vendredi 6 avril 2012

Il est écrit


Paul était un persécuteur acharné de l'Eglise Chrétienne primitive. Imprégné d'autorité, concédée par le souverain sacrificateur, il est allé à la chasse aux femmes et aux hommes convertis pour les traîner en prison.
Sa haine implacable n'était pas issue de la jalousie, la position politique, les intérêts économiques ou personnels.
Son obstination de tenter de freiner le christianisme était due à l'extrême zèle de la foi traditionnelle de ses ancêtres.
Il était un religieux fanatique. Aveugle, spirituellement.
D'un autre côté, il montrait également quelque chose de sublime dans son caractère: zélé dans la foi et irrépréhensible dans l'accomplissement de la Loi judaïque.
En d'autres termes, il était sincère. Assumait sa croyance.
En raison de cette sincérité, Dieu l'a désigné comme un instrument élu pour être apôtre envoyé aux gentils.
Sa rencontre avec Jésus sur le chemin de Damas, a changé le cours de son histoire et de l'Eglise.
Avocat intelligent, étudiant et profond connaisseur des Saintes Ecritures, il a rencontré, initialement une forte opposition auprès des premiers apôtres, qui ne croyaient pas qu'un persécuteur et novice dans la foi puisse aussi se transformer “du jour au lendemain” en un apôtre.
Cependant, face aux révélations extraordinaires, prophéties, oeuvres et surtout, au témoignage du propre Seigneur Jésus à Ananias (Actes 9:10-13), tous l'ont accepté comme un apôtre précoce.
Au long de son ministère parmi les gentils (les non juifs), Paul a tout de suite identifier des ouvriers frauduleux, transformés en apôtres de Christ.
“Ces hommes-là sont de faux apôtres, des ouvriers trompeurs, déguisés en apôtres de Christ. Et cela n'est pas étonnant, puisque Satan lui-même se déguise en ange de lumière. Il n'est donc pas étrange que ses ministres aussi se déguisent en ministres de justice. Leur fin sera selon leurs oeuvres.” (2 Corinthiens 11:13-15)
Quelles leçons pouvons-nous en tirer?
Que le même esprit qui se faisait passer pour un ange de lumière, à l'époque de Paul, se manifeste de nos jours;
Que le même Esprit de Dieu qui a révélé à Paul, les ouvriers frauduleux, nous révèle aussi les faux apôtres;
Que les titres d'un vrai apôtre sont les suivants:
Comme un patriarche, l'apôtre est le premier des ministères. Il est comme le tronc principal, la prémices de Dieu. De lui, vient le prophète, ensuite l'évangéliste, le pasteur et le docteur. En Lui sont insérés les autres ministères. (I Corinthiens 12:28; Ephésiens 4:11; 2 Pierre 3:2)
Que nous pouvons et devons éprouver les esprits, oui.
“Bien-aimés, n'ajoutez pas foi à tout esprit; mais éprouvez les esprits, pour savoir s'ils sont de Dieu, car plusieurs faux prophètes sont venus dans le monde.” (I Jean 4:1)
Publié par: Evêque Edir Macedo

