vendredi 28 juin 2013

La lutte de Jacob





"Soumettez-vous donc à Dieu; résistez au diable, et il fuira loin de vous. Approchez-vous de Dieu, et il s'approchera de vous…" (Jacques 4:7-8)
Le diable n'a aucun intérêt à fuir de quelqu'un, bien au contraire, il souhaite montrer qui il est dans la vie de l'être humain et c’est pour cela qu’il est venu, pour dérober, égorger et détruire.
Il est capable de tout pour ne pas sortir du mariage, de la santé, de la vie sentimentale, de la famille, de la vie économique, etc.
Mais quel est le pouvoir que le diable voit dans la vie d'une personne, supérieur à sa force, au point de fuir?
Certainement la foi matérialisée dans le sacrifice. C'est par le sacrifice que nous résistons au diable, il n'y a pas d'autre moyen. S'il insiste à rester dans la vie de quelqu'un, c'est parce qu'il n'a pas encore vu le pouvoir qui le détruit. D’ailleurs parce que résister signifie s'opposer à l'adversaire, ne pas fuir, mais se maintenir ferme, ne pas succomber, ne pas céder. Seul celui qui est fatigué peut le faire, fatigué de la vie qu'il mène et de tout. Et en raison de cette détermination, il place toute sa force dans la lutte et sacrifie.
C'est ce que Jacob a fait lorsqu'il a lutté avec Dieu dans le gué de Jabbok: «Il dit encore: ton nom ne sera plus Jacob, mais tu seras appelé Israël; car tu as lutté avec Dieu et avec des hommes, et tu as été vainqueur.» (Genèse 32:28)
Lutter avec les hommes signifie lutter avec soi-même, car il ne voulait plus être qui il était. Lutter avec Dieu signifie en d'autres termes: «Le Seigneur doit me bénir en raison du sacrifice que j'ai fait, m'éloignant de tout – des biens, des personnes, restant seul avec Toi!»
Dans la lutte de Jacob avec lui-même et avec Deus, qui a perdu?
Certainement, Dieu n'a pas perdu, Il est invincible. Jacob a été vainqueur, mais quelqu'un a échoué. Sans doute, ce fut le diable qui a échoué.
Le jour où vous serez seul avec Dieu sur l'autel, vous vaincrez le diable et il fuira de votre vie. Tous ont vu que Jacob avait changé. De même, tous vont voir votre changement.
Le diable ne fuit pas de l'argent, même si cela semble être beaucoup. Il fuit le sacrifice, même s'il semble être peu. Car lorsqu'il voit le sacrifice, il voit Dieu.
C’est ce que nous propose la Campagne d'Israël.
Avec la collaboration de l’Evêque Romualdo Panceiro
Publié par Evêque Macedo

Je suis fatigué d'être moi-même...





Jacob fut fatigué d'être Jacob.
Avoir des bénédictions, mais ne pas être la propre bénédiction;
Avoir des promesses, mais ne pas en profiter.
Jusqu’à cette mémorable nuit, sa vie fut faite de hauts et de bas;
Plus de bas que de haut; des tribulations, des peurs et des angoisses.
Tant qu'il s’accrochait aux conquêtes, la malédiction le poursuivait.
Jusqu'à ce qu'il fut fatigué de fuir, de tromper et d'être trompé;
Il fut fatigué de son mauvais caractère.
Il a eu besoin de se concerter, d’avoir une rencontre avec le Dieu de ses pères.
Chercher la dignité de caractère de son père Isaac,
L'héritage béni de son grand-père Abraham,
Enfin, d’être la propre bénédiction.
Le Dieu Très-Haut voulait faire de lui une référence pour ses générations comme Abraham et Isaac le furent pour lui.
Ce serait le plus grand héritage pour ses héritiers;
Le plus grand et le meilleur héritage pour nos descendants: la propre bénédiction.
Publié par Evêque Edir Macedo

