vendredi 2 décembre 2011

FOI ET SACRIFICE



Dieu n’est pas un magicien. Même ainsi la plupart des chrétiens insistent à penser, à croire et à attendre qu’Il donne un coup de baguette magique pour transformer leurs vies du jour au lendemain. 

Habituellement, ils s'attendent à ce que leur minimum d'effort par rapport à Dieu, soit le suffisant pour un retour à leurs souhaits. Et ils demeurent dans cette illusion pendant un certain temps. Comme le résultat n'est pas le prévu, ils finissent par se décourager. Voilà pourquoi, de nombreux supposés chrétiens sont déchus et déçus.

Peu de gens savent que, pour produire le miracle, il faut une opération conjointe entre la créature et le Créateur. Aucun miracle décrit dans la Bible ne s’est produit par la seule action de Dieu. Si nous observons attentivement, nous constatons que chacun montrait la participation de l'homme conjointement à celle de Dieu.

Noé, par exemple, pour avoir sa vie et sa famille sauvées du déluge, a dû obéir à la voix de Dieu et construire l'arche. Il en fut de même pour Abraham. Pour qu’une grande nation puisse naître de Lui, Il a tout d'abord dû se sacrifier pour obéir à la Parole de Dieu, quitter son pays, la maison de ses pères et de sa famille.

Pour que le Seigneur Jésus guérisse l’aveugle, ce dernier a dû clamer. Et pour ressusciter Lazare, les disciples ont dû enlever la pierre du tombeau. Nous pouvons donc conclure, sans peur de nous tromper, que le miracle que nous espérons dans notre vie dépend tout d'abord de l'attitude que nous prenons envers Dieu.

Si vous êtes fatigués de la vie de souffrance que vous menez et si à la place vous en voulez une nouvelle, vous devez faire appel à Dieu. Cet échange n'est possible que par l'attitude de la foi. En d’autres termes, il faut totalement sacrifier sa vie par la foi dans le Seigneur Jésus.

Tant que la vie n'est pas totalement livrée sur l’autel, une nouvelle vie ne pourra jamais se produire. Nous ne pouvons pas conquérir une nouvelle vie tout en ESSAYANT DE GARDER L’ANCIENNE.

D'où l’immense nécessité de sacrifier par la foi. Comme le dit l’Eternel: «Revenez à moi de tout votre coeur..." (Joël 2:12).

Le miracle de la nouvelle naissance ou d’une nouvelle vie se produit en deux phases:

Premièrement : l'attitude de l'homme envers Dieu - Personne n'est né de Dieu sans d'abord s’être converti ou avoir abandonné ses péchés. La conversion exige un changement de comportement envers Lui. Mensonges, vols, adultères, prostitution, enfin, les œuvres de la chair sont abandonnées. Galates 5:19. Ceci est la conversion.

Deuxièmement: l'attitude de Dieu envers l'homme - Lorsque le Saint-Esprit voit l'effort de la personne pour remplacer sa volonté par celle de Dieu, alors Il vient sur elle et il transforme sa vie, concluant ainsi Sa participation dans le miracle de la nouvelle naissance.

Quel que soit le miracle, le processus doit se répéter. Premièrement, l’action de la créature envers le Créateur, deuxièmement la réaction du Créateur par rapport à la créature.

Comme vous pouvez le voir, il n'y a pas de magie, mais plutôt le résultat d'une relation concrète entre l’être humain et Dieu.

Que Dieu vous bénisse abondamment.

jeudi 1 décembre 2011

MME SILVIE


A mon arrivée  à l’église, j’étais par terre, mon mariage et ma famille ne rimaient à rien.
En novembre 2010, Je me suis retrouvée à l’hôpital, j’étais au coma à cause d’une énorme infection  dans mes poumons.
En décembre 2010, mon fils cadet a participé à la campagne d’Israël.
Révolté par cette situation, il est venu à l’Eglise pour clamer à Dieu et à ce même moment, mes yeux se sont ouverts. Il été en jeûne, en prière, il dormait par terre. Grâce à cela, Dieu m’a totalement guérie.
Dernièrement, j’ai participé à la campagne du Saint-Esprit, j’ai donné mon tout. Et j’ai l’assurance d’avoir reçu  la présence de Dieu en moi.
Pour la campagne de Gédéon, Dieu m’a donné le passeport.  Dieu commence à ouvrir les portes.

