mardi 6 mai 2014

L'Argenterie de la Maison à New York


La violence domestique peut prendre plusieurs formes, physiques, sexuelles, psychologiques, économiques, etc. Le problème et la pression contre les femmes, ne sont pas seulement liés à la culture, à la région ou au pays, ou à des groupes de femmes en particulier au sein d'une société. Quelles soient riches ou pauvres, dans des cabanes en zinc ou dans les plus riches demeures, en Afrique ou en Europe, sans étude ou avec beaucoup de diplômes, quelle que soit la race, l'âge ou la qualification, ce fardeau énorme et lourd existe et, dans de nombreux cas, des dommages irréparables dans la vie de la femme, de l’épouse, de la mère, de la fille, de la mariée, de la célibataire, de la veuve. Et même dans les pays du premier-monde, comme le montre une enquête aux États-Unis, qui relève qu'environ 70 % des femmes subissent un type de violence au cours de sa vie (Source: ONU).
Le 19 avril, nous réaliserons le «Jour F» pour aider des femmes, comme Joyce Clarke Everett, à qui on avait diagnostiqué un cancer, elle vivait dans la dépression et ne pouvait pas dormir. En outre, depuis de nombreuses années, elle a souffert avec son fils, qui était dans la drogue et une fille atteinte d'une maladie que les médecins ne découvraient pas la cause, face à cette situation, Joyce a même pensé à se suicider.
«Un jour, j'étais vraiment stressée, avec beaucoup d'anxiété et c’est là que j'ai regardé l’émission de l’Universelle à la télévision, à 2H00 du matin. Les témoignages et les paroles du pasteur m'ont fait comprendre qu'il n'existe pas de solution à mes problèmes, alors j'ai décidé d’aller à l'Universelle. En y arrivant, j'ai reçu des prières, j’ai appris à utiliser la foi et j'ai également entendu dire que la femme sage bâtit sa maison (Proverbes 14:1), j’ai décidé d'avoir cette sagesse et de mettre en pratique tout ce que l'évêque Macedo disait lors des réunions, au tout début de l’œuvre de l'Universelle ici à New York.
Aujourd'hui j'ai la paix, j'ai été guérie d'un cancer, ma fille est aussi guérie, mon fils est aussi délivré des drogues et elle est avec moi à l’Universelle, j'ai une nouvelle vie et une nouvelle famille, je peux dire que: Moi et ma maison nous servons l’Eternel.
La Joyce qui voulait se tuer n’existe plus, aujourd'hui avec mes 82 ans, je veux vivre plus et servir le Dieu qui m'a sauvée, je suis une ouvrière et je sers ce Dieu merveilleux, depuis 26 ans, en aidant d’autres femmes.»
Avec la collaboration de l’Evêque Bira Fonseca

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