Deux histoires, un conflit





Nous avons tous, tout du moins deux histoires en nous. L’une avec une belle et heureuse fin et l'autre avec un futur désastreux. Le bien et le mal. La foi et le doute. L'amour et la solitude. La santé et la maladie. Souhaitant toujours l’une, mais craignant l'autre.
Il y avait un homme appelé Jacob qui vivait ce conflit pendant presque toute sa vie. Depuis le ventre maternel, il avait déjà reçu une promesse de Dieu, garantissant son futur béni, dans lequel il serait le leader de sa tribu à la place de son père, Isaac. Au long des années, cependant, la réalité s'est éloignée de la promesse.
Son frère jumeau, Esaü, était celui qui avait toutes les caractéristiques d'un leader né. Chasseur, fort, courageux. Jacob avait une nature plus tranquille, casanière. Cela a mené son père a favorisé son frère.
Deux histoires luttaient en Jacob. L’une disait qu'il serait grand, béni, heureux. L'autre, la réalité, le montrait être un homme faible, mis de côté par son père, un homme à l'ombre de son frère, peu sûr de lui-même.
La grande découverte de Jacob fut qu'il pouvait choisir l'histoire de sa vie. Par le biais d'une lutte avec Dieu, il a tout changé à son égard, même son propre nom.
Vous avez également deux histoires en vous. Peut-être vous vous sentez pris en otage de celle qui finit mal et très loin de celle que vous aimeriez être le protagoniste.
Je n'ai pas de doute sur laquelle vous voulez choisir. La seule question est si vous être prêt à lutter avec Dieu pour la faire s'accomplir dans votre vie.
Renato Cardoso

mardi 25 juin 2013

Cela ne sert à rien de...





Cela ne sert à rien de vouloir être grand et de penser petit. Cela ne sert à rien aussi de vouloir être grand du jour au lendemain. Personne n'est né grand. C’est la Loi de la nature instituée par le Créateur.
Il ne suffit pas d’être un partenaire de Dieu et de dépendre des autres; être partenaire de Dieu et compter sur l'aide des autres, ce n'est pas vivre par la foi.
Vouloir ce n’est pas pouvoir. Si le vouloir serait pouvoir dans ce monde, ce serait un long fleuve tranquille, parce que, qui ne souhaite pas être sain et prospère, avoir une famille et être heureux?
Entre vouloir et pouvoir, il y a un immense désert à traverser. Cette traversée commence par une première étape: Détermination et fermeté de pensée; Pensée selon les pensées de Dieu.
A chaque étape, maintenir l'esprit fixé sur le même conseil de Dieu à Josué:
Fortifie-toi seulement et aie bon courage, en agissant fidèlement selon toute la loi que Moïse, mon serviteur, t'a prescrite – pensée de Dieu-; ne t'en détourne ni à droite ni à gauche, afin de réussir dans tout ce que tu entreprendras. (Josué 1:7)
Avancer toujours dans cette direction sans attendre l’aide d’autrui. Mais confier que Celui qui a fait la Promesse est fidèle pour l’accomplir. C'est vivre par la foi, c'est dépendre de Dieu.
Qui vit un pacte avec Dieu ne peut s'appuyer sur les autres. Ou l'Esprit du Dieu Tout-puissant est avec vous ou Il ne l'est pas. Si vous croyez avec toutes vos forces, alors Il vous donne la certitude que vous êtes Son partenaire. Prenez une attitude, agissez votre foi, mettez en pratique l'inspiration donnée, faites ce qui est en votre pouvoir et attendez Sa réponse.
Dépendre d'un partenariat avec Dieu et aller de l’avant sans attendre l'aide d'autrui, est le principe fondamental de la foi.
Dieu a fait la promesse à Abraham et à sa postérité.