Ange de lumière


Paul était un persécuteur acharné de l'Eglise Chrétienne primitive. Imprégné d'autorité, concédée par le souverain sacrificateur, il est allé à la chasse aux femmes et aux hommes convertis pour les traîner en prison.
Sa haine implacable n'était pas issue de la jalousie, la position politique, les intérêts économiques ou personnels.
Son obstination de tenter de freiner le christianisme était due à l'extrême zèle de la foi traditionnelle de ses ancêtres.
Il était un religieux fanatique. Aveugle, spirituellement.
D'un autre côté, il montrait également quelque chose de sublime dans son caractère: zélé dans la foi et irrépréhensible dans l'accomplissement de la Loi judaïque.
En d'autres termes, il était sincère. Assumait sa croyance.
En raison de cette sincérité, Dieu l'a désigné comme un instrument élu pour être apôtre envoyé aux gentils.
Sa rencontre avec Jésus sur le chemin de Damas, a changé le cours de son histoire et de l'Eglise.
Avocat intelligent, étudiant et profond connaisseur des Saintes Ecritures, il a rencontré, initialement une forte opposition auprès des premiers apôtres, qui ne croyaient pas qu'un persécuteur et novice dans la foi puisse aussi se transformer “du jour au lendemain” en un apôtre.
Cependant, face aux révélations extraordinaires, prophéties, oeuvres et surtout, au témoignage du propre Seigneur Jésus à Ananias (Actes 9:10-13), tous l'ont accepté comme un apôtre précoce.
Au long de son ministère parmi les gentils (les non juifs), Paul a tout de suite identifier des ouvriers frauduleux, transformés en apôtres de Christ.
“Ces hommes-là sont de faux apôtres, des ouvriers trompeurs, déguisés en apôtres de Christ. Et cela n'est pas étonnant, puisque Satan lui-même se déguise en ange de lumière. Il n'est donc pas étrange que ses ministres aussi se déguisent en ministres de justice. Leur fin sera selon leurs oeuvres.” (2 Corinthiens 11:13-15)
Quelles leçons pouvons-nous en tirer?
Que le même esprit qui se faisait passer pour un ange de lumière, à l'époque de Paul, se manifeste de nos jours;
Que le même Esprit de Dieu qui a révélé à Paul, les ouvriers frauduleux, nous révèle aussi les faux apôtres;
Que les titres d'un vrai apôtre sont les suivants:
Comme un patriarche, l'apôtre est le premier des ministères. Il est comme le tronc principal, la prémices de Dieu. De lui, vient le prophète, ensuite l'évangéliste, le pasteur et le docteur. En Lui sont insérés les autres ministères. (I Corinthiens 12:28; Ephésiens 4:11; 2 Pierre 3:2)
Que nous pouvons et devons éprouver les esprits, oui.
“Bien-aimés, n'ajoutez pas foi à tout esprit; mais éprouvez les esprits, pour savoir s'ils sont de Dieu, car plusieurs faux prophètes sont venus dans le monde.” (I Jean 4:1)
Publié par: Evêque Edir Macedo

jeudi 5 avril 2012

La gloire des grecs


Fête de Pâque.
Le peuple juif montait vers Jérusalem pour célébrer sa délivrance de l'esclavage égyptien.
Parmi ceux qui sont montés pour l'adorer, pendant la fête, il y avait quelques grecs qui ont profité de l'occasion pour connaître Jésus.
Lorsqu'Il a su que quelques grecs voulaient Le connaître, Jésus a dit: «L'heure est venue où le Fils de l'homme doit être glorifié.» (Jean 12:21-23)
Des aveugles ont vu, des morts sont ressuscités, des paralytiques ont marché, des lépreux ont été guéris, des personnes possédées ont été délivrées et une infinité de miracles ont été réalisés. Mais aucun d'eux n'a été suffisant pour glorifier Jésus.
Des foules sont allées à Sa rencontre avec des vêtements et des rameaux à l'entrée à Jérusalem. Mais ce n'était pas encore une raison pour qu'Il soit glorifié.
Quel miracle, quelle adoration, quelles paroles de louange exprimeraient réellement Sa gloire?
Les grecs ont répondu aux anxiétés du Seigneur.
Non pour le fait de faire partie de la société philosophique. Mais parce qu'ils donnaient plus d'importance à la raison qu'aux sentiments.
Une chose c'est la gloire pour les miracles réalisés, une autre c'est la gloire pour ce que Jésus est.
Jusque là, le peuple Le cherchait pour les miracles ou pour la curiosité de Le voir opérer des miracles.
Mais les grecs voulaient vraiment Le connaître
Telle est l'attitude qui engendre les nés de l'eau et de l'Esprit.
Ce sont eux qui font produire l'heure de glorifier le Fils de l'Homme et transfèrent la fête de Jérusalem vers les Cieux.
«De même, je vous le dis, il y aura plus de joie dans le ciel pour un seul pécheur qui se repent, que pour quatre-vingt-dix-neuf justes qui n'ont pas besoin de repentance.» (Luc 15:7)
Publié par: Evêque Edir Macedo

mardi 3 avril 2012

Combien fuient le problème?


