mardi 1 octobre 2013

Menteuse, fausse, trompeuse, sournoise, sale...





Bonjour, évêque!
Je viens juste de participer à la recherche du Saint-Esprit. AHHH! QUEL JOUR! Je peux affirmer cela aujourd’hui et avoir la certitude de la concrétisation du déversement du Saint-Esprit dans ma vie. Ce fut comme vous l’avez demandé, évêque, lors de l’émission: «AVEZ-VOUS L’IDEE DE CE QU'EST AVOIR L'ESPRIT DE DIEU EN VOUS?»
En fait, évêque, je n'avais pas cette pensée. Bien que j’affirmais L’avoir reçu. Menteuse, fausse, trompeuse, sournoise, sale et bien pire... C’était vraiment ainsi que je me sentais hier soir. Comment pourrais-je dire avoir en moi l'Esprit de Dieu Lui-même et faire l’Oeuvre de Dieu comme ouvrière, si ma vie, jusque là, ne présentait pas le profil d'une personne qui est née de Dieu?
Alors j'ai décidé de «jeter dans la boue» le temps – le temps d'église et le temps d’Oeuvre. Hier, lors de la recherche, j’ai eu une rencontre réelle avec le Sauveur de mon âme et aujourd'hui j'ai reçu le baptême du Saint-Esprit.
Honnêtement, je pensais que je n’avais plus aucune chance et que Dieu ne voulait plus de moi plus. Hier même, j’ai servi comme ouvrière, mais j’étais définie: j’allais faire quelque chose ou quelque chose allait m'arriver. Ce fut alors, qu’hier soir, le pasteur de ma région a parlé d’une façon très incisive avec les ouvriers: «Ouvrier, si vous m'écoutez, il y a toujours une solution pour vous. Mais, vous devez reconnaître votre situation spirituelle à cet instant-même, soyez honnête envers vous-même.»
Évêque, j'ai toujours vu Dieu, parler par la bouche de ce pasteur, mais hier je ne voyais pas Dieu parler avec moi, cependant, c'était comme s’il était en train de «crier» sur moi. Après cela, j'ai parlé et répété plusieurs fois: IL S'AGIT DE MA DERNIERE CHANCE. ET FRANCHEMENT, JE N'AI PLUS RIEN A PERDRE, parce que le bien le plus précieux, qui est l'Esprit de Dieu, je ne l'avais plus en moi, donc je n'étais pas sûre de mon salut.
En fait, j'ai été cette drachme perdue à l'intérieur de l'Eglise - et en uniforme d’ouvrière. J’étais cette ouvrière «prête à tout», «si juste», «de Dieu». En y pensant, une indignation s'allume en moi et secoue tout mon intérieur.
Mon Dieu - maintenant, je peux vous appelé de mon Dieu - comment Seigneur avez-vous pu être tellement, tellement, tellement miséricordieux envers moi? Depuis combien de temps, je vous servais sans Vous connaître.
Je loue et rends grâce à Dieu pour le privilège et parce qu'Il a agi envers moi, avec miséricorde. Maintenant, je veux être pour Dieu ce que je n'ai jamais été, 100 %. Et affronter avec toute ma force le diable afin de défaire ses oeuvres.
Évêque, aujourd'hui je vais parler avec mon régional pour le remercier et avouer ce que je n'ai jamais dit. Que va-t-il se passer? Je ne sais pas. Désormais, ce n'est plus à moi de savoir ou de planifier quoi que ce soit. Parce que cette vie n'est plus à moi, mais de Dieu. Et maintenant oui, elle est à 100 % entre Ses mains.
Je vous remercie, évêque! Que Dieu vous bénisse et continue à vous utiliser d’une manière glorieuse pour aider ceux qui (comme j'étais perdue, au sein de l'église) sont disposés à s’abandonner ENTIEREMENT à Dieu et L’avoir comme seul Seigneur et Sauveur de leur âme.
Indianne Pinheiro

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