dimanche 1 décembre 2013

Rosely Guido


Lorsque j'ai connu l'Universelle, je souffrais d’une passion aiguë pour un garçon qui ne me donnait aucune importance, il me traitait comme un rien.
Mon obsession était telle que j'étais totalement aveugle, je faisais tout dans l'église à ma façon et j’étais toujours en quête de quelqu'un à qui parler, parce que je voulais écouter ce qui me convenait et rien d'autre.
J’attendais que les ouvriers et les pasteurs prononcent des mots pour me faire plaisir, mais je sortais de là, frustrée. Ils ne disaient rien pour me plaire, il parlait ce que Dieu voulait vraiment parler. Je ne l'acceptais pas, parce que je voulais une réponse immédiate et concrète à mon obsession, mais j'ai continué ferme à l’Universelle faisant tout ce qui était erroné. Aujourd'hui, je sais que Dieu l’a permis, parce que tout dépendait de moi, jusqu'à ce qu'un jour, j'ai entendu le témoignage d'une personne, sur l'autel. Il semblait que je parlais de ma vie. Depuis ce jour, j'ai commencé à voir, à entendre et comprendre ce que Dieu voulait me dire. Il n'a pas fallu longtemps, j’ai questionné Dieu: «Pourquoi tout le monde dit que leur vie a changé et la mienne ne change pas?»
Et Dieu a répondu que c’était moi qui devais décider et que cela ne dépendait que de moi et de personne d'autre (libre arbitre).
Rien qu’en y pensant, brûlait en moi une douleur, une douleur immense à l'intérieur de moi. Mais tout a été très glorieux, parce que quand j'ai pris la décision de me donner à Dieu de corps, âme et esprit, j'ai remis ma vie à la disposition de Dieu et dès lors, ce ne serait plus ma volonté, mais celle de Dieu et tout est arrivé, j'étais libre de tous tourments. C'était comme si toutes les chaînes qui me liaient, se brisaient à ce moment-là.
Evêque, ce fut incroyable! Il semblait que j’oubliais quelque chose, mais non. Je n’arrivais à me souvenir de rien et bien moins de ce garçon; je n’arrivais même pas à me souvenir de son visage. DIEU EST PARFAIT!!!
Avec des larmes aux yeux et avec la joie, j’affirme: ce jour-là, j'étais certaine de ma rencontre avec Dieu. J’ai le privilège de faire partie de cette famille et j'ai un amour inconditionnel pour cette Oeuvre et je suis fière de dire: JE SUIS L’UNIVERSELLE! Merci beaucoup, mon Dieu! Je vous remercie, évêque!
Rosely Guido

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