jeudi 20 février 2014

Si les entreprises découvraient la formule...


Evêque,
J'ai trente-neuf ans et je connais l’Universelle, depuis vingt ans. Plus je la connais, plus je me rends compte que le nombre d’années ne signifie pas qualité de vie ou communion avec Dieu. C'est merveilleux, car cela donne la possibilité à qui L'accepte, aujourd’hui, d’obtenir immédiatement un miracle.
Je peux dire qu’avec joie, je travaille dans les services administratifs de l'Eglise depuis dix ans. Je suis, tous les jours, son développement au Portugal, dans d'autres pays d'Europe et d'Afrique. Et comme j’en apprends à chaque jour...
Je suis diplômé en Comptabilité et en Administration, j’ai un diplôme d'études en fiscalité, un Master Audit, un doctorat en sciences économiques et, cumulativement, je suis Professeur à l'Université. Cependant, je dois avouer, qu’après tant d'années d'études, je n'ai jamais autant appris qu’à l’Universelle.
Nous sommes, disent tant les experts comme les curieux, en crise. Les organisations font de tout pour se maintenir en vie. Les experts en ressources humaines font de tout pour obtenir de meilleurs employés, les plus capables, les plus professionnels, malgré cela, chaque jour, des entreprises ferment leurs portes.
Je me demande où est l’erreur. On n’embauche pas les meilleurs? Quelle est la raison de l'échec?
Exercer des tâches administratives à l’Universelle, me mène à visiter d'autres pays. Où que j'aille, le scénario est le même. La force de ses ressources humaines, est la même, je me réfère aux évêques et aux pasteurs.
Il y a «quelque chose» que les employés des sociétés, en général, n'ont pas. C'est pourquoi les entreprises sont en difficulté. Un pasteur ne connaît aucune limite. Le pasteur n'a pas d’horaire, ne s’appuie pas sur contrat de travail. Le pasteur n'a pas honte de ne pas savoir parler une nouvelle langue. Le pasteur s'applique de toutes ses forces, tant pour tenir une réunion avec cinq personnes comme pour prêcher lors d’une concentration regroupant des milliers de gens.
Pour ceux qui ne le savent pas, il y a des pasteurs qui n'ont pas assez étudié, pour savoir comment lire et écrire correctement. C’est vrai, mais j'apprends toujours avec eux et je n'ai pas honte de le dire. Je doute qu’une quelconque multinationale les contracte pour ouvrir une succursale dans un autre pays. Toutefois, lorsque le vent souffle ils partent, leur femme dans une main et leur bagage dans l'autre.
Ainsi, l'église naît, grandit et demeure. Quel salarié ferait une telle chose dans une grande entreprise? Prendre sa femme, sa valise et partir, d'un jour à l'autre? Je le répète, il y a quelque chose chez ces hommes, qui n'existe pas chez les employés d'aujourd'hui.
Si les entreprises découvraient la formule de mettre cette force à l'intérieur de ses employés, ils créeraient des guerriers plutôt que des employés et forgeraient des épées plutôt que de distribuer des dividendes. Et plus encore, si les pays découvraient la formule de mettre cette force au sein de leurs choses dirigeants, les choses seraient bien différentes.
Je laisse ici un défi aux organisations qui traversent des problèmes sur le marché: Faites un exercice de benchmarking, en d’autres termes, une analyse comparative de gestion avec l'Eglise Universelle. Après tout, elle continue à grandir... et nous sommes en crise. Cela ne peut qu’être surnaturel.
César Ribeiro - Portugal

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