Ils ne veulent pas entendre les vérités, ils ne veulent pas exposer leurs erreurs ou échecs car ils préfèrent montrer une certaine apparence qu'ils sont dans la “foi”
Ceci étant, le temps passe, les afflictions augmentent. Où est la solution? Elle est loin! De plus en plus distante.
Les personnes sont à l'église, pleurent et il semble même qu'elles sont en train de se donner à Dieu.
Et pourquoi?
Car après les pleurs, vient toute suite la sensation qu'ils ne vont plus commettre les mêmes erreurs, cependant, la semaine suivante, les attitudes démontrent que tout a été en vain! Cela n'a pas été réel! Tout n'est qu'une farse!
Mais elle dit: Je lutte! Je sais que Dieu va me délivrer de mon “moi”.
Quoi? Dis-je!!! Dieu va vous délivrer?
Excusez-moi, ma chère amie, mais vous allez devoir lire attentivement ce que j'ai à dire.
Avant que Jésus soit mis en prison, Il était dans le Jardin du Gethsémané, où il priait Dieu en agonie, disant: “Mon Père, s'il est possible, que cette coupe s'éloigne de moi!” N'est-ce pas juste?
Eh oui! Mais lorsque le moment est arrivé de prouver qu'Il ne demandait pas seulement, mais que Lui même S'offrait à Dieu... Il nous surprend!
“Judas donc, ayant pris la cohorte, et des huissiers qu'envoyèrent les principaux sacrificateurs et les pharisiens, vint là avec des lanternes, des flambeaux et des armes.
Jésus, sachant tout ce qui devait lui arriver, s'avança, et leur dit: Qui cherchez-vous?” (Jean 18:3-4)
Vous savez, je n'ai pas de mots pour décrire l'attitude du Seigneur Jésus. Elle est simplement, belle!
Lui qui n'a rien fait, ni péché, il serait jugé comme un malfaiteur et emporterait tout le péché du monde, de l'existence à l'avenir. Il serait loin du Père. Seul. Enfin tout pour obéir et être la Seule offrande capable de racheter notre âme de l'enfer.
Avant il demandait qu'il soit délivré, mais il n'a pas fait Sa volonté. Il y a fait face! En plus: il s'avança, avant même que les soldats arrivent vers Lui.
Qui ne doit rien ne craint rien!
Qui est vraiment apte à obéir, se sacrifie et s'avance pour assumer ce qu'il doit faire.
Mais ceux qui sont lâches se sentent humiliés face à la situation. Son orgueil est son refuge et ils n'atteignent rien sinon être les hypocrites de cette génération.
Le Seigneur Jésus est allé jusqu'à ceux qui Le persécutaient et a encore demandé. Qui avec tant d'audace le ferait, même en sachant ce qui pouvait lui arriver?
Faites-vous de même face à ce dont vous pourriez payer le prix face à la société et église?
Votre attitude montrera-t-elle qui vous êtes?
Obs: Non vos larmes! Mais vos attitudes!

lundi 2 avril 2012

La Fournaise et le Feu


Dieu ne délivre pas de la fournaise, mais délivre du feu.
Ni tout le monde est délivré, c’est certain.
Seuls les serviteurs.
C’est ce qui est arrivé à Shadrac, Méshach et Abed Nego.