FORCE JEUNE FRANCE - Témoignage d'Armandine.avi

De l’enfer à la vie



Evêque, je ne devrais pas être vivant aujourd'hui...
Dès ma naissance, j’ai commencé à souffrir de divers problèmes, le premier fut lorsque mon père m'a abandonné alors que je n'étais qu’un nouveau-né.
J'ai grandi avec beaucoup de haine en moi et pour empirer la situation familiale, ma mère a connu un autre homme, qui me battait toujours violemment. J'ai souffert de nombreuses agressions physiques. Je n'ai pas comment tout raconter ici en détails, mais un jour il est arrivé au point de me lier les mains avec un fer chaud jusqu’à les brûler, comme punition.
Il y avait beaucoup de douleur et de tourment quotidien. Je me souviens de la première fois que cet homme m'a frappé dans notre propre maison. Ma mère n'a rien entendu. Je ne me souviens pas si, à ce moment-là, elle était sous l'effet des drogues ou assommée par les différents types de médicaments qu'elle prenait tous les jours. J'étais si petit et je voyais déjà de nombreux problèmes.
Je n’avais aucune envie de rester à la maison et encore moins d’être proche de ma famille. Je suis arrivé au point de commencer à me couper avec des lames et j'ai même écrit sur mon bras avec un couteau «I Hate U», ce qui signifie «Je te haie».
Mon monde s'est assombri quand j'ai commencé à sortir avec des jeunes, qui étaient du côté opposé de la vie, j'ai joint un gang et j'ai plongé dans le monde du crime. Je volais, j’agressais des gens pour le plaisir et je faisais divers délits. Je n'ai pas eu d'enfance.
J'ai commencé à fumer de la marijuana à l'âge de 9 ans. Et à mes 14 ans, j'ai commencé à vendre des drogues comme la cocaïne, l'héroïne et l'ecstasy. Je cherchais de l'argent facile, mais tout l'argent était dépensé dans l’alcool.
J'ai également été attaqué à plusieurs reprises par des gangs rivaux. Une fois, on a même cassé une bouteille de verre derrière mon dos.
J'ai déjà été poignardé et je suis entré en coma profond pendant deux semaines. Une autre fois, j'ai été poignardé dans le cou et le couteau n'a pas touché l'artère pour juste deux centimètres. En tout, j'ai été poignardé à cinq reprises par différents gangs rivaux.
Ma vie était un désastre, l’un derrière l'autre. Mais je ne connaissais rien d'autre. Tout ce que je voyais, depuis mon enfance, n’était que violence et je pensais que c’était ce que la vie avait à m'offrir. J'étais si rempli de colère et de haine que je n'arrivais pas à penser comment je pouvais me sortir un jour de cette vie.
Mon ami, Ryan, qui a également été impliqué dans des gangs, m'a invité à assister à une réunion du Groupe Jeune « Victory Youth Group.”. J'ai refusé l'invitation. Mais il a tellement insisté et voyant aussi que sa vie était complètement différente et positive, j'ai décidé d'y aller.
Le pasteur étant en train de parler au sujet des dangers du monde et a fait référence au Carnaval. J'étais attentif, mais je ne pensais pas que cela était pour moi. Mon ami m'a donné une petite Bible et je l'ai mise dans la poche de ma veste.
Le jour d’après, je suis allé au Carnaval avec les garçons de mon gang. Il y a eu une discussion avec un autre groupe de gangsters et j'ai fini par être poignardé à la poitrine. J'ai vu le couteau transpercé ma veste, mais je n'ai rien senti à ce moment-là, mon corps resta paralysé par le choc. J'ai commencé à toucher ma poitrine et il n'y avait pas de sang.
C’est alors que j’'ai réalisé que la Bible était dans la poche de ma veste, cette Bible que j'avais utilisée lorsque je suis allé au groupe jeune, la veille. Le couteau s'est arrêté au Psaume 27, mais elle aurait dû percer mon cœur.
Ce jour-là, la Parole de Dieu m'a réellement sauvé. J'ai vu que la vie n'était pas un jeu et que je devais faire quelque chose pour changer.
Le lendemain je suis allé à l'Eglise et l'évêque a appelé devant l’autel les gens qui voulaient effacer leur passé et commencer une nouvelle vie par le baptême d’eau. Je me suis repenti d'avoir passé tant d'années de ma vie dans cette saleté et je me suis baptisé. Trois mois après et depuis-là, je ne suis plus le même.
J'ai tout mis de côté. Gangs, drogues, prostitution, etc. A chaque réunion du Groupe Jeune dont je participe et aussi à celles de l'église, j'ai plus de forces pour continuer dans cette nouvelle vie. Je suis en train d'apprendre à être un vrai homme et aussi à développer une communion avec Dieu.
Ce n'est pas facile, Evêque. Maintenant je comprends pourquoi ma famille avait tant de colère dans le coeur. Je sais que beaucoup de choses dans la vie, sont spirituelles et ne peuvent être résolues que spirituellement. Je prie pour leur changement.
Maintenant, mon désir est de faire l’œuvre de Dieu. Je veux sauver des âmes. Aujourd'hui, j'ai une immense joie, la joie que je n'ai JAMAIS connue lorsque je vivais comme un marginal. Aujourd'hui, je peux vraiment sourire. Je n'aimais pas parler au sujet de mon passé, mais maintenant je n’y vois aucun problème. J'utilise mon passé pour aider ceux qui vivent de la même manière que j'ai vécu, pour leur montrer qu'il y a un moyen de s’en sortir.
J'ai réussi à reprendre mes études, j'utilise toutes les ressources possibles pour récupérer le temps perdu et je sais que Dieu a beaucoup de choses réservées pour moi. Je n'ai que 16 ans et j’ai un bel avenir devant moi. Aujourd'hui je peux dire que je ne serais pas vivant sans l'aide de Dieu, sans celle de l'Eglise Universelle et sans le travail incessant du groupe jeune.
Que Dieu vous bénisse, Evêque.

