vendredi 7 décembre 2012

Un prêtre violemment agressé par ...un autre prêtre




Les faits de la Babylone.

Du jamais vu.

Un prêtre cagoulé a agressé un autre prêtre. L'agresseur, le père Jean-Marie Perrin, 71 ans, ancien curé de Maixe, commune située entre Nancy et Lunéville, a reconnu avoir physiquement agressé, le jeudi 9 novembre, en fin de soirée, le père François Geoffroy 75 ans, qui l'avait remplacé, comme curé de cette paroisse.

L'agresseur - qui a envoyé son confrère à l'hôpital pour des douleurs costales et une légère blessure au visage - s'est livré à la police le 12 novembre en reconnaissant les faits. La justice civile va poursuivre en raison du dépôt de plainte qui n'a pas été retiré mais le diocèse de Nancy pourrait aussi régler cette affaire exceptionnelle dans le cadre du droit canonique,

Un Cri du Ciel


“Je vous ai aimés, dit l'ETERNEL...” (Malachie 1:2)
L'amour de Dieu est un fait. Cependant, on ne peut jamais penser qu'un tel amour soit capable de tolérer le péché. Dieu est Juste, Parfait, Pur, Il pardonne l'iniquité et celui qui se repentit, Il est lent à la colère, mais il ne tient point le coupable pour innocent. Sa Justice, Sainteté et Pureté n'admettent pas de marier Son amour avec les injustices, les corruptions et les impuretés humaines.
Comprenez les textes prophétiques suivants:
“L'Éternel est lent à la colère et riche en bonté, il pardonne l'iniquité et la rébellion; mais il ne tient point le coupable pour innocent...” (Nombres 14:18)
“L'Éternel est lent à la colère, il est grand par sa force; Il ne laisse pas impuni. ” (Nahum 1:3)
Beaucoup de chrétiens s'appuient, à la légère, sur le fait que Dieu soit Amour. Pour cela, ils vivent une vie sans compromis envers la Crainte de Dieu. Se corrompent avec toute sorte d'immoralités, d'idolâtries, de mensonges et de tromperies. Ils s'unissent au monde.
Leurs péchés sont si latents qu'ils arrivent même à aveugler leur entendement de la Parole de Dieu. Ils ont des yeux, mais ils ne voient pas, ils ont des oreilles, mais ils n'arrivent pas à écouter. Ils sont perdus au fond du puits, mais ne perdent pas la pose supposément chrétienne. Ils courent vers le mal et induisent les autres en erreur, afin qu'ils suivent leurs pas.
La situation spirituelle et morale à l'époque de Malachie ne diffère en rien de celle des jours actuels, au beau milieu du christianisme divorcé de l'Alliance faite sur la Croix du Calvaire.
A cette époque, le Dieu d'Abraham, d'Isaac et d'Israël avait envoyé le prophète Malachie avec une prononciation judiciaire – une sentence prononcée – contre Israël, qui n'était pas différente de la lourde sentence de Jérémie aux faux prophètes et sacrificateurs corrompus de son époque. A ce moment-là, l'Eternel leur a dit: “...Je vous rejetterai loin de ma face; Je mettrai sur vous un opprobre éternel et une honte éternelle, qui ne s'oublieront pas.” (Jérémie 23:39-40)
La question qui ne cesse d'être avancée est la suivante: Est-ce que le Même Dieu d'Abraham, d'Isaac et d'Israël, dans la Personne de Son Saint-Esprit est satisfait de la situation spirituelle de Son peuple – le Nouvel Israël – l'Eglise Chrétienne?
Est-ce que de nos jours, il n'y a pas de lourde sentence contre les “chrétiens” dont la foi est bien légère? Des personnes qui ne sont converties que lorsqu'elles sont au sein de leur église ou dénomination?

Publié par Evêque Edir Macedo

Au secours! Je crie de l’enfer!