Reconnaissez donc que ce sont ceux qui ont la foi qui sont fils d'Abraham.
(Galates 3:7)
Isaac a été béni et a transmis sa bénédiction à Jacob; même, frauduleusement, Jacob a pris possession de la bénédiction.
Il est devenu très riche, mais n'était pas encore la propre bénédiction. Il a possédé la promesse de la bénédiction, mais n'était pas heureux; il avait la promesse, mais il n'était pas la bénédiction.
Publié par Evêque Edir Macedo

Le présent de Jacob





Bonjour, évêque!
Cette matinée je pensais au sujet de la valeur du présent que Jacob a donné à son frère Esaü, dans la monnaie actuelle et j’ai trouvé quelqu’un qui avait fait les calculs en mars dernier, selon la valeur du marché, ici aux Etats-Unis. Les valeurs semblent être bien raisonnables.
Voici les valeurs actuelles approximatives des animaux que Jacob a donné comme présent à son frère (en dollar, puis converti en euros à la fin des comptes):
200 chèvres: $163 chacune = 32.600 dollars
20 boucs: $177 chacune = 3.540 dollars
200 brebis: $340 chacune = 68.000 dollars
20 béliers: $541 chacun = 10.820 dollars
30 femelles de chameaux avec leurs petits qu'elles allaitaient: $15.000 chacun = 450.000 dollars
40 vaches: $700 chacune = 28.000 dollars
10 taureaux: $1.700 chacun = 17.000 dollars
20 ânesses: $1.500 chacun = 30.000 dollars
10 ânes: $1.500 chacun = 15.000 dollars

Total: 654 960,00 dollars (1 USD = 0.763963 EUR)
= 500 365,00 Euros – cinq cent mille trois cent soixante cinq euros).

Je savais que Jacob était riche quand il a laissé Laban, mais je ne m’étais jamais rendu, au combien il était riche. S'il était en mesure de donner à son frère un cadeau de plus de 500 000,00 euros, ce qui était clairement un énorme sacrifice, imaginez ce qu’il possédait.
Je pense que ce cadeau, a eu un rôle extrêmement important dans l'histoire de Jacob, parce qu’il a séparé ces animaux et les envoya à son frère, avant sa lutte avec Dieu. Je ne pense pas que c'était une coïncidence. Nous pouvons dire que ce n'était pas seulement un cadeau pour son frère, mais son sacrifice à Dieu.
Comme vous l'avez dit, évêque, l'offrande sur l'autel n'a aucune valeur quand nous avons quelque chose contre un frère dans nos coeurs. En donnant ce cadeau, Jacob purifiait son cœur afin que son sacrifice soit accepté par Dieu.
Le passage biblique nous dit aussi que le présent fut "devant lui", comme le font nos sacrifices.
“ Les présents d'un homme lui élargissent la voie, Et lui donnent accès auprès des grands.” (Proverbes 18:16)
Publié par Evêque Edir Macedo

dimanche 23 juin 2013

Deux histoires, un conflit


Chacun de nous possède en soi au moins deux histoires. L’une avec une fin heureuse, l’autre avec un futur désastreux. Le bien et le mal. La foi et le doute. L’amour et la solitude. La santé et la maladie; désirant toujours l’une, mais craignant l’autre.
Il y avait un homme appelé Jacob qui a vécu ce conflit durant presque toute sa vie. Depuis le ventre de sa mère, il avait déjà reçu une promesse de Dieu lui garantissant un futur béni, où il serait le leader de sa tribu à la place de son père Isaac. Au fil des années, cependant, la réalité s’est éloignée de la promesse.
Son frère jumeau, Esaü, est celui qui possédait toutes les caractéristiques d’un leader naturel. Chasseur, fort, courageux. Jacob pour sa part était d’une nature plus calme, casanière. Cela avait pour conséquence que son père traitait son frère avec favoritisme.
Deux histoires guerroyaient en Jacob. L’une disait qu’il serait grand, béni, heureux. L’autre, la réalité, lui montrait un homme faible, négligé par son père, dans l’ombre de son frère, un homme qui n’était pas sûr de lui-même.
La grande découverte de Jacob fut qu’il pouvait choisir son histoire. À travers une lutte avec Dieu, il a tout changé à son sujet, jusqu’à son propre nom.
Vous aussi avez deux histoires en vous. Peut-être vous sentez vous prisonnier de celle qui se termine mal et très distant de celle dont vous aimeriez réellement être le protagoniste.

Je n’ai aucun doute au sujet de celle que vous voulez choisir. La seule question est de savoir si vous êtes prêt à lutter avec Dieu pour la faire s’accomplir dans votre vie.