vendredi 4 janvier 2013
«Nouveau vêtement»
De toutes les propositions que nous avons reçues des amis, de la famille, du monde et du Seigneur Jésus, nous avons décidé d'accepté cellequ'Il nous a faite.
Cher évêque,
Je souhaite partager quelque chose de très intéressant que j'ai parlé aujourd'hui, avant le baptême, que nous avons réalisé ici au Cénacle. J'ai demandé à ceux qui allaient se baptiser si jamais ils avaient acheté un nouveau vêtement; la réponse fut OUI. Et je leur ai fait rappeler cette expérience parce que, lorsque quelqu’un entre dans un magasin, la personne cherche à acheter une nouvelle tenue.
Après avoir vu tous les choix présents et avoir trouvé, parmi toutes les options, ce qui lui plaisait le plus et lui a appelé l’attention, il se dirige au vestiaire et, avec disposition et joie, anxiété et désir de voir comment ces nouveaux vêtements lui resteront, il retire les anciens vêtements – sans se préoccuper avec le travail que cela lui donne. En se voyant avec les nouveaux vêtements et vérifiant que cela lui va bien, il est prêt à aller à la caisse pour payer et ensuite l'utiliser librement, la montrant à tout le monde.
Ainsi est le baptême. De toutes les propositions que nous avons reçues des amis, de la famille, du monde et du Seigneur Jésus, nous avons décidé d'accepter celle qu'Il nous a faite. Nous avons retiré le vieux «vêtement», nous sommes entrés dans le «vestiaire» (baptistaire) et nous avons enlevé la «vieille créature» avec une bonne disposition, joie, anxiété et désir d’utiliser et de voir comment nous restons bien avec le nouveau «vêtement» (nouvelle vie) qu'Il nous donne.
Et est le plus intéressant est que nous n'avons pas besoin d’aller à la «caisse», puisqu'Il a déjà payé à l'avance, pour nous.
Mais, à chaque jour, nous devons la garder et la maintenir propre.
Que Dieu vous bénisse et merci pour l’attention.
Avec la collaboration du pasteur Carlos Rocha
Publié par Evêque Edir Macedo
L'ADN de Dieu
Parler de caractère aujour'hui est presque comme semer au beau milieu d'une tempête; comme aller dans le sens inverse de ce monde.
Trouver des frères de la même famille en conflit est normal. Ce qui n'est pas normal, c'est de trouver des frères de la même foi se mordre. Lorsque cela se produit, c'est parce qu'ils ne sont pas de Dieu.
Ceux qui sont nés du Saint-Esprit ont Son caractère. La pensée de Christ: Un nouveau cœur, qui bat selon celui du Père; un comportement sincère; une parole d'honneur; enfin il y a une brutale différence dans le caractère de ceux qui ne sont pas nés de l'Esprit de Dieu.
Je doute que ceux qui sont nés de Dieu déshonorent leur parole! Comme l'honneur du Père est dans l'accomplissement de Sa Parole, la même chose se produit avec Ses enfants. Le Seigneur Jésus, par exemple, enseigne que le mariage réalisé par Dieu ne peut pas être brisé. Ses enfants honorent la parole engagée sur l'Autel devant la Parole de Dieu. La Parole des vrais enfants de Dieu vaut plus que leurs sentiments.
Ceux qui sont nés du Saint-Esprit ont dans leur caractère, l’ADN de Dieu.
Parler de caractère aujourd'hui est presque comme semer au beau milieu d’une tempête; comme aller dans le sens inverse de ce monde. Mais, pour ceux qui veulent hériter le salut éternel, cela ne sert à rien de confesser la foi chrétienne et de se comporter à l'opposé de la Parole de Dieu.
“Si vous demeurez dans ma parole, vous êtes vraiment mes disciples” (Jean 8:31)
Le disciple n'est pas celui qui confesse ou sent être, mais celui qui suit, qui pratique, garde et obéit à la Parole de son maître.
Publié par Evêque Edir Macedo
Humilité: la base du caractère de Dieu – 2ème Partie
"Heureux les pauvres en esprit, car le royaume des cieux est à eux!" (Matthieu 5:3)
“Heureux les pauvres en esprit, car le royaume des cieux est à eux!” (Matthieu 5:3)
Nous observons dans ce verset que Jésus a dit: "...les pauvres en esprit..."
Il n'a pas dit: “..les humbles d'apparence ou de fausseté”, Cela nous montre que l'humilité vient insérée dans le Saint-Esprit, quand Ce dernier pénètre dans le plus profond de l'être humain. Pour cela, il n'y a pas comment cacher son orgueil. On peut même arriver à forcer son humilité pour un, deux, trois instants mais jamais toujours. Il arrive un moment où cela finit par se manifester, d'une façon ou d'une autre, dans la chair. L'horrible odeur de l'orgueil, le regard hautain, l'air de supériorité, s'exhale tout de de suite dans l'ambiance, devenant insupportable. Tandis que celui qui est né de l'esprit, l'humilité est naturelle dans sa manière d'agir avec les autres. Il est authentique, véritable, simple. Tous ont le plaisir de rester auprès de cette personne, de l'écouter, de respirer son parfum spirituel, qui remplit l'endroit où elle se trouve.
