jeudi 13 décembre 2012

Au coeur de Curaçao

Cher évêque Macedo,
Je vis dans une petite île d’Amérique Centrale, appelée Curaçao. Elle s’appelle ainsi, comme le cœur. C’est un petit pays, entouré de plages et par la mer bleue des Antilles Hollandaises, qui sur la carte du monde, apparaît comme un petit trait dans la mer des Caraïbes.
Il y a neuf ans, nous avons eu le privilège de recevoir un temple de l'Eglise Universelle qui, pendant tout ce temps, a transformé ici d’innombrables vies, grâce à cette vision missionnaire qui a pris naissance au Brésil. J'ai compris votre mission, évêque, à la fin de la lecture du livre «Rien à perdre» (en espagnol).
Ce furent deux jours de réflexion qui m'ont fait grandir spirituellement. J'étais vide, déprimée, pleine de craintes et d’angoisses. Dieu était un inconnu pour moi. Tellement d’insécurités me rendaient triste et incomplète. J'ai eu une formation académique dans plusieurs pays européens, j’ai construit une certaine influence comme étudiante, mais je portais en moi un vide. J'ai tenté le suicide, pour ne pas trouver la motivation pour vivre et je me suis isolée du monde. J’ai tout juste réussi à me délivrer de cet abîme lorsque j’ai connu la Parole de Dieu. Le Saint-Esprit a changé ma façon d'être et de vivre à l'aide de vos messages de foi dans l'église. Même en Portugais, j’ai réussi à comprendre vos paroles et j’assimilais le sens des révélations si édifiantes.
Nous utilisons «Rien à perdre» pour propager, encore plus, ce même message du Salut dans notre pays. Nous sortons dans les ruelles de l'île, parlant de la puissance de Dieu. Le Seigneur Jésus est en train d’arriver au cœur de Curaçao, transformant la façon de penser des gens d'ici. Et ce n'est pas seulement au Curaçao: nos pays voisins, tels que les îles d'Aruba, de Bonaire et de Saint-Martin qui disposent déjà d’un cénacle du Saint-Esprit et a également reçu le livre après le lancement officiel au Venezuela.
Quel privilège, les brésiliens ont de vous avoir si proche, prêchant tous les mercredis et les dimanches; de pouvoir ainsi apprendre personnellement avec vos enseignements dans des réunions si près du lieu de leur résidence. C'est sublime!
Que Dieu vous bénisse, ainsi que le peuple de l'Eglise Universelle au Brésil.
Sharella Lucila Monguen, 36 ans, Willemstad, capitale de Curaçao.
P.S.: je voudrais lire ici les commentaires des amis brésiliens sur leurs expériences spirituelles avec «Rien à perdre». Dans certaines réunions à Curaçao, nous avons passé des heures à parler sur comment vous avez utilisé la foi pour surmonter les nombreux défis dans la vie. Comme cela fait du bien à notre âme!


Publé par Evêque Edir Macedo

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