Je veux changer! Je suis fatiguée de souffrir! Je suis fatiguée de pleurer, de passer des nuits sans dormir, de vivre dans un vide si grand. Je n'arrive même pas à me suicider, même pour cela je suis lâche. Seul Dieu sait combien de fois à l'aube, j'ai demandé qu'Il m'enlève la vie!
Ce que je vis ce n'est pas une vie! Je vis d'apparence. Qui me regarde doit me trouver la personne la plus heureuse au monde, mais Dieu Seul sait combien de fois j'ai déjà demandé la mort, pour ne pas réussir à vivre avec tant de perturbations, tant d'angoisse, de peur, de dépression.
Dieu Seul sait combien de nuits j'ai passé sentant le goût du sang dans la bouche avec cette envie réprimée de crier, j'ai pleine conscience que j'ai en moi un mauvais esprit, je sais de cela parce que j'ai déjà été ouvrière. J'ai déjà expulsé beaucoup de démons des personnes que j'accueillais et aujourd'hui je vois que je deviens exactement comme elles.
A quoi bon avoir tant d'études, tant de diplômes sur le mur, avoir un poste, avoir une position, être sur des hauts talons, si je vis dans une boue spirituelle et si rien de ce que j'ai, me rend heureuse? J'aimerais beaucoup avoir des forces...
Je demande aux personnes qui lisent ce “post” qu'elles prient pour moi.
Pardonnez-moi mes paroles!
Je vous remercie de publier cet article, j'ai eu connaissance de l'existence de ce blog parce qu'une amie l'a partagé sur Facebook
Amie

Publié par Evêque Edir Macedo

mercredi 5 décembre 2012

De talons hauts au fond du puits


Si Jésus a donné cette garantie: “Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru: en mon nom, ils chasseront les démons; ils parleront de nouvelles langues; ils saisiront des serpents; s'ils boivent quelque breuvage mortel, il ne leur feront point de mal; ils imposeront les mains aux malades, et les malades, seront guéris.” (Marc 16:17-18)
Pourquoi existe-t-il alors des personnes qui vont aux églises, d'ailleurs à l'Eglise Universelle et qui n'arrivent pas à se délivrer, à changer de vie et à résoudre leurs problèmes? L'autorité que Dieu nous a donné est-elle une farce? N'existe-t-elle pas?
Bien sûr qu'elle est réelle! La preuve en est qu'il existe des autres personnes donnant le témoignage de leurs victoires et conquêtes. En d'autres termes, nous avons l'autorité contre n'importe quelles castes de démons. Ce que nous n'avons pas c'est l'autorité pour arracher de l'intérieur même des personnes ce mal appelé “orgueil”, qui, dans la majorité des cas, est le vrai responsable de la présence du diable dans cette vie détruite.
Malheureusement, nous vivons dans un monde où les personnes perdent tout: biens, santé, relation, amour de la famille, paix etc... ce qu'ils ne perdent pas c'est l'arrogance, l'orgueil. Cela est bien clair dans le témoignage de l'ex-sensitive Lucia Culanda:
“J'ai tellement souffert, j'ai gémi et j'ai pris du temps pour vaincre, parce que j'étais sur des TALONS HAUTS AU FOND DU PUITS. Même en allant tout au fond, je ne mettais pas de côté ma vanité, mon arrogance et pour cela, je ne descendais pas de mon piédestal.”
Cher lecteur(rice), si vous êtes en train de souffrir, de gémir et vous voulez notre aide, jetez bien loin de vous, votre orgueil.
Tant qu'il sera en vous, nous ne pourrons rien faire pour vous, sachant que contre l'orgueil nous n'avons aucune autorité.
Un conseil du Haut: “La crainte de l'Éternel enseigne la sagesse, et l'humilité précède la gloire.” (Proverbes 15:33)
Que Dieu vous bénisse grandement!
Evêque Guaracy Santos