Nebucadnetsar, le roi de Babylone, les avaient condamnés à mort pour avoir eu l'audace de désobéir à sa parole.
Ils résistèrent, ne se sont pas prosternés devant Lui et n’ont pas adoré son image d'or en raison de la foi dans le Dieu d'Abraham, d’Isaac et d’Israël.
Furieux et avec le visage défait, le roi ordonna que l’on allume la fournaise sept fois plus que d'habitude.
Les fidèles du Très-Haut furent liés avec leurs caleçons, leurs tuniques, leurs manteaux et leurs autres vêtements et jetés au milieu de la fournaise ardente qui était extraordinairement chauffée.
La parole du roi était urgente.
La violence des flammes était si grande que les serviteurs du roi ont été tués brûlés en s’approchant de la fournaise.
Cependant, en regardant à l'intérieur de la fournaise, le roi a remarqué Un quatrième homme.
Il a vu qu'ils étaient au milieu du feu, mais ce dernier n'a eu aucun pouvoir de brûler leurs cheveux, ni leurs vêtements.
L'odeur du feu ne les avait pas atteints (Daniel 3:27).
Toute la royauté de la Babylone et son peuple virent la grandeur de Dieu, Shadrac, Méshach et Abed, qui a envoyé Son ange et a délivré Ses serviteurs qui confiaient en Lui.
Dieu a honoré et continue à honorer ceux qui préfèrent sacrifier leur vie en servant, au lieu d’adorer ou de vénérer les images en bois, pierre ou de métal.
Ceci étant, servir le coeur, les membres de la famille et le monde, est tout aussi cruel que de servir les images.
Le Seigneur Jésus a enseigné:
“Ne croyez pas que Je sois Venu apporter la paix sur la terre; Je ne suis pas Venu apporter la paix, mais l'épée. Car Je suis Venu mettre la division entre l'homme et son père, entre la fille et sa mère, entre la belle-fille et sa belle-mère; et l'homme aura pour ennemis les gens de sa maison. Celui qui aime son père ou sa mère plus que Moi n'est pas digne de Moi, et celui qui aime son fils ou sa fille plus que Moi n'est pas digne de Moi; celui qui ne prend pas sa croix, et ne me suit pas, n'est pas digne de moi.
Celui qui conservera sa vie la perdra, et celui qui perdra sa vie à cause de Moi la retrouvera.” (Matthieu 10:34-39)
Publié par: Evêque Edir Macedo

