mardi 25 juin 2013

Cela ne sert à rien de...





Cela ne sert à rien de vouloir être grand et de penser petit. Cela ne sert à rien aussi de vouloir être grand du jour au lendemain. Personne n'est né grand. C’est la Loi de la nature instituée par le Créateur.
Il ne suffit pas d’être un partenaire de Dieu et de dépendre des autres; être partenaire de Dieu et compter sur l'aide des autres, ce n'est pas vivre par la foi.
Vouloir ce n’est pas pouvoir. Si le vouloir serait pouvoir dans ce monde, ce serait un long fleuve tranquille, parce que, qui ne souhaite pas être sain et prospère, avoir une famille et être heureux?
Entre vouloir et pouvoir, il y a un immense désert à traverser. Cette traversée commence par une première étape: Détermination et fermeté de pensée; Pensée selon les pensées de Dieu.
A chaque étape, maintenir l'esprit fixé sur le même conseil de Dieu à Josué:
Fortifie-toi seulement et aie bon courage, en agissant fidèlement selon toute la loi que Moïse, mon serviteur, t'a prescrite – pensée de Dieu-; ne t'en détourne ni à droite ni à gauche, afin de réussir dans tout ce que tu entreprendras. (Josué 1:7)
Avancer toujours dans cette direction sans attendre l’aide d’autrui. Mais confier que Celui qui a fait la Promesse est fidèle pour l’accomplir. C'est vivre par la foi, c'est dépendre de Dieu.
Qui vit un pacte avec Dieu ne peut s'appuyer sur les autres. Ou l'Esprit du Dieu Tout-puissant est avec vous ou Il ne l'est pas. Si vous croyez avec toutes vos forces, alors Il vous donne la certitude que vous êtes Son partenaire. Prenez une attitude, agissez votre foi, mettez en pratique l'inspiration donnée, faites ce qui est en votre pouvoir et attendez Sa réponse.
Dépendre d'un partenariat avec Dieu et aller de l’avant sans attendre l'aide d'autrui, est le principe fondamental de la foi.
Dieu a fait la promesse à Abraham et à sa postérité.

Reconnaissez donc que ce sont ceux qui ont la foi qui sont fils d'Abraham.
(Galates 3:7)
Isaac a été béni et a transmis sa bénédiction à Jacob; même, frauduleusement, Jacob a pris possession de la bénédiction.
Il est devenu très riche, mais n'était pas encore la propre bénédiction. Il a possédé la promesse de la bénédiction, mais n'était pas heureux; il avait la promesse, mais il n'était pas la bénédiction.
Publié par Evêque Edir Macedo

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