LE PASTEUR ET LE PHARE


Il y avait une petite ville sur la côte ouest des Etats-Unis, sur les rives de l’océan Pacifique, prospère et progressiste. Elle n’était pas grande, mais elle avait des rues larges et propres, des parcs boisés et ses quartiers se développaient rapidement.
Le sable blanc de la plage était comme un collier entre les collines verdoyantes et la mer bleue. Et c’était là, dans la mer, que se trouvait la richesse du village: la pêche.
Chaque nuit, les bateaux balayaient les eaux de leurs filets, apportant une quantité si grande de poissons que de nombreuses usines s’y sont installées pour y industrialiser et exporter les produits de la pêche.
A l’entrée de la baie, il y avait un ancien phare qui pendant des années a rendu de précieux services pour guider les pêcheurs dans les nuits sombres de tempête, éclairant leur chemin sur la mer.
Dans cette ville, il y avait aussi une église, qui était d’ailleurs la seule église. Le pasteur luttait de toutes ses forces pour conscientiser les gens de l’Evangile et du Jugement de Dieu. Peu lui donnait de l’attention et encore moins assistaient à ses réunions. Mais l’homme ne se décourageait pas.
Il se levait tôt et passait un bon moment à prier sur l’autel, il visitait les malades, accueillait ceux qui venait le voir et il se chargeait aussi d’allumer le phare chaque jour ponctuellement à cinq heures de l’après-midi.
La ville se développait et les affaires augmentaient. Les bateaux étaient plus modernes et apportaient chaque fois plus de poissons. La mer était vraiment abondante. Plus les bateaux venaient, plus les poissons apparaissaient dans l’eau. Personne ne revenait avec le filet vide. Nuit claire ou nuit sombre, lorsqu’on tirait le filet, là se trouvait le précieux trésor qui donnait vie à cette ville.
Un beau samedi matin, le pasteur, qui avait déjà un certain âge, mourut. A l’exception des membres de l’église, personne ne l’avait remarqué. Sans aucunement appeler l’attention sur lui, ce laborieux soldat de l’Evangile est parti tel qu’il avait vécu.
Sentant cette perte, les membres de l’église envoyèrent une lettre au maire, lui demandant de faire venir un autre pasteur. Toutefois, aucune réponse ne leur fut donnée.
Le maire était trop occupé. Un grand marché de pêche était en train d’être construit pour répondre aux acheteurs de toute part. C’étaient principalement des représentants de grandes entreprises américaines qui venaient négocier d’importantes affaires. Il y avait aussi des projets pour une nouvelle école et l’expansion de l’hôpital. Avec autant de projets importants, il était encore difficile d’attirer l’attention de cet homme.
Lorsque tout semblait aller bien, la pêche a commencé à se faire rare. Les filets, qui venaient jadis remplis, ont commencé à arriver vides. Au début, on n’a pas donné d’importance à cela, car en fin de compte, les stocks étaient remplis. Mais, au fil du temps, le problème s’est aggravé.
Les bateaux étaient jetés à la mer, balayant chaque pouce d’eau, cependant, sans obtenir aucun succès.
