jeudi 13 novembre 2014

Lettre du pai d'un ex-vicié


Cher évêque Rogerio Formigoni, c’est en tant que père de votre ami Luciano Ricardo Marques que je viens, avec un grand respect et une énorme satisfaction m’exprimer au sujet de votre dévouement le 31 juillet 2014, lors de l’inauguration du Temple de Salomon.
Vous pouvez le croire, votre exposition fut si claire que l’assemblée était toute perplexe lorsque vous avez affirmé que le vice pouvait trouver guérison, par le biais de la foi et de la persévérance, car vous êtes l’une de ces personnes, qui avait été guérie, il y a plus de 20 ans.
Lorsque vous habitiez, évêque, à Lucélia – São Paulo (Brésil), Luciano faisait aussi partie des sorties nocturnes et des orgies arrosées de crack et de cocaïne. Ma souffrance, en tant que père et de Nadir, en tant que mère, paraissait être sans fin. Même ici à Bauru, Luciano vivait activement dans les drogues. A notre grande joie, Luciano a commencé à aller à l’Universelle de Bauru et l’esprit du vice a cessé, aujourd’hui, c’est une personne de Dieu, renouvelée dans la foi et nous avons beaucoup d’espoir concernant la transformation survenue dans la vie de Luciano.
La foi c’est aussi croire en ce que nous ne voyons pas. Beaucoup de personnes veulent voir pour croire, cependant si nous voyons, nous ne croyons pas, mais nous constatons des faits.
Dieu ne peut être expliqué. La propre idée de Dieu est infiniment supérieure à nous. Sage, Puissant, Eternel, Parfait... Cela présume le fait de ne pas être limité par des définitions humaines.
Evêque, après l’inauguration du Temple, vous deviez être exténué, mais j’ai la pleine conviction que votre coeur, votre âme, était légère, sachant que vous aviez été élu pour une responsabilité si mémorable. Vos amis, vos supérieurs étaient très heureux, face à votre dévouement dans cette si grande responsabilité, mais j’ai la certitude que lors de ces moments mémorables, vous comptiez sur l’inspiration du Saint-Esprit.
Je remercie votre présence à Belo Horizonte, car mon fils allait cesser de venir à l’Eglise en raison de la fatigue de cette vie et au découragement causé par des jours si exténuants. Lorsque vous êtes arrivé, évêque, rempli de foi pour faire le culte, en injectant l’amour de Dieu dans la vie de chacun, mon fils a écarté l’idée d’abandonner l’Eglise et cela fait quatre ans qu’il est guéri et demeure dans la foi de Dieu.
Mes félicitations pour votre discours, face à une assemblée remplie d’autorités les plus prestigieuses de notre Pays, où l’émotion inondait constamment chaque espace, à chaque parole.
Je vous admire, évêque, car vous êtes illuminé par le Saint-Esprit, vous êtes courageux, sans crainte et vous possédez le don de la Parole.
Je souhaite, évêque Rogério Formigoni, que Dieu puisse vous donner une longue vie, avec beaucoup de santé.
Pour finaliser, je souhaiterai citer le Psaume 133:
Voici, oh! qu'il est agréable, qu'il est doux pour des frères de demeurer ensemble!
C'est comme l'huile précieuse qui, répandue sur la tête, descend sur la barbe, sur la barbe d'Aaron, qui descend sur le bord de ses vêtements.
C'est comme la rosée de l'Hermon, qui descend sur les montagnes de Sion; car c'est là que l'Éternel envoie la bénédiction, la vie, pour l'éternité.
Que mon Dieu, qui est votre Dieu, le Dieu d’Abraham soit toujours dans vos paroles, pour récupérer des personnes et apporter beaucoup de joie aux membres de votre famille!
Mes félicitations et que Dieu vous bénisse toujours!
Cordialement.
José Aparecido Marques
Avec la collaboration de l'évêque Rogério Formigoni

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