Publié par Evêque Edir Macedo

Des vies qui marquent – Colombie



Cher Evêque Macedo,
L’Eglise Universelle est en train de provoquer une révolution silencieuse ici en Colombie.
Notre pays a toujours été marqué par le pouvoir des cartels de la drogue qui oppriment le peuple et répandent le sang dans les rues. Mais aujourd'hui, comme jamais auparavant, il y a un nombre croissant de pasteurs colombiens. Une armée d'hommes et de femmes récupérés des groupes criminels.
Bon nombre ont été délivrés de la dépendance à la cocaïne et, si ce n'était pas l’Oeuvre de Dieu, seraient recrutés par le trafic de drogue qui occupent des postes de haut commandement. Actuellement, ils sont envoyés dans d'autres pays, tels que les États-Unis, le Venezuela, la République Dominicaine et en Espagne, pour prêcher la Parole de Dieu. La Colombie exporte des hommes de Dieu au lieu de drogues grâce à la présence de l'Eglise Universelle! Nous avons cessé d’envoyer ce qui détruit, le remplaçant par ce qui construit et reconstruit, à l'aide de l'Evangile pour arracher les gens hors du désespoir!
Je suis un témoin vivant de cette révolution. Tout cela s'est passé très vite dans ma vie. Je suis né en voyant mon père frapper ma mère dans ses crises d’ivresse. Depuis l’âge de 16 ans, vicié dans l'alcool, il avait déjà essayé toutes sortes de drogues, ce qui m'a incité à me plonger dans la criminalité. Les groupes d’hors-la-loi que je fréquentais, apportaient de la drogue en Italie, au Mexique et au Panama, parmi tant d’autres manières, en utilisant des «mules de la traite». C’était des jeunes gens qui voyageaient après avoir avalé des capsules contenant de la cocaïne et de l'héroïne, enveloppées dans des gants chirurgicaux, en échange d'argent ou du propre soutien du vice.
Dans la guerre avec la police et avec les autres cartels, j’ai eu des collègues tués, d'autres arrêtés et j’ai presque été tué par balle. J'ai vu la mort de près plusieurs fois. J'ai été sauvé de l'enfer, en connaissant le petit travail de l'Eglise Universelle en Colombie et, peu à peu, j'ai été transformé de l'intérieur vers l’extérieur. J'ai laissé la vie de bandit, je me suis complètement délivré de moi-même, j’ai décidé de suivre les enseignements de Jésus et il y a 12 ans, j’ai été consacré pasteur.
Comme moi, nous avons des centaines d'hommes de Dieu qui se battent pour récupérer des vies de la perdition de la violence. Le lancement du livre «Rien à perdre» ici à Bogota a mis sur pied cette armée de pasteurs, auprès du peuple colombien. Ce fut un événement festif qui a bouleversé les nouvelles dans les journaux et à la télévision ici. Une joie pour célébrer cette révolution qui a changé nos vies.
Après le lancement, beaucoup ont cherché l'église, curieux de connaître plus étroitement les enseignements de la foi et de persévérance «d'un brésilien appelé Edir Macedo». Le défi que le Saint-Esprit nous lance, dès maintenant, consiste à utiliser votre livre pour augmenter, encore plus, cette troupe d’hommes et de femmes colombiens courageux. Une armée de gens remplis de gratitude en eux-mêmes.
Merci, Evêque Macedo. Merci, l’EgIise Universelle. Merci beaucoup, Seigneur Dieu!
Carlos Neusa, 41 ans, pasteur colombien, Ville de Medellin.

Publié par Evêque Edir Macedo

Si c’était Mme. Esther que ferait-elle?



Évêque, je m’appelle Camila et je viens à l'Eglise Universelle depuis 1999, avec beaucoup de joie. J’ai toujours prêté beaucoup d'attention à vos prédications quant à la famille, au mariage, aux enfants. Je suis également mariée et mère de deux petites filles. Mais depuis quelques temps, j'ai commencé à m’attacher encore plus à vos prédications et je cherche à acquérir tous vos livres et les dévore rapidement. Certains, je les lie plus d'une fois.
Le plus curieux est que, bien que vous ne me connaissiez pas, il semble que je vous connaisse depuis des années, comme si vous étiez quelqu'un de ma propre famille. Mon regard est très attentif au sujet de ce que vous prêchez sur votre épouse, Mme. Esther. Tant dans les livres que sur l'autel, les paroles sont douces, affectueuses et me font réfléchir sur la grande référence de femme qu'elle est.
Nous, les femmes, nous avons toujours une référence à suivre. J'ai, par exemple, ma mère qui représente la bonne humeur, le caractère, la générosité, les valeurs à être admirées et suivies, mais il me manquait un point de référence de foi, parce que dans ce domaine, malheureusement, je ne pouvais me refléter en elle.
Les femmes de foi du passé sont des modèles à suivre, mais nous vivons au XXème siècle et il y avait en moi un besoin de chercher dans une figure féminine, un modèle à être admiré.
Et à chacune de vos prédications ou même dans votre biographie, mon attention fut centrée sur le rôle de votre femme, que j'ai commencé à admirer à chaque fois plus, car il est clair que derrière le grand homme de Dieu que vous êtes, il y a une grande femme de Dieu.
J'ai donc décidé d'adopter un jargon très simple, peut-être un peu poétique, mais il est dirigé par le Saint-Esprit. A chaque fois que je fais face à une adversité avec mon époux ou à un problème, je m'arrête et pense: «Si c'était Mme. Esther, que ferait-elle? Comment agirait-elle?"
Je plie mes genoux et je remets tout entre les mains de Dieu, mais en Lui montrant que je l'ai choisie comme point de repère de la femme. Depuis lors, les résultats ont été très gratifiants et honorés, soulignons-le.
Je suis heureuse d'avoir découvert cet exemple de femme. Merci d’avoir partagé, avec le peuple de l’église, les vertus d'une femme exemplaire, avec qui j’ai tant appris.
Dans la foi.
Camila - São Caetano do Sul/SP

Publié par Evêque Edir Macedo

lundi 3 décembre 2012

Comment trouver ce qu’on ne cherche pas?