Le marché était vide. Les usines ont fermé et les employés ont été renvoyés. La construction de l’école a été reportée, ainsi que la rénovation de l’hôpital. De nombreux experts ont été consultés, mais en vain. Personne n’était au courant, mais en réalité le poisson ne s’approchait plus des filets. Désespérés, les pécheurs continuaient leur lutte. Dans l’espoir d’un changement, ils sortaient tous les soirs pour aller à la pêche, et ce fut lors d’une de ces nuits qu’une tempête s’est rapidement formée sans qu’ils le notent. Bientôt, la mer fut bien agitée et le ciel, couvert de nuages, il n’y n’avait aucune lumière. Sans vision pour naviguer, l’un des bateaux, frappé par les vagues, fut violemment projeté contre le phare, qui, depuis la mort du pasteur, n’avait plus jamais été visité.
Le lendemain matin, le maire était effondré dans son cabinet. Il avait fait tout ce qui était en son pouvoir, sans succès. Pensif et tête baissée, il vit sur la table la lettre des membres de l’église, qui disait le suivant: «Monsieur le maire, nous, les membres de la communauté, venons vous informer du décès de notre pasteur. Dans son ministère, il priait chaque jour pour notre ville et suppliait Dieu qu’il ne manque jamais de poissons dans la mer. Inquiet de la situation des pêcheurs, il allumait aussi tous les après-midis le phare pour les guider dans les nuits noires. Il ne s’est jamais fatigué. Si nous n’avons pas un autre homme de Dieu qui bénisse la pêche et allume la lumière du phare, les poissons vont se faire rares et, par une nuit sombre, nos bateaux vont courir le risque de faire nauvrage, jetés par les vagues contre un rocher dans la mer. «
Le maire trouva ainsi la réponse qu’il cherchait. Les faits étaient désormais clairs et évidents, devant lui. «Mais comment n’ai-je jamais noté cet homme et son travail?» s’est-il questionné. Il a ainsi compris que le pasteur était comme le phare, qui ne lance pas la lumière sur lui-même mais sur les vagues de l’océan pour éclairer le chemin des hommes. Ce travail anonyme était d’une extraordinaire importance. Ainsi doit être le pasteur, un phare éclairé par Dieu. Il ne s’illumine pas à lui-même en quête de la gloire du monde, mais il lance sa lumière pour montrer aux hommes le chemin de Dieu. Dans leur clameur, les bénédictions arrivent et les problèmes sont évités.
Bien des fois, nous ne nous conscientisons de cela que lorsque nous les perdons et lorsque nous faisons face à des problèmes. Là, il nous reste juste à apprendre la leçon de l’importance de la clameur d’un homme de Dieu. Ce n’est pas ce que dit la parole du Seigneur?
 »Je cherche parmi eux un homme qui élève un mur, qui se tienne à la brèche devant moi en faveur du pays, afin que je ne le détruise pas; mais je n’en trouve point.» (Ezéchiel 22:30)
Avec la collaboration de: Ev. Freitas

LA VIE EST UNE COURSE!


MONT SINAI

Sacrifice - 2ème Partie




On ne peut pas oublier que le sacrifice est la plus courte distance entre le vouloir et le faire. Personne n’est, délibérément, capable de sacrifier s’il n’est pas motivé par une force intérieure, qui est la foi.

 Dieu, en donnant Son fils pour qu’Il soit sacrifié, fut en réalité le premier à sacrifier, montrant ainsi le secret de la conquête.

Il est très simple de comprendre cela: lorsque quelqu'un croit en la force de son travail, il est en mesure de conquérir, indépendamment de la croyance en Dieu. C’est ce qui arrive au long de l'Histoire de l’Humanité.

