vendredi 28 décembre 2012

La sucette de la tromperie

Qui, pleinement conscient, serait capable de blesser un innocent? Tout le monde aime les enfants, n'est-ce pas? La photo d’un enfant, gémissant pour avoir une nécessité, touche n’importe quel cœur. Surtout quand il souffre de la faim. Qui, pleinement conscient, serait capable de blesser un innocent? Très bien. Mais, lorsqu’ils naissent, les parents sont les premiers à stimuler, en eux, la tromperie. Quand ils commencent à pleurer, les parents sont les premiers à leur enfoncer une tétine entre leurs petites lèvres. Pauvres petites créatures. Elles sucent ce caoutchouc comme si c’était le sein de leur mère. Une telle tromperie ne s’arrête pas là. Plus tard, elles sont forcées d'avaler la pire des sucettes: les coutumes religieuses des parents. Ils apprennent que tous sont enfants de Dieu. Contredisant leurs dogmes de la foi, les religions enseignent également que l'enfant qui n'est pas baptisé est païen. Et s’il est païen, alors c’est le fils de qui? Le fils de Dieu est un païen? Ils enseignent aussi que Jésus est le Sauveur. Si tous sont enfants de Dieu, pourquoi y a–t-il le Sauveur? Sauveur de qui? Les enfants de Dieu ne sont-ils pas déjà sauvés? Ils enseignent que la Sainte Trinité est Dieu Le Père, Dieu Le Fils et Dieu Saint-Esprit. Mais, pourquoi insistent-ils à appeler Marie de «Mère de Dieu»? Dieu a-t-Il une mère? Si Dieu a une Mère, alors elle est plus grande que Lui? Qui est le plus grand: l'enfant ou la mère/le père? Où est la figure de la Mère dans la Sainte Trinité? En raison de ces tromperies et de tant d’autres, la sucette du diable continue à contaminer les êtres humains pour la vie. Et après, on m’appelle de sans âme, lorsque je déclare catégoriquement que les enfants de Dieu sont seulement ceux qui sont nés de l'eau et de l'Esprit. Si, par hasard, vous avez encore des doutes, lisez le texte de la Bible catholique: "C'est par là que se font reconnaître les enfants de Dieu et les enfants du diable. Quiconque ne pratique pas la justice n'est pas de Dieu, non plus que celui qui n'aime pas son frère." (I Jean 3:10) Publié par Evêque Edir Macedo

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