vendredi 6 juin 2014

Je détestais sans savoir pourquoi

Eh bien, pour que tout le monde comprenne, je vais vous raconter un peu de mon histoire.
Je suis née à Campinas, São Paulo. A l’âge de 8 ans, je me suis déplacée à Paraná avec ma famille (père, mère et deux sœurs). J'ai vécu avec mes parents jusqu'à l’âge de 18 ans, lorsque j’ai décidé de venir habiter à Londres à la recherche de meilleures conditions de vie avec mon mari, qui à l'époque, était mon petit-ami.
Ce fut ici à Londres, loin de tout et de tous, avec les problèmes d’adulte, que pour la première fois, j'ai commencé à chercher Dieu. Je n’ai jamais eu de base, mes parents n’ont jamais été religieux et j’ai fini par aller au catéchisme à l'Eglise Catholique – parce que toutes mes amies y participaient – mais je n'y ai jamais rien appris sur Dieu.

Alors j'ai commencé à fréquenter une communauté catholique brésilienne tous les dimanches. Je me sentais très bien là-bas, mais je n’ai jamais eu de rencontre avec Dieu et souvent je m’interrogeais s'Il existait vraiment. Il n’y avait aucune certitude en moi et bien moins ce qui allait m’arriver quand je mourrais. A cette même époque, une collègue de travail, utilisée par Dieu, a commencé à me parler de Jésus. Elle m’a dit que nous étions déjà à la fin des temps, que Jésus reviendrait bientôt et je m'interrogeais sur ce qu’allait devenir mon âme.
Pour tout vous dire, j'ai trouvé cela très ennuyeux. Je n'avais aucune idée de ce qu’elle était en train de parler, parce que je n'ai jamais eu l'envie de lire la Parole de Dieu et quand je la lisais, je ne comprenais pas grand-chose. Mais elle ne désistait; elle m'invitait à tous les événements qui se passaient et je donnais toujours une excuse pour finir par ne pas y aller. J’avais des préjugés contre l’Universelle; je ne savais pas ce qui s’y passait à l'intérieur, mais j’entendais parler d’elle.
Un beau jour, j'ai décidé d'aller à un événement appelé «The Love School». C’était le lancement du livre «Mariage Blindé» et, à l'occasion, l’Evêque Renato et Cristiane sont venus signer des autographes et donner un cours au sujet de ce livre.
J'ai vraiment apprécié ce cours, j'ai trouvé les idées pratiques et utiles. Puis, peu à peu, je suis allée à certaines réunions; les premières m’ont fait même peur, à cause de la façon dont les gens de l'église priaient – je trouvais cela exagéré.
Mais au fond, quelque chose me disait de ne pas renoncer, de rester et de comprendre cette foi si forte d'un peuple si courageux. J’y suis allée quelques fois, toujours le dimanche, mais je n’avais pas encore eu la certitude de me donner à Ce Dieu.
Cela faisait quelques mois et je demandais à Dieu que si c'était vraiment Son église, de me le montrer.
Jusqu'à ce que mon mari a dû voyager et ce que nous pensions être pour un mois, furent deux mois. Cette époque a été très difficile pour moi. Bien que je vivais loin de mes parents, je n'avais jamais vécu seule.
C'est quand mon amie Jane, qui m'a amené à l'église, tendit sa main, m'invitant à rester avec sa famille les week-end – elle m'encourageait toujours à aller à l'église, bien sûr.
C'était une expérience formidable! J'ai découvert comment une famille peut avoir tant d'amour, tant de paix dans le foyer, de respect et d’affection pour l'autre... Mes yeux s'ouvraient, je voulais exactement cela pour moi. Ma famille n'a jamais été détruite, mais je n'ai jamais senti cette paix avec mes parents – c’étaient des querelles à répétition.
J’ai décidé qu'il en serait ainsi aussi; que c'était le modèle de famille, que j’allais donner à mes enfants un jour. Je voulais ce Dieu dans ma vie, mais j’avais un problème: je n'aimais pas l'évêque Macedo. En fait, je le haïssais et jusqu'à ce jour je ne sais pas pourquoi.
Mais j'ai continué. Aujourd'hui, je trouve cela drôle, mais je me souviens que tous les dimanches, pendant ces deux mois, quand nous sommes revenus de la réunion, qu’est-ce que Jane mettait pour que nous écoutions pendant le déjeuner? Le saint culte de l'évêque Macedo. Cela m'ennuyait. N'êtes-ce pas suffisant d’aller à l'église, d’écouter toujours ses messages et encore là, maintenant?
Je ne disais rien, parce que je savais combien ces gens le respectaient et l'admiraient, mais c’était ennuyeux!
Quelques jours avant que mon mari revienne, Jane m'a montré le livre Rien à Perdre. J’ai beaucoup aimé!
Enfin, j’allais connaître des détails que je ne connaissais pas – la curiosité était immense! Je l’ai lu de tout coeur, je voulais savoir pourquoi j’avais tellement de haine en moi.
Ce fut une énorme surprise! Dès les premières pages, j’ai commencé à regretter; puis, plus avant, j'ai demandé pardon à Dieu. En continuant la lecture, il ne me venait qu’une chose à l’esprit: Pourquoi, mon Dieu? Pourquoi tellement de haine envers quelqu'un qui ne m'a jamais fait de mal et bien moins à d'autres personnes?
J'ai pleuré, à chaque moment difficile, qui y était décrit. Je lisais, lisais, lisais, je ne pouvais pas m’arrêter. Le lendemain, je suis arrivée à la fin du livre. Je crois que dans la partie de la prière que l'évêque fait à la fin, j'ai eu ma première expérience avec le Saint-Esprit. J'ai beaucoup pleuré au début. Quelques lignes après, je suis tombée à genoux involontairement, comme si Dieu était présent, si fortement, que je ne pouvais pas rester debout devant une si Sainte Présence!
Ces mots, un par un, ont touché les profondeurs de mon être. J’ai demandé pardon une fois de plus et que je sois délivrée, une fois pour toutes, de ce mauvais sentiment, que je n'ai jamais voulu avoir.
Le lendemain, mon mari est revenu et ensuite j'ai commencé lentement à marcher seule sur les chemins de ma foi. Quelques mois plus tard, pour mon 22ème anniversaire, j'ai donné ma vie à Jésus: J'ai été baptisée!
Il n'y a pas de mot pour décrire ce moment! Je suis née à nouveau, je me sentais pure, il y avait déjà une certitude en moi. Le second livre Rien à Perdre est sorti ici – cette fois-ci, je l'ai lu en une journée, quelle bénédiction!
J'espère que beaucoup de gens, qui ressentent ce sentiment, se donnent une chance, qu’ils connaissent de près le travail de l’Universelle, lisent le livre, Rien à perdre.
Beaucoup diront que c'est un lavage cérébral, mais j’ai la certitude que c'est un lavage spirituel – j'ai été purifiée, je suis une nouvelle personne!
Je prie pour que Dieu bénisse davantage la vie de l'évêque Edir Macedo et de sa famille, pour continuer à Le servir et à sauver beaucoup d'âmes!
Une confession: De nos jours, qui arrive à la maison après les réunions et regarde les vidéos de l'évêque Macedo, Dieu Merci, c'est moi!!
Ana Paula Sossai

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire