celle que nous voyons, vivant, entouré de notre famille, de nos amis et de nos connaissances. Là où les problèmes sont réels, les luttes constantes, les situations impossibles s’élèvent de tous côtés et il existe des défis, qui nous mettent à l'épreuve à tout moment. Cela ne sert à rien que quelqu'un dise que c'est différent, cela ne sert à rien de feindre pour soi-même, c'est notre réalité et voilà.
C'est pourquoi, il existe une difficulté lorsqu'on présente la foi dans le Seigneur Jésus comme la solution pour changer de vie. C'est comme si une voix disait: "Tout ce que vous écoutez est bien beau, c’est même intéressant, mais n'oubliez pas votre réalité".
Abraham a vécu avec sa famille, ses parents et amis; il s’était établi dans le pays d’Ur, qui fut sa réalité. Un jour, Dieu lui apparut et, lui a dit, en d'autres termes: «Laisse tout et viens vers Ma réalité». Il n'a pas dit oui ou non, il a tout simplement laissé et est parti, il a considéré cela comme un ordre de Dieu.
A un autre moment, Abraham était heureux, parce que tout ce que Dieu lui avait promis était arrivé. Les promesses s’accomplissaient, il y avait la prospérité, là où il mettait les mains, il était béni, cela avait valu la peine d'avoir tout laissé pour entendre la voix de Dieu, il semblait que rien ne lui manquait et qu’il n’avait besoin de plus rien, c’était sa réalité.
Un jour Dieu lui a dit: "Prends ton fils, ton unique, celui que tu aimes et offre-le en holocauste". Une fois de plus, Dieu l'appelait pour laisser sa réalité et pour entrer dans la réalité du Royaume des cieux. Vous connaissez déjà la fin de l’histoire, sinon lisez-la en Genèse 22.

La vérité est la suivante: Si vous êtes fatigué de voir les merveilles de Dieu dans la vie des autres, de voir des personnes raconter leur témoignage, de voir ceux de plusieurs personnes qui ont été transformées, faites ce qu'elles ont fait.
Nous sommes les enfants de la foi d'Abraham. Pourquoi? Parce que nous obéissons. Cette foi d'obéissance à la Parole de Dieu est ce qui va vous faire sortir de votre dure réalité vers la réalité de Dieu, vous allez passer du "i" des impossibles vers le "p" des possibles, mais la décision nous appartient toujours.
D’ailleurs nous voyons ceux qui ont passé quelque temps dans le Royaume des Cieux, mais ont senti une certaine nostalgie et sont retournés à leur réalité, ce n’est même pas nécessaire de dire que leur vie est un véritable enfer.
Avec la collaboration de l’Evêque Gonçalves

"Cela semblait impossible de changer de vie...