Preuve en sont les inventions extraordinaires que les hommes, même incroyants, ont apporté au monde. Un simple exemple est le travail de l'agriculteur, qui croit en la multiplication de sa semence lancée en terre.

Imaginez lorsque quelqu'un, touché par la croyance dans les promesses de Dieu, prend une attitude sacrificielle! Evidemment, cette attitude ne laisse pas le choix à Dieu, si ce n’est de le bénir. Après tout, Il ne peut pas mentir et Ses promesses ne pourront pas être révoquées.

Le sacrifice est la porte étroite qui mène aux conquêtes.

Cependant, la plupart des chrétiens ne croient pas en la nécessité de l'acte du sacrifice, car ils ne se reposent que sur le sacrifice du Seigneur Jésus.

Réellement, l’acte de Jésus est suffisant pour le Salut de ceux qui croient. Mais, eux aussi, doivent sacrifier, comme le Seigneur Jésus l’a dit à plusieurs reprises aux apôtres:

“...celui qui ne prend pas sa croix, et ne me suit pas, n'est pas digne de moi. Celui qui conservera sa vie la perdra, et celui qui perdra sa vie à cause de moi la retrouvera.” (Matthieu 10:38-39)

“…Si quelqu'un veut venir après Moi, qu'il renonce à lui-même, qu'il se charge de sa croix, et qu'il Me suive. Car celui qui voudra sauver sa vie la perdra, mais celui qui la perdra à cause de Moi la trouvera.” (Matthieu 16:24-25)

“Car celui qui voudra sauver sa vie la perdra, mais celui qui perdra sa vie à cause de Moi et de la bonne nouvelle la sauvera.”(Marc 8:35)

“Celui qui cherchera à sauver sa vie la perdra, et celui qui la perdra la retrouvera.”(Luc 17:33)

Ce que nous pouvons observer ici, est qu’étant donné l'importance du message, le Seigneur Jésus répète la même chose à des moments différents.

Matthieu et Luc l’ont registré deux fois, tandis que Marc, l’a fait une fois. Et que signifie charger sa croix et Le suivre? Et perdre sa vie à cause du Seigneur Jésus? Charger sa croix et Le suivre sont des exemples clairs de l'action de la foi à travers le sacrifice de soi.

Perdre sa vie à cause du Seigneur signifie renoncer aux appels du monde au profit d'une vie consacrée à la communion avec Dieu.

Alors à chaque fois, que nous faisons un sacrifice parfait, nous ne laissons pas de choix à Dieu. Il doit nous bénir, car la foi dans le Seigneur Jésus dépasse toutes les barrières.

Le sacrifice est la forme la plus convaincante de la résistance au diable. Il démontre aussi que le chrétien ne lui appartient plus, car son sacrifice symbolise la totalité de sa vie dans la dépendance de Dieu.

N'oubliez pas que dans le sacrifice réside la vie de celui qui sacrifie !

Le Sacrifice - 1ère Partie




Lorsque nous demandons quelque chose à Dieu, Il ne nous exauce pas à cause de nos pleurs, de nos nécessités ou de nos douleurs. Il agit selon notre foi, qui est la seule « monnaie d’échange » avec Dieu.

De ce fait, celui qui croit reçoit et celui qui ne croit pas ne reçoit pas! Ajoutez à cela les paroles du Seigneur Jésus: “Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru…” (Marc 16:17)

Lorsque nous cherchons une relation avec Dieu, les œuvres de bienfaisance ou la vie religieuse ne doivent pas être ici mises en question « …car il faut que celui qui s'approche de Dieu croie que Dieu existe, et qu'il est le rémunérateur de ceux qui le cherchent.» (Hébreux 11:16)

Dieu Se satisfait, principalement, des attitudes de la foi parce que c'est de cette façon que l'homme prouve qu'il dépend de Lui et qu’il obéit totalement à Sa parole. Beaucoup, pensent toutefois, qu’ils appelleront l’attention du Seigneur pour être des pratiquants fidèles de la bonté et de la charité. Ils attendent, sincèrement, que Dieu les récompense en raison de leurs actes. Mais ce n’est pas ainsi!

