mercredi 5 décembre 2012

Des vies qui marquent – Colombie



Cher Evêque Macedo,
L’Eglise Universelle est en train de provoquer une révolution silencieuse ici en Colombie.
Notre pays a toujours été marqué par le pouvoir des cartels de la drogue qui oppriment le peuple et répandent le sang dans les rues. Mais aujourd'hui, comme jamais auparavant, il y a un nombre croissant de pasteurs colombiens. Une armée d'hommes et de femmes récupérés des groupes criminels.
Bon nombre ont été délivrés de la dépendance à la cocaïne et, si ce n'était pas l’Oeuvre de Dieu, seraient recrutés par le trafic de drogue qui occupent des postes de haut commandement. Actuellement, ils sont envoyés dans d'autres pays, tels que les États-Unis, le Venezuela, la République Dominicaine et en Espagne, pour prêcher la Parole de Dieu. La Colombie exporte des hommes de Dieu au lieu de drogues grâce à la présence de l'Eglise Universelle! Nous avons cessé d’envoyer ce qui détruit, le remplaçant par ce qui construit et reconstruit, à l'aide de l'Evangile pour arracher les gens hors du désespoir!
Je suis un témoin vivant de cette révolution. Tout cela s'est passé très vite dans ma vie. Je suis né en voyant mon père frapper ma mère dans ses crises d’ivresse. Depuis l’âge de 16 ans, vicié dans l'alcool, il avait déjà essayé toutes sortes de drogues, ce qui m'a incité à me plonger dans la criminalité. Les groupes d’hors-la-loi que je fréquentais, apportaient de la drogue en Italie, au Mexique et au Panama, parmi tant d’autres manières, en utilisant des «mules de la traite». C’était des jeunes gens qui voyageaient après avoir avalé des capsules contenant de la cocaïne et de l'héroïne, enveloppées dans des gants chirurgicaux, en échange d'argent ou du propre soutien du vice.
Dans la guerre avec la police et avec les autres cartels, j’ai eu des collègues tués, d'autres arrêtés et j’ai presque été tué par balle. J'ai vu la mort de près plusieurs fois. J'ai été sauvé de l'enfer, en connaissant le petit travail de l'Eglise Universelle en Colombie et, peu à peu, j'ai été transformé de l'intérieur vers l’extérieur. J'ai laissé la vie de bandit, je me suis complètement délivré de moi-même, j’ai décidé de suivre les enseignements de Jésus et il y a 12 ans, j’ai été consacré pasteur.
Comme moi, nous avons des centaines d'hommes de Dieu qui se battent pour récupérer des vies de la perdition de la violence. Le lancement du livre «Rien à perdre» ici à Bogota a mis sur pied cette armée de pasteurs, auprès du peuple colombien. Ce fut un événement festif qui a bouleversé les nouvelles dans les journaux et à la télévision ici. Une joie pour célébrer cette révolution qui a changé nos vies.
Après le lancement, beaucoup ont cherché l'église, curieux de connaître plus étroitement les enseignements de la foi et de persévérance «d'un brésilien appelé Edir Macedo». Le défi que le Saint-Esprit nous lance, dès maintenant, consiste à utiliser votre livre pour augmenter, encore plus, cette troupe d’hommes et de femmes colombiens courageux. Une armée de gens remplis de gratitude en eux-mêmes.
Merci, Evêque Macedo. Merci, l’EgIise Universelle. Merci beaucoup, Seigneur Dieu!
Carlos Neusa, 41 ans, pasteur colombien, Ville de Medellin.

Publié par Evêque Edir Macedo

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