jeudi 15 mai 2014

Comment a surgi l'Universelle?


Lorsque Salomon eut achevé de prier, le feu descendit du ciel et consuma l'holocauste et les sacrifices, et la gloire de l'Éternel remplit la maison. (2 Chroniques 7:1)
Lorsque nous méditons sur le fait de ce qu’ont été les holocaustes et les sacrifices, qui ont provoqué la descente du feu et la gloire du Seigneur, comme nous l’apprenons au cours de ces jours, nous comprenons pourquoi l’Universelle fait la différence dans tout le monde: parce qu'elle est un seul feu, un seul Esprit, une seule foi.
Ce n'est pas la somptuosité des cathédrales, ce ne sont pas le réseau de communication, ce n’est pas la capacité à rassembler les foules, mais le simple fait que l'homme connaisse le Seigneur Jésus et abandonne sa vie sur l'autel comme «sacrifice vivant, saint, agréable à Dieu». Cela a provoqué la descente du feu sur le kiosque, au salon funéraire, à l'Abolition, à Duque de Caxias, à Padre Miguel, au Brésil et dans le monde.
Aujourd'hui, ce même homme ne doit pas nécessairement être présent physiquement à l’un de ces endroits au monde, pour que survienne la descente du feu. Les concentrations sont faites par d'autres pasteurs et évêques, mais sur la base du "sacrifice vivant" resté sur l'autel, le feu descend et la gloire de Dieu est visible.
Ainsi nous devons être, parce que si nous sommes le «sacrifice vivant», peu importe les conditions matérielles de nos églises, là descendra le feu du Seigneur et nous verrons tous Sa gloire à travers le salut, de la nouvelle naissance, des guérisons et des miracles dans la vie du peuple. Pas en raison de notre charisme et de notre capacité, mais au nom de nos vies sacrifiées sur l'autel. Considérant que cela ne sert à rien d'être dans une cathédrale, dans un état ou dans un pays avec toutes les conditions, si nous ne sommes pas ce sacrifice «vivant». Là, il y n'aura aucun feu et bien moins la gloire de Dieu sera vue dans cet endroit et qui va être lésé? Le peuple.
Je vous exhorte donc, frères, par les compassions de Dieu, à offrir vos corps comme un sacrifice vivant, saint, agréable à Dieu, ce qui sera de votre part un culte. (Romains 12:1)
Nous suivons tous ces exemples, si nous sommes ce «sacrifice vivant», nous verrons la gloire de Dieu dans notre ministère, là où nous mettrons la plante des pieds. Si nous ne sommes pas le «sacrifice vivant», nous n'allons pas voir la gloire de l'Éternel dans notre ministère, ni dans aucun autre domaine de notre vie.
Que Dieu vous bénisse!
Avec la collaboration de l'Evêque Sergio Correia

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