“Nous sommes, en effet, pour Dieu la bonne odeur de Christ, parmi ceux qui sont sauvés et parmi ceux qui périssent: aux uns, une odeur de mort, donnant la mort; aux autres, une odeur de vie, donnant la vie. Et qui est suffisant pour ces choses? ” (2 Corinthiens 2:15-16)
Ouvriers, pasteurs, évêques et épouses, ne soyons pas seulement humbles avec les personnes lorsque nous sommes devant une autorité spirituelle, qui peut nous bénir ou nous punir. Soyons humbles dans toute situation, principalement lorsque les yeux de la direction ne sont pas présents, et oui ceux de Dieu: "L'Éternel étend ses regards sur toute la terre, pour soutenir ceux dont le coeur est tout entier à lui. Tu as agi en insensé dans cette affaire, car dès à présent tu auras des guerres. " (2 Chroniques 16:9)
La question que nous devons nous poser à nous-mêmes est: Quelle odeur exhalons-nous dans l'endroit où nous vivons? – à la maison, au travail, à l'école ou à l'église – la “bonne odeur de Christ” ou la mauvaise odeur de la chair?
Pensons-y.
Que Dieu vous bénisse.
Evêque Sergio Correia
Publié par Evêque Edir Macedo
dimanche 30 décembre 2012
Une jeune fille tuée à cause de sa foi
Une petite fille a été emmenée par sa tante à l'église et a accepté Jésus. Arrivant à la maison, elle a parlé avec les parents comme ceci: « père laisse-moi être croyante? » Le père et la mère ont dit: « pas du tout, nous sommes disciples de Mohammed. » Elle a tant insisté que les parents ont parlé: « Avec une condition, pour tout le culte que tu seras hors, quand tu va rentrer, tu vas prendre une raclée! » Elle a dit « Très bien! ». Elle allait rentrée à la maison une raclée, elle allait au culte et arrivée à la maison une autre raclée. Un jour sa tante lui a donné une robe blanche et elle chantait devant l'église seule, son premier solo à 12 ans, elle avait 1 an de conversion. Lorsque le culte termina, elle était avec les collègues, tout le monde heureux. Son père vint ivre, saisit la jeune fille et la battue en face de l'église, il frappa sa tête dans le fil du milieu et la blessa beaucoup. Ils ont arrêté son père. Ensuite, la tante et le pasteur ont prit la jeune fille et l’ont placée sur un banc, ils lui avaient retiré sa robe blanche quand elle avait perdu connaissance, elle avait perdu connaissance et elle reprenait conscience, alors, quand elle reprenait conscience elle parlait "pasteur où est ma robe?" Le pasteur dit « oublie la robe ma fille, elle est toute sale avec du sang, soit ferme, supporte le médecin arrive ». A ce moment là elle s’est éteinte, puis elle se réveilla de nouveau et parla "tante... pasteur, donnez-moi ma robe, je veux ma robe blanche « et ils ont dit » oublie la robe, elle est toute sale "c'est arrivé cinq fois ; la cinquième fois que c’est arrivé la jeune fille dit: "pasteur je suis en train de voir Jésus debout et il me dit qu’il va me prendre maintenant, s’il vous plaît, pour l'amour de Dieu, pour tout ce qu’il y a de plus sacré, donnez-moi ma robe blanche? » Le pasteur dit « pourquoi? » Il alla là, ramassa la robe et la lui donna, elle embrassa la robe seulement en culotte et ferma les yeux pour la dernière fois sur cette terre et le pasteur demanda, « mais pourquoi veux-tu tant cette robe? » Et ses derniers mots furent : "je veux rentrer avec cette petite robe sale de sang dans le ciel, pour montrer à Jésus, qu’ainsi comme un jour il saigna pour moi, moi aussi j'ai saigné pour Lui.
La parabole du crayon
Un jour, un fabricant de crayons parlait avec ses crayons, tout en disant à chacun d'eux les paroles suivantes:
Il y a cinq choses que vous devez savoir avant que je vous envoie dans le monde. Rappelez-vous toujours d'elles et vous deviendrez le meilleur crayon de l'univers.
Premièrement: Vous pourrez faire de grandes choses, mais seulement si vous vous permettez d'être en sécurité dans la main de quelqu'un.
Deuxièmement: Vous passerez par un procès douloureux d'être taillés parfois, mais cela est exigé si vous voulez devenir meilleur que vous l'êtes.
Troisièmement: Vous avez l'habilité de corriger tout mal-entendu que vous puissiez engendrer.
Quatrièmement: La partie la plus importante qu'existe en vous est à l'intérieur de vous.
Cinquièmement: Peu importe la condition, vous devez continuer à écrire. Vous devez toujours laisser une marque claire et lisible – peu importe ô combien la situation est difficile.
Tous les crayons ont compris, promettant de toujours se rappeler les paroles de leur créateur et ils sont rentrés dans la boîte, après avoir compris le propos de leur fabricant.
Nous aussi, nous sommes comme un crayon. Nous avons été créés avec un propos par notre Créateur.
Mais, est-ce que nous le comprenons à chaque jour?
“Nous savons, du reste, que toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu, de ceux qui sont appelés selon son dessein.” ( Romains 8.28)
Auteur Inconnu
Avec la collaborations du Pasteur Mauricio Campos
Publié par Evêque Edir Macedo
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