Demandez, et l’on vous donnera; cherchez, et vous trouverez; frappez, et l’on vous ouvrira. Matthieu 7:7

La prochaine fois que vous serez dans la rue, comptez toutes les voitures blanches qui passeront devant vous durant une minute. Qu’arrivera t-il au bout d’une minute? Vous saurez exactement combien de voitures blanches sont passées par là, mais vous n’en aurez aucune idée concernant les autres couleurs. Evident, n’est-ce pas? Mais qu’est-ce que cela a de pratique pour vous?

Ce que cette simple expérience illustre est la chose suivante: ce que vous cherchez, vous le trouvez.

Vous n’allez jamais trouver ce que vous ne cherchez pas. Lire cela parait bien-sûr évident mais, dans la pratique, vous l’oubliez parfois. Vous voulez trouver ce que vous ne cherchez pas… ou que vous pensez que vous cherchez, mais que vous ne cherchez pas. Laissez-moi vous expliquer.

Tout le monde veut le bonheur, l’argent, la santé, la paix, la bénédiction de Dieu et tout ce qui est bon. Cependant, dans la plupart des cas, les personnes ne cherchent pas ce qu’elles pensent vouloir – ou elles pensent qu’elles sont en train de chercher ce qu’en réalité elles ne cherchent pas.

“Je veux avoir la paix dans mon couple.” Très bien. Mais êtes-vous en train de chercher cette paix lorsque vous insistez à débattre, argumenter et gagner la dispute contre votre partenaire? En réalité, vous cherchez à avoir raison, pas à avoir la paix.

“Je veux Dieu dans ma vie, j’ai besoin de lumière.” Excellente pensée. Mais si au lieu d’aller dans la Bible, et prier, et chercher des personnes qui réellement Le connaissent pour vous en apprendre plus sur Lui, vous vous contentez de prières répétitives, ou de lire des livres spirituels, ou que vous restez simplement au stade de la bonne intention et que vous ne faites rien à ce sujet, alors vous n’êtes pas réellement en train de chercher Dieu.

Ce que vous cherchez, vous le trouvez. Ce que vous ne cherchez pas, vous ne le trouvez pas.

Pensez bien à ce que vous cherchez. Voyez si vous êtes en train d’atteindre la cible ou si vous n’êtes pas en train de vous tromper. Vous ne trouverez jamais ce que vous ne cherchez pas.

Qui sait, voilà la raison pour laquelle plus de bonnes choses ne sont pas en train d’arriver dans votre vie.

ERC

2° Porte: Les yeux


« Jésus a dit: Ton oeil est la lampe de ton corps. Lorsque ton oeil est en bon état, tout ton corps est éclairé; mais lorsque ton oeil est en mauvais état, ton corps est dans les ténèbres. » Luc 11:34
L’oeil est l’organe de la vision, sens qui permet à tout être vivant de capter la lumière pour ensuite l’analyser et interagir avec son environnement. Avec les yeux nous pouvons voir toutes sortes de choses, qu’elles soient bonnes ou mauvaises. Mais nous restons seul maître de nous même pour décider de ce que nous voulons ou ne voulons pas regarder.
C’est pour cela que nous devons veiller à ce que nous voyons, à la télé, dans les magazines, sur les affiches autour de nous, mais surtout sur internet. Selon ce que nous voyons sur internet, et selon le site que nous visitons, nous permettons au diable d’entrer par nos yeux et semer quelque chose qui va nourrir notre coeur.
Nous pouvons être sûrs que ce que nous voyons de mauvais sur le net nourrira notre intérieur et en peu de temps, engendrera le péché. Il est commun qu’un homme regarde une femme; Adam, le premier homme sur terre, est tombé à travers les yeux, car en voyant la femme manger le fruit, il a fini par se laisser tenter et tomber dans la désobéissance envers Dieu. Nous voyons donc que nos yeux sont très importants, ils sont une des portes d’entrée que le malin choisit.