Une biologiste recherche et trouve la guérison de l’Ame


J'ai toujours entendu dire que, qui ne vient pas à de Dieu par amour, Le cherchera dans la douleur... Cependant, je n'y ai jamais prêtée attention. Je suis pratiquement née à l'EURD (je devais avoir environ 5 ans lorsque mes parents se sont convertis et aujourd'hui j'en ai 32), et je ne me suis jamais éloignée de l'Eglise.
Aller à l'église était comme un rituel. Je participais aux réunions religieusement et rien ne m'empêchait d'y être présente, physiquement. J'ai même été “baptisée” d'eau, lorsque j'étais adolescente. Je donnais mes dîmes, je faisais mes propos, mes campagnes de foi, cependant, même ainsi, je commettais quelques péchés. J'étais consciente de mon erreur, et je pensais même comme Dieu était bon, car sans le mériter, Il m'écoutait et me gardait.
Je me suis mariée avec quelqu'un qui n'était pas de l'église, mais même là, je n'ai pas eu de problème. Lorsque nous nous sommes mariés à la mairie, mon mari s'est baptisé à l'église et en 10 ans de mariage, je n'ai eu aucun motif de réclamer à son sujet, car j'ai un bon mariage. Malgré tout je ne m'étais pas donner à Dieu de tout coeur, de toute mon âme, de toute ma pensée et de toute ma force.
Vers la mi-mars/avril de l'année dernière (proche du premier jeûne de Daniel), ma vie a reculé, mon “ego” a rétrocédé! Je faisais de mauvaises choses et je n'abandonnais pas ces pratiques, mais j'étais heureuse. Tant et si bien que pendant un cours d'anglais, lors de la “conversation”, on m'a demandé “Etes-vous heureuse?”. Et j'ai répondu: “Oui, je suis heureuse”. Ce jour-là, je me sentais si heureuse, mais si heureuse que je ne m'en étais pas rendue compte.
Je me suis rappelée de Dieu et de Sa générosité. Malgré ma négligence spirituelle, j'étais encore heureuse. Mais à partir de là, ma vie a commencé à s'écrouler...
J'ai commencé à avoir peur de rien, au-delà de toute l'angoisse et du désespoir. Mon coeur battait à la chamade, j'avais envie de pleurer, je ne m'alimentais pas correctement, j'avais la bouche sèche, un manque d'appétit, l'intestin détaché, des perturbations dans mon esprit, à tout moment, un sentiment de deuil sans avoir perdu quelqu'un, enfin, le bonheur avait disparu! Et je n'en comprenais pas la raison, je ne sais pas, jusqu'à maintenant, comment tout a été déclenché.
Des accusations venaient à mon esprit, ainsi que des pensées du genre “tu n'es pas délivrée”, “il y a quelque chose cachée, parce que tu n'as jamais manifesté”, et j'ai laissé ces doutes entrer. Tant et si bien, que l'un des symptômes dont j'avais été délivrée il y a quelques années, est également revenu. J'ai eu une convulsion lors de mon enfance et ma mère a fait, à l'époque, une chaîne de prière pour m'en délivrer, mais j'ai grandi en sentant quelque chose d'étrange, j'avais une confusion mentale pendant certaines secondes et je revenais à la normale sans savoir ce qui était arrivé. Je ne me souviens pas si c'est par le biais d'un voeu ou d'une chaîne de prière que j'ai faite, ce symptôme a disparu, mais j'ai laissé le doute revenir et je l'ai alimenté.
En raison de ma formation de Biologiste, j'ai commencé à me questionner s'il s'agissait d'épylepsie et j'ai fais des recherches à ce sujet. J'ai alors découvert que ni toutes les crises épileptiques provoquent le classique évanouissement, mousser par la bouche, mais pouvait également provoquer des crises d'absence, et j'ai tout de suite recommencé à sentir cette chose étrange.
J'ai pensé à chercher de l'aide à l'église, mais une pensée me disait: “Si tu demandes de l'aide, tu vas assumer que tu es faible, que ta foi n'est pas suffisante. Ou tu as la foi ou tu ne l'as pas”. Enfin j'ai empiré, au point de penser que je devenais folle, perdant la raison. Puis une autre pensée m'est venue à l'esprit: "Ton grand-père a été interné avec un problème mental, alors toi aussi, tu dois avoir quelque chose, cela doit être héréditaire". Je n'ai pas eu l'envie de mourir ou de me tuer – parce que je connaissais déjà le bonheur, je savais qu'il existait et je connaissais aussi l'existence de l'enfer.
Ce fut horrible! Pire que la douleur physique, car un médicament peut la guérir, mais la douleur de l'âme... Dieu seul peut la guérir! Je suis allée chez un neurologue, qui a diagnostiqué chez moi, une légère dépression, je lui ai demandé de ne me prescrire aucun antidépresseur, alors il m'a conseillé de pratiquer une activité physique. Mais j'ai pris une autre attitude: J'ai recommencé tout à zéro! Je suis allée parler avec le pasteur et il a prié pour moi. Je me suis repentie de toutes mes erreurs, je me suis pardonnée à moi-même, j'ai été baptisée d'eau en novembre dernier, j'ai mis ma vie sur l'autel, je me suis éloignée de toutes les choses du monde, j'ai commencé à prier, à jeûner et à m'alimenter de la Parole de Dieu (choses que, même en étant à l'église, je ne pratiquais pas), et à me donner comme une offrande pour Dieu!
J'ai cessé de chercher la raison à tout cela, j'ai commencé à regarder vers Dieu et à reconnaître que j'avais besoin d'une vraie rencontre, d'une nouvelle naissance. Mais ce ne fut pas seulement cela, j'ai dû laisser de côté les «années d'église» et d'admettre que je ne connaissais rien aux Choses Spirituelles. J'ai tout laissé de côté: ma formation académique, mon orgueil, mes péchés, mon caractère, tout, tout, tout! J'ai commencé à chercher Dieu avec soif. Telle est la priorité de ma vie.
J'ai dû passer par le désert pour reconnaître combien j'étais loin de Dieu et que j'avais besoin de revenir à Lui. Rien n'est plus important et rien n'est au-dessus de mon salut et d'avoir Dieu dans ma vie. Rien, rien! Argent, mariage, profession, divertissement, rien! Je veux le Seigneur Jésus dans ma vie tous les jours; je veux le salut; je veux être comme les héros de la Foi qui n'ont pas reculé face aux tribulations; je veux être un instrument entre les mains de Dieu; je veux être une servante obéissante et craintive à Sa voix et je veux aussi rendre la monnaie au diable: en gagnant des âmes pour le Royaume de Dieu!
Parce que je sais comme j'étais, il existe des milliers de personnes dans les églises (aveugles spirituellement), mais loin du Seigneur. J'étais parmi ceux qui étaient dans la vallée des ossements secs, comme l'Evêque a prêché ces derniers temps. J'avais même des os, des tendons, des muscles, c'est à dire, j'obtenais une bénédiction d'ici, de-là, mais il manquait l'Esprit, j'étais un zombie et malheureusement dans les églises, il existe encore beaucoup de personnes dans cette condition.
Gabriela