Sacrifice vivant

“Je vous exhorte donc, frères, par les compassions de Dieu, à offrir vos corps comme un sacrifice vivant, saint, agréable à Dieu, ce qui sera de votre part un culte raisonnable. ” (Romains 12:1)
Maintenant, nous pouvons comprendre pourquoi nous voyons des ouvriers qui physiquement sont actifs, infatigables dans le travail de l'Oeuvre de Dieu, évangilisant, accueillant les personnes et expulsant même les démons pendant plusieurs années dans l'Eglise, et lorsqu’on s'y attend le moins, surgit le refroidissement, une chute qui semble être soudaine, et pour fin, l'éloignement. La grande raison est que ces personnes ne présentent pas leurs corps comme sacrifice vivant, saint et agréable à Dieu.
LE SACRIFICE VIVANT signifie, entre d'autres termes:
Privations auxquelles quelqu'un s'assujettit en bénéfice de quelqu’un d'autre. Lorsque nous nous privons des coutumes et des attitudes du péché, quels qu’ils soient, nous sommes en train d’immoler (tuant) les désirs ardents de notre chair. Ainsi nous restons amortis par ce monde et vivants sur l'autel, en parfaite communion avec Dieu.
SAINT signifie séparé. Vous souvenez-vous de ce qui est écrit?
"Aveugles! lequel est le plus grand, l'offrande, ou l'autel qui sanctifie l'offrande?" (Matthieu 23:19)
Lorsque nous présentons notre corps comme sacrifice vivant sur l'autel, Dieu nous sépare de ce monde, de ses souffrances et dans le futur, de l'enfer, si nous persévérons jusqu'à la fin, parce qu'Il nous veut près de Lui pour toute l'éternité, grâce à Dieu!
AGRÉABLE signifie délicieux, savoureux. Lorsque nous présentons notre corps comme sacrifice vivant, c’est-à-dire, à chaque fois que nous résistons à la prostitution, à l'adultère, au mensonge, au vol et à tous les autres types de péchés, Dieu aspire notre attitude comme un arôme savoureux. Il a le plaisir de nous avoir comme enfants, comme offrande vivante dans Son autel. Vous souvenez-vous de ce qu'Il a dit à propos du Seigneur Jésus?
“Et voici, une voix fit entendre des cieux ces paroles: Celui-ci est Mon Fils bien-aimé, en qui j'ai mis toute mon affection.” (Matthieu 3:17)
Faisons une introspection (analyse interne): de qui d’entre nous, Dieu peut parler de cette façon, hein, ouvriers?
PENSEZ-Y!
Que Dieu vous bénisse.
Publié par Evêque Edir Macedo