Mon enfance semblait être comme celle de tout le monde, bien que, dès mes 10 ans, quelque chose a commencé à me distinguer des autres. À l'intérieur de la maison, mon comportement et ma condition physique ressemblaient à ceux de ma soeur, cela semblait étrange pour mes frères. Cela a aussi surgi, dans la rue, face à mes amis, au point d'être pris pour une fille à l'école. Au fur et à mesure que le temps passait, je m'habituais à l'idée que cela me faisait sentir bien. Comme si j'avais découvert mon identité réelle.
À l'âge de 15 ans, j'ai décidé de prendre mon homosexualité, provoquant la révolte de certains membres de la famille, mais aussi l'éloge d’autres qui ont compris mon choix. J’ai toujours clairement affiché: «je suis né ainsi, je vais mourir ainsi.» J’ai compris que c’était le meilleur pour moi et j'ai appris à m'habituer à cette situation. Au fil du temps, je m’y suis impliqué encore plus, j’ai établi des projets et monté des rêves. J’ai eu des petits amis, je les ai fréquentés, j’ai fait de tout et me suis même mêlé à des hommes mariés. C'était incroyable de voir comment ils me désiraient plus que leurs propres épouses. Ils étaient fatigués de la routine et se sont aventurés avec moi, voulant «quelque chose de différent».
En période de carnaval, nous louions des maisons de plage afin de profiter de la saison de la meilleure manière. Il y avait tout: drogues, alcool, orgies, en tout cas, tout ce je pensais être le meilleur pour moi, cependant, cette illusion avait un prix. J’essayais de me tromper à moi-même, mais je n’y arrivais pas. Même en vivant cette fantaisie, j’étais totalement déprimé, angoissé, j’étais dégoûté de moi-même et j’avais le désir de me suicider. Je souriais pour un moment, mais je pleurais toute la journée en moi-même. J'ai été humilié, rejeté par la famille et les amis, je me sentais seul et toujours vide.
Je cherchais un bonheur qui semblait ne jamais exister, jusqu'à ce qu'une ouvrière a décidé de faire une visite chez moi, sur l'invitation de ma mère. Après beaucoup d'insistance, j'ai décidé d'aller à l'église avec mon ex-compagnon, avec qui je vivais depuis près de 2 ans. Avec le temps, j'ai ouvert mes yeux et j’ai laissé cette relation, assumant véritablement le Seigneur Jésus. Je me suis délivré lors des chaînes de prières à l’Universelle, cherchant à chaque jour ma rencontre avec Dieu. Le plus drôle est que j'ai été plus critiqué pour aller à l'église que pour mon passé.
Aujourd'hui, que je suis pleinement un homme et un homme de Dieu. Je suis un entrepreneur à succès dans ma ville et un ouvrier de l’œuvre de Dieu, je dédie la majeure partie de ma vie à aider ceux qui sont dans le besoin.
Voyez ce que je suis devenu...

Avec la collaboration de l'Evêque Marcello Brayner

"Cela semblait impossible de changer de vie...


À l'âge de 6 ans j'ai été agressé sexuellement par un membre de ma famille. En raison de cette souffrance, lors de mon adolescence, j'ai commencé à avoir des rapports avec des hommes et à chercher les esprits. Pendant deux ans, je me suis préparé pour recevoir une entité maléfique. Peu après cette période, j’ai commencé des rituels en rasant ma tête et cela pendant plus de trois ans.
Lors de cette étape de ma vie, j’ai aussi contracté des maladies que la médecine n'était pas en mesure de trouver la cause. Mais, une maladie appelée, tuberculose ganglionnaire est survenue et m’a complètement terrassé. A cette époque-là, j'ai perdu mon petit ami, avec qui j’avais des rapports depuis deux ans, lors d’un tragique assassinat, qui s'est produit à l'intérieur de sa voiture. Lui et sa sœur revenaient d'un spectacle promu par une maison close.

J’ai eu beaucoup de tragédies sur mon chemin de douleur, mais malgré cela, j'étais encore dominé par le mal. La vérité est que, à l'intérieur de moi, il y avait un vide si grand, que j’essayais de le combler avec des sorties quotidiennes, l’alcool, les médicaments, entre autres choses. J’en suis même arrivé à passer par des situations où j'ai été mis à mort, ceci en raison de mon homosexualité et pour être, également le président de la Parade LGBT de Caxias, à Rio de Janeiro. J'ai ainsi commencé à porter une arme à feu dans les rues, en raison de la crainte, que je ressentais.
Attaché à cette vie, mais voulant vraiment une transformation, je suis allé en 2011 à l'Universelle. Même éloigné de Dieu et sans fréquenter l’église, j'écoutais le message de l'évêque Macedo à la radio. Un jour, à la fin d’une émission, un autre programme a été diffusé, là le pasteur a dit que ma vie allait changer et a invité les auditeurs à venir à 15H00 à l’Universelle Del Castilho.
J’y suis allé et j'y ai rencontré ceux qui ont cru en moi et m'ont aidé. J'ai commencé à assister à des réunions quotidiennes et là j'ai remarqué le changement.
Aujourd'hui, à l'âge de 28 ans, j’ai une vie totalement transformée. Je me suis délivré des esprits malins, de l'homosexualité, de la prostitution, des vices, des maladies, de la tristesse et de tout ce qui m'a fait souffrir.
Roger
Voyez ce que je suis devenu...

Avec la collaboration de l'Evêque Marcello Brayner