mardi 1 octobre 2013

Sceau unique





Évêque, lorsque j'étais enfant, je voulais envoyer une lettre à une amie, mais je n'avais pas d'argent pour acheter un timbre. J'ai pensé rapidement et j’ai arraché le timbre d'une vieille lettre et je l’ai collé sur la mienne. J'ai pensé que mon «problème» serait résolu. J'ai couru vers la boîte aux lettres, j'ai déposé ma lettre et je suis partie avec la «sensation» de mission accomplie.
Quelques jours plus tard, à ma grande déception, le facteur est venu chez moi. Il m’a rendu la lettre et a expliqué que chaque timbre est «unique», il est comme un «sceau» de validation et a sa propre date de validité.
Je pensais sur la raison pour laquelle le Saint-Esprit est appelé de Sceau de Dieu et j'ai imaginé si nous étions comme une lettre adressée au ciel. Si le timbre ou «sceau» ne soit plus valable, nous n’arrivions pas à l'endroit désiré – et envoyer une lettre sans timbre, ne fonctionne pas, non plus.
Quand Jésus reviendra et demandera aux anges de recueillir les élus, les anges seront comme les facteurs: il n’emporteront que les «lettres» scellées correctement, les lettres identifiées par le sceau de DIEU, le Saint-Esprit Lui-même. Autrement dit, il n'y a pas de Salut sans être scellé.
Le Saint-Esprit: la garantie du Salut! Qui L’a aujourd'hui, chante « AH QUEL JOUR!» 
Qui Le garantira jusqu'à l'avènement de notre notre Seigneur, chantera « AH QUELLE ETERNITE!»
Bruna Oliveira – Brésil - Balneário Camboriú - SC
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La drachme retrouvée
Bonjour, évêque!
J'étais une drachme perdue et, même au sein de l'église, j’étais loin, loin de la bergerie, je n'avais plus la protection de Dieu. J'ai souffert, j'ai pleuré, j'ai gémi. Mais depuis quelque temps, j'ai appliqué mon coeur à me concerter, pour retourner au bercail et être en sécurité sous l'abri du Très-Haut et Dieu m'a répondu.
Et aujourd'hui, en écoutant ce message sur la Radio Alléluia, j'ai eu l'expérience la plus marquante de ma vie. J’étais en train de rentrer du travail, je conduisais et au moment de la prière, sans me soucier de rien, je me suis exposée devant mon Dieu.
J’ai déversé devant Lui toute ma sincérité et j'ai reçu une paix si intense et une joie si immense que je voulais voler, voler et me trouver auprès de mon Seigneur, Alléluia! Et pour la première fois depuis de nombreuses années, j'ai pleuré, pleuré d’une manière si douce...
Ce n’était plus des larmes de douleur, de désespoir parce que je n'avais pas Jésus, mais des larmes de gratitude pour recevoir quelque chose de si précieux, de si sublime.
J'ai ouvert mes yeux, je me suis sentie légère. J'ai regardé la mer, le ciel – ils semblaient me sourire. Je n'étais plus seule, Jésus me protégeait. Maintenant, je sais que je ne vais plus jamais souffrir, j’ai été retrouvée. JE NE SUIS PLUS UNE DRACHME PERDUE!
Que Dieu vous bénisse, Evêque.
Cleide – Brésil - Salvador/BA

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