Et c’est pour raisonner ainsi que beaucoup de gens souffrent, en dépit de croire au Seigneur Jésus. Pour le Seigneur, le péché est l’attitude la plus vile de l’être humain, mais Il nous donne le pardon par la foi. Donc, si pour avoir nos péchés pardonnés nous avons besoin de foi, cela ne sera pas différent pour atteindre Ses bénéfices. Qu’est-ce qui est plus facile à conquérir ! La vie éternelle ou les promesses matérielles? Qui n'a pas la foi pour réaliser les rêves matériaux ne l’aura pas non plus pour conquérir les promesses spirituelles.

Comme exemples de foi, le Seigneur Jésus nous rappelle la grande famine en Israël au temps d’Elie. A cette époque, le prophète fut envoyé uniquement à une veuve qui vivait à Sarepta et à personne d’autre. Au temps du prophète Elie il y avait de nombreux lépreux en Israël, mais seul Naaman fut guéri.

Voyez bien:

«Je vous le dis en vérité: il y avait plusieurs veuves en Israël du temps d'Elie, lorsque le ciel fut fermé trois ans et six mois et qu'il y eut une grande famine sur toute la terre; et cependant Elie ne fut envoyé vers aucune d'elles, si ce n'est vers une femme veuve, à Sarepta, dans le pays de Sidon. Il y avait aussi plusieurs lépreux en Israël du temps d'Elisée, le prophète; et cependant aucun d'eux ne fut purifié, si ce n'est Naaman le Syrien.» (Luc 4:25-27)

Pour quelle raison ces personnes ont été exaucées? Parce que, dans les deux cas, il y avait la pleine manifestation de la foi!

Ainsi, chacun a la possibilité de suivre le chemin de la foi ou de l’incrédulité. Lorsque nous choisissons le chemin de la foi, nous devons être disposés à sacrifier, parce que la pratique de la foi exige des sacrifices constants.

Ils ne veulent pas que vous pensez


« Je réfléchis à mes voies… » Psaume 119.59 

Voici quelque chose de rare. La réflexion. Considérant les résultats de nos actions. Voir si ce que nous faisons fonctionne.

Aujourd'hui, plus que jamais, les gens ne sont pas encouragés à penser. Tout le travail est fait et leur est bien présenté. "C'est ce que vous devez porter maintenant." «C'est le métier qui rapporte beaucoup d'argent." «Étudie ceci." "Voici les dernières dépêches." "Voici votre religion. "

Qui dicte ce qui est à la mode? Et qui leur a donné le pouvoir de me dire ce que et comment je dois m'habiller? les dernières dépêches? Tu veux dire, tout ce qui s'est passé et se passe aujourd'hui à plus de 7 milliards de personnes dans le monde entier, ce sont les événements les plus importants qui comptent pour moi?

Malheureusement, quand une jeune personne termine ses études secondaires, elle a été programmée pour être un robot. Les écoles, qui sont supposées accueillir les enfants pour qu’ils apprennent à penser, produisent le contraire. Faites comme on vous dit, ne demandez pas pourquoi.

Mais nous ne pouvons pas blâmer que les écoles. C’est partout. À la maison, au travail, dans les religions, à la télévision, dans la musique, et dans notre culture en général - les gens ne sont pas encouragés à penser. Et les rares qui pensent, la plupart ne veulent pas les pensées des autres. Penser, c'est pouvoir. Évidemment, ceux qui détiennent le pouvoir veulent que moins de gens possibles pensent.

Dieu, en revanche, veut que vous pensiez. "Considérez attentivement vos voies!" Il le dit dans Aggée 1.5.

Ce n'est que par une foi qui pense que l’on peut arriver à Dieu, résoudre des problèmes, et changer de vie.

C'est seulement en regardant le fruit de vos actions, les résultats de vos comportements, que vous pouvez changer de direction et suivre un meilleur chemin dans la vie.

Mais aussi longtemps que vous restez un robot qui existe pour satisfaire les intérêts des autres, vous n'utiliserez pas la partie la plus puissante qui est en vous: Votre cerveau.

Penser, c'est le pouvoir. Utilisez-le.

Evêque Renato Cardoso.

Vous n'avez pas d'e-mail ?



Un chômeur postule pour un poste d'homme de ménage chez Microsoft.
Le Directeur des Ressources Humaines (DRH) lui fait passer un entretien, puis un test (balayer le sol), et lui dit:
" Vous êtes engagé; donnez-moi votre e-mail et je vous enverrai le formulaire à remplir, ainsi que la date et l'heure auxquelles vous devrez vous présenter pour commencer votre travail. "
L'homme, désespéré, répond qu'il ne possède pas d'ordinateur, et encore moins d'e-mail.
Le DRH lui dit alors qu'il est désolé, mais que s'il n'a pas d'e-mail, cela signifie que virtuellement il n'existe pas, et, comme il n'existe pas, il ne peut avoir le job.
L'homme sort, désespéré, sans savoir que faire; avec seulement US$10 en poche.
Alors il décide d'aller au supermarché et d’acheter une caisse de 10 kilos de tomates.
Il fait donc du porte a porte pour vendre ses tomates au kilo et, en moins de deux heures, réussit à doubler son capital.
Il répète l'opération encore trois fois et revient chez lui avec US$ 60.
Alors, il réalise qu'il pouvait survivre de cette manière, il part de chez lui tous les jours plus tôt et revient chez lui plus tard, et ainsi triple ou quadruple son argent chaque jour.
Peu de temps après, il achète une Kombi, puis l'échange pour un camion et peu de temps après se retrouve avec une petite flotte de véhicules de livraison.
Passés 5 ans, l'homme est propriétaire d'un des plus grands distributeurs alimentaires.
Après quelque temps, il décide de prendre une assurance vie.
Il appelle un assureur, choisit un plan d'assurance et quand la conversation termine, l'assureur lui demande son e-mail pour lui envoyer la proposition.
L'homme dit alors qu'il n'a pas d'e-mail.
«Curieux, lui dit l'assureur, vous n'avez pas d'e-mail et vous êtes arrivé à construire cet empire, imaginez ce que vous seriez si vous aviez un e-mail!!"
L'homme réfléchit et répond: - Je serais homme de ménage chez Microsoft!!
* Morale de l'histoire 1: L'Internet ne va pas changer votre vie, mais elle peut vous y aider, mais ce qui va vraiment la changer, c'est votre engagement, votre dévouement et, principalement, votre SACRIFICE!!
*Morale de l'histoire 2: Si vous voulez être “homme (ou femme) de ménage” dépendez toujours de quelque chose ou de quelqu'un, ne faites pas votre part!
* Morale de l'histoire 3: Engendrez votre SACRIFICE.
Evêque Julio César L. Freitas (Portugal)

Mme Elise

Sainte Montagne



« Je t'avais établi comme chérubin protecteur, aux ailes déployées; tu étais sur la sainte montagne de Dieu; tu marchais au milieu des pierres de feu. Tu fus intègre dans tes voies depuis le jour où tu fus créé, jusqu'à ce que l'iniquité ait été trouvée en toi.
Au milieu de ton riche commerce, ton cœur s'est rempli de violence, et tu devins coupable; je te précipiterai de la montagne de Dieu; je te détruirai, ô chérubin protecteur, du milieu des pierres de feu! » (Ezéchiel 28:14-16)
Lorsque nous parlons de sacrifice, nous parlons de la vie pleine et complète sur l'autel.
Lorsque nous parlons de l'autel, nous parlons de la montagne et lorsque nous parlons de la montagne, nous parlons des conquêtes matérielles, physiques, sentimentales, familiales et, surtout, d’un seul endroit où toute personne, quelle soit membre, ouvrier, pasteur ou évêque, peut être sauvée et blindée contre toutes les attaques sataniques.
Parce que sur le montage (l'autel) nous sommes puissants dans la guerre, nous sautons des murailles et nous mettons en échec des armées.
Le diable, quant à lui, travaille de façon détournée pour vous empêcher d’escalader la montagne (l'autel) et ce même travail est réalisé sans relâche pour lancer hors de la montagne ceux qui y sont arrivés et y ont établi leur vie. Pourquoi?
C'est simple. Car, depuis sa création, le diable habitait dans la sainte montagne de Dieu et il en a été expulsé. Il sait ce que signifie un ETRE HUMAIN avec sa vie en sacrifice sur la montagne.
Par conséquent, ouvriers, pasteurs, évêques, épouses et tout le peuple, la montagne est le lieu que notre Seigneur a sanctifié pour qu’habite la «…race élue, un sacerdoce royal, une nation sainte, un peuple acquis...» (1 Pierre 2:9).
Lieu où ni même tout l’enfer réuni peut vous vaincre.